La réinsertion des ex-combattants et les jeunes à risque (jeunes sans emploi), est une priorité pour le gouvernement. 5000 d’entre eux vont avoir du travail grâce au projet d’entretien routier lancé, hier, à Attécoubé par le chef de l’Etat.
La politique de création d’emplois du président de la République, Alassane Ouattara, est en marche. Hier, ce sont 5.000 ex-combattants et jeunes à risque du district d’Abidjan qui ont reçu leurs kits de travail à l’occasion du lancement des activités des brigades d’entretien du réseau de voiries urbaines et autres infrastructures communales. Pour le chef de l’Etat, ce projet répond à la ferme volonté du gouvernement de créer des emplois pour les jeunes et de favoriser la réinsertion des ex-combattants. Ainsi, ils pourront améliorer leurs conditions de vie. Ces jeunes sont employés à des travaux de réhabilitation de la voirie. « C’est un exemple réussi d’innovation en matière de travaux d’infrastructures… Je voudrais donc féliciter le ministre des Infrastructures économiques M. Patrick Achi, et à travers lui, l’Ageroute et le projet d’assistance post-conflit (Papc) de la Banque mondiale pour cette heureuse initiative. Ils ont su, au regard des besoins de notre pays en matière de création d’emplois, faire preuve d’imagination pour répondre ainsi aux attentes de nos jeunes », a signifié le président Ouattara. Le gouvernement, poursuit-il, ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Au cours des 18 mois à venir, ce sont près de 50.000 emplois qui pourront être fournis aux jeunes grâce à ces différents programmes. Sans oublier le plan d’aide qui permettra à un million de jeunes d’avoir un emploi dans les cinq prochaines années. « Que vous soyez déscolarisés, que vous soyez du monde rural, démobilisés, vous aurez la priorité. Car, nous savons quel mal cela produit dans la jeunesse quand elle est au chômage, quand elle est désœuvrée et donc prompte à céder à la manipulation», a-t-il confié. Ce projet de réinsertion, selon le coordonnateur national du Projet d’assistance post- conflit, Philippe Koffi, s’étendra à l’ouest du pays, une région sinistrée par la guerre.
Adélaïde Konin
La politique de création d’emplois du président de la République, Alassane Ouattara, est en marche. Hier, ce sont 5.000 ex-combattants et jeunes à risque du district d’Abidjan qui ont reçu leurs kits de travail à l’occasion du lancement des activités des brigades d’entretien du réseau de voiries urbaines et autres infrastructures communales. Pour le chef de l’Etat, ce projet répond à la ferme volonté du gouvernement de créer des emplois pour les jeunes et de favoriser la réinsertion des ex-combattants. Ainsi, ils pourront améliorer leurs conditions de vie. Ces jeunes sont employés à des travaux de réhabilitation de la voirie. « C’est un exemple réussi d’innovation en matière de travaux d’infrastructures… Je voudrais donc féliciter le ministre des Infrastructures économiques M. Patrick Achi, et à travers lui, l’Ageroute et le projet d’assistance post-conflit (Papc) de la Banque mondiale pour cette heureuse initiative. Ils ont su, au regard des besoins de notre pays en matière de création d’emplois, faire preuve d’imagination pour répondre ainsi aux attentes de nos jeunes », a signifié le président Ouattara. Le gouvernement, poursuit-il, ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Au cours des 18 mois à venir, ce sont près de 50.000 emplois qui pourront être fournis aux jeunes grâce à ces différents programmes. Sans oublier le plan d’aide qui permettra à un million de jeunes d’avoir un emploi dans les cinq prochaines années. « Que vous soyez déscolarisés, que vous soyez du monde rural, démobilisés, vous aurez la priorité. Car, nous savons quel mal cela produit dans la jeunesse quand elle est au chômage, quand elle est désœuvrée et donc prompte à céder à la manipulation», a-t-il confié. Ce projet de réinsertion, selon le coordonnateur national du Projet d’assistance post- conflit, Philippe Koffi, s’étendra à l’ouest du pays, une région sinistrée par la guerre.
Adélaïde Konin