Yamoussoukro, Une descente musclée de chasseurs traditionnels, communément appelé dozos, au quartier Gonfla de Bazré (25 km de Yamoussoukro), dans le département de Sinfra, a fait un mort et plusieurs blessés dont le cvhef du village, Gouli Bi Gooré Félix, ainsi qu’une destruction par feu de nombreuses habitations, pour une affaire portant la somme de 1,4 million de FCFA, a appris l’AIP auprès des villageois.
Un opérateur économique du nom de Oka aurait remis 1,4 million de FCFA à un certain Patrice pour l’achat de produits agricoles. Celui aurait à son tour remis une partie de la somme à un Sérébo qui a disparu de la circulation.
Se sentant se sentant floué dans cette affaire, Oka fait pression sur Patrice qui, à son tour, saisit les chasseurs traditionnels aux fins de mettre le grappin sur Sérébou par l’intermédiaire de Yohouly Bi Zilé Zinsou, qui serait son ami.
Ainsi, mercredi, Patrice conduit chez le chef de Bazré, Gouli-Bi Gooré Félix, refuge de Sérébou, les dozos qui ont dit être en mission sur instruction de la gendarmerie. Se retirant après entretien avec le chef du village, les dozos sont l’objet d’une lapidation de jeunes du village qui en blessent deux.
Ayant regagné leur base pour se préparer, ils reviennent très tard, la nuit, pour une expédition punitive, en incendiant les habitations du quartier Gonfla et en tirant sur tout ce qui bouge, avec à la clé la mort du jeune Boti-Bi Dri Alexis et une dizaine de blessés dont le chef, évacué dans une clinique à Yamoussoukro.
Le jeune Boti-Bi Dri Alexis, 25 ans, qui rentrait d’une partie de chasse, a été pris pour cible par les dozos, au vu de son fusil calibre 12 qu’il portait. Il a été inhumé jeudi.
La gendarmerie de Kononfla est à pied d’œuvre pour retrouver l’opérateur économique floué et l’intermédiaire qui se sont terrés depuis l’attaque de Gonfla (Bazré).
Il y a deux semaines, à Yamoussoukro, le chef des dozos, Amara Coulibaly, s’engageait, avec sa ‘’compagnie’’, à ne se limiter qu’à la mise aux arrêts des indélicats pour les livrer à la police ou à la gendarmerie qualifiées pour conduire des enquêtes et déferrements des malfrats devant les tribaux.
(AIP)
Zgrp/kp
Un opérateur économique du nom de Oka aurait remis 1,4 million de FCFA à un certain Patrice pour l’achat de produits agricoles. Celui aurait à son tour remis une partie de la somme à un Sérébo qui a disparu de la circulation.
Se sentant se sentant floué dans cette affaire, Oka fait pression sur Patrice qui, à son tour, saisit les chasseurs traditionnels aux fins de mettre le grappin sur Sérébou par l’intermédiaire de Yohouly Bi Zilé Zinsou, qui serait son ami.
Ainsi, mercredi, Patrice conduit chez le chef de Bazré, Gouli-Bi Gooré Félix, refuge de Sérébou, les dozos qui ont dit être en mission sur instruction de la gendarmerie. Se retirant après entretien avec le chef du village, les dozos sont l’objet d’une lapidation de jeunes du village qui en blessent deux.
Ayant regagné leur base pour se préparer, ils reviennent très tard, la nuit, pour une expédition punitive, en incendiant les habitations du quartier Gonfla et en tirant sur tout ce qui bouge, avec à la clé la mort du jeune Boti-Bi Dri Alexis et une dizaine de blessés dont le chef, évacué dans une clinique à Yamoussoukro.
Le jeune Boti-Bi Dri Alexis, 25 ans, qui rentrait d’une partie de chasse, a été pris pour cible par les dozos, au vu de son fusil calibre 12 qu’il portait. Il a été inhumé jeudi.
La gendarmerie de Kononfla est à pied d’œuvre pour retrouver l’opérateur économique floué et l’intermédiaire qui se sont terrés depuis l’attaque de Gonfla (Bazré).
Il y a deux semaines, à Yamoussoukro, le chef des dozos, Amara Coulibaly, s’engageait, avec sa ‘’compagnie’’, à ne se limiter qu’à la mise aux arrêts des indélicats pour les livrer à la police ou à la gendarmerie qualifiées pour conduire des enquêtes et déferrements des malfrats devant les tribaux.
(AIP)
Zgrp/kp
