Léon Konan Koffi, conseiller spécial du Premier ministre Charles Konan Banny, fils d’Antoine Konan Koffi, ancien député de Bouaké et petit-fils du ministre Léon Konan Koffi, a décidé de briguer le poste de député pour la circonscription électorale du Plateau. Le candidat Léon Konan Koffi a fait cette annonce, le mardi 15 novembre 2011, devant la façade principale de l’Assemblée nationale.
Après plusieurs semaines de réflexions, Léon Konan Koffi se lance dans la course pour l’élection des députés, le 11 décembre 2011 en tant que candidat indépendant. Cette décision a été diversement interprétée et le candidat Konan Koffi le reconnaît. «Je dois souligner que c’est une démarche délibérée. De nombreuses personnes, au cours de ces dernières semaines, n’ont pas cessé de s’interroger sur les raisons d’une candidature indépendante de Léon Konan Koffi. Sans renier l’héritage d’Houphouët-Boigny que je revendique pleinement, je voudrais affirmer que mon engagement en politique est un acte de foi. Mon engagement est le fruit de convictions personnelles sur la nécessité d’aborder l’action politique autrement. La Côte d’Ivoire est à la croisée des chemins et il nous faut sortir des sentiers battus, si nous voulons continuer de vivre ensemble, en tant que nation, dont l’existence repose sur des valeurs républicaines, le rassemblement, la solidarité, le sens du devoir, le respect des engagements, l’obligation de résultats, l’équité, le travail, la discipline. Autant de valeurs avec lesquelles il nous faut renouer», explique Léon Konan Koffi, qui considère que l’engagement pour la chose publique doit être «un acte résolument altruiste, c’est-à-dire au service de la collectivité. Et c’est ainsi que doit désormais se concevoir et s’exercer le métier politique», soutient-il. «Le choix de la façade de l’Assemblée nationale participe aussi de notre volonté de faire la politique autrement», confie Léon Konan Koffi Edward, qui entend rompre avec les vieilles habitudes, en mettant fin aux débats stériles et inutiles. «Le renouvellement du personnel législatif est la condition du développement; et le seul combat qui vaille la peine d’être mené, demeure celui du développement (…) Nos divisions fratricides, fille de la logique des partis politiques avec leur corollaire de rejet de l’autre et d’intolérance, sont encore fraîches dans les mémoires (…) Notre devoir sera donc de remettre au centre des préoccupations, le citoyen. En étant permanemment à son écoute et en œuvrant à son bien-être, tel est le sens de mon engagement à faire la politique autrement, à mettre fin aux débats aussi stériles qu’inutiles qui n’apportent rien, qui font plus de mal que de bien. Notre devoir sera aussi d’aborder, avec lucidité, la question du chômage, du développement durable», précise-t-il. Ce chef d’entreprise prône également, pour ces législatives, le fair-play entre candidats et adversaires et c’est sous ce signe qu’il place le scrutin du 11 décembre 2011. A ce sujet, Léon Konan Koffi compte rencontrer ses adversaires au Plateau, commune porteuse du rêve du nouveau miracle ivoirien. « C’est ce nouveau type d’élu que je veux incarner et le milieu des affaires sera ma priorité. Je voudrais inviter les femmes, les hommes, les jeunes, les plus anciens du Plateau, à partager cette ambition (…) J’ai décidé de m’engager avec un esprit de fair-play vis-à-vis de mes adversaires, qui sont pour la plupart, mes aînés. Je vais les rencontrer pour discuter avec eux de la nécessité de placer nos débats d’idées sous le signe du fair-play», indique Léon Konan Koffi.
O. Dion
Après plusieurs semaines de réflexions, Léon Konan Koffi se lance dans la course pour l’élection des députés, le 11 décembre 2011 en tant que candidat indépendant. Cette décision a été diversement interprétée et le candidat Konan Koffi le reconnaît. «Je dois souligner que c’est une démarche délibérée. De nombreuses personnes, au cours de ces dernières semaines, n’ont pas cessé de s’interroger sur les raisons d’une candidature indépendante de Léon Konan Koffi. Sans renier l’héritage d’Houphouët-Boigny que je revendique pleinement, je voudrais affirmer que mon engagement en politique est un acte de foi. Mon engagement est le fruit de convictions personnelles sur la nécessité d’aborder l’action politique autrement. La Côte d’Ivoire est à la croisée des chemins et il nous faut sortir des sentiers battus, si nous voulons continuer de vivre ensemble, en tant que nation, dont l’existence repose sur des valeurs républicaines, le rassemblement, la solidarité, le sens du devoir, le respect des engagements, l’obligation de résultats, l’équité, le travail, la discipline. Autant de valeurs avec lesquelles il nous faut renouer», explique Léon Konan Koffi, qui considère que l’engagement pour la chose publique doit être «un acte résolument altruiste, c’est-à-dire au service de la collectivité. Et c’est ainsi que doit désormais se concevoir et s’exercer le métier politique», soutient-il. «Le choix de la façade de l’Assemblée nationale participe aussi de notre volonté de faire la politique autrement», confie Léon Konan Koffi Edward, qui entend rompre avec les vieilles habitudes, en mettant fin aux débats stériles et inutiles. «Le renouvellement du personnel législatif est la condition du développement; et le seul combat qui vaille la peine d’être mené, demeure celui du développement (…) Nos divisions fratricides, fille de la logique des partis politiques avec leur corollaire de rejet de l’autre et d’intolérance, sont encore fraîches dans les mémoires (…) Notre devoir sera donc de remettre au centre des préoccupations, le citoyen. En étant permanemment à son écoute et en œuvrant à son bien-être, tel est le sens de mon engagement à faire la politique autrement, à mettre fin aux débats aussi stériles qu’inutiles qui n’apportent rien, qui font plus de mal que de bien. Notre devoir sera aussi d’aborder, avec lucidité, la question du chômage, du développement durable», précise-t-il. Ce chef d’entreprise prône également, pour ces législatives, le fair-play entre candidats et adversaires et c’est sous ce signe qu’il place le scrutin du 11 décembre 2011. A ce sujet, Léon Konan Koffi compte rencontrer ses adversaires au Plateau, commune porteuse du rêve du nouveau miracle ivoirien. « C’est ce nouveau type d’élu que je veux incarner et le milieu des affaires sera ma priorité. Je voudrais inviter les femmes, les hommes, les jeunes, les plus anciens du Plateau, à partager cette ambition (…) J’ai décidé de m’engager avec un esprit de fair-play vis-à-vis de mes adversaires, qui sont pour la plupart, mes aînés. Je vais les rencontrer pour discuter avec eux de la nécessité de placer nos débats d’idées sous le signe du fair-play», indique Léon Konan Koffi.
O. Dion