Des responsables de la police nationale, des Forces républicaines de Côte d’Ivoire et des forces impartiales ont rassuré le président de la Commission électorale indépendante que les prochaines législatives seront bien sécurisées.
Le défi de la sécurisation du prochain scrutin législatif sera certainement relevé. Dix mille policiers, dix mille gendarmes, cinq mille militaires, appuyés par les forces impartiales de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire et de la force française Licorne seront bientôt déployés sur l’ensemble du territoire national pour la sécurisation des législatives du 11 décembre. C’est l’information majeure qu’on peut retenir de l’importante rencontre sur la sécurisation du processus électoral qui a eu lieu, hier. « Les questions d’ordre sécuritaire sont essentielles pour nous si nous voulons organiser ces élections du 11 décembre dans un esprit apaisé. Je vous invite à prendre toutes les dispositions utiles pour que ces élections soient sécurisées sur l’ensemble du territoire national », a enjoint le président de la Commission électorale indépendante (Cei), Youssouf Bakayoko aux responsables de la police, de la gendarmerie, de l’armée et des forces impartiales présents lors de cette réunion sur la sécurisation des élections. Youssouf Bakayoko a indiqué à ses hôtes d’un jour que leur responsabilité est grande et capitale dans la bonne organisation de l’élection des députés. D’après les explications données par les responsables des différentes forces présentes, il ressort qu’un plan de sécurisation des élections existe déjà et qu’il ne restait plus qu’à le mettre à exécution. Selon le commissaire Kouyaté Youssouf, directeur des Unités d’intervention qui s’est exprimé au nom de ses pairs, ils sont prêts à donner le meilleur d’eux-mêmes pour que ces échéances ne soient entachées d’aucune irrégularité sur le plan sécuritaire. Si l’on en croit le colonel Moussa Fofana et Hortense Laté Kouassi, tous deux responsables de la sous-commission sécurité et informatique à la Cei, la partition que les forces de sécurité sont appelées à jouer concerne la sécurisation des convois de déploiement, de l’affichage des listes électorales, des commissions électorales locales, des bureaux et lieux de vote, des candidats retenus et leurs Qg de campagne, des électeurs, des observateurs, des médias accrédités, de la transmission des résultats et de la nuit électorale, etc.
Marc Dossa (info : service communication de la Cei)
Le défi de la sécurisation du prochain scrutin législatif sera certainement relevé. Dix mille policiers, dix mille gendarmes, cinq mille militaires, appuyés par les forces impartiales de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire et de la force française Licorne seront bientôt déployés sur l’ensemble du territoire national pour la sécurisation des législatives du 11 décembre. C’est l’information majeure qu’on peut retenir de l’importante rencontre sur la sécurisation du processus électoral qui a eu lieu, hier. « Les questions d’ordre sécuritaire sont essentielles pour nous si nous voulons organiser ces élections du 11 décembre dans un esprit apaisé. Je vous invite à prendre toutes les dispositions utiles pour que ces élections soient sécurisées sur l’ensemble du territoire national », a enjoint le président de la Commission électorale indépendante (Cei), Youssouf Bakayoko aux responsables de la police, de la gendarmerie, de l’armée et des forces impartiales présents lors de cette réunion sur la sécurisation des élections. Youssouf Bakayoko a indiqué à ses hôtes d’un jour que leur responsabilité est grande et capitale dans la bonne organisation de l’élection des députés. D’après les explications données par les responsables des différentes forces présentes, il ressort qu’un plan de sécurisation des élections existe déjà et qu’il ne restait plus qu’à le mettre à exécution. Selon le commissaire Kouyaté Youssouf, directeur des Unités d’intervention qui s’est exprimé au nom de ses pairs, ils sont prêts à donner le meilleur d’eux-mêmes pour que ces échéances ne soient entachées d’aucune irrégularité sur le plan sécuritaire. Si l’on en croit le colonel Moussa Fofana et Hortense Laté Kouassi, tous deux responsables de la sous-commission sécurité et informatique à la Cei, la partition que les forces de sécurité sont appelées à jouer concerne la sécurisation des convois de déploiement, de l’affichage des listes électorales, des commissions électorales locales, des bureaux et lieux de vote, des candidats retenus et leurs Qg de campagne, des électeurs, des observateurs, des médias accrédités, de la transmission des résultats et de la nuit électorale, etc.
Marc Dossa (info : service communication de la Cei)