A deux mois de la Can 2012, le président de la FIF, Sidy Diallo, a la pèche. Il multiplie les contacts pour une meilleure prestation des Eléphants à Guinée Equatoriale. Il conscient que les Ivoiriens l’attendent au coin du bois.
L’altercation en Afrique du Sud entre le second capitaine des Eléphants, Didier Zokora dit Maestro et Touré Yaya et secoué le vestiaire des Eléphants voire la Fédération ivoirienne de football. A deux mois de la Coupe d’Afrique des nations 2012, ce n’était pas bien indiqué. Et les dirigeants de l’instance fédérale le savent.
Raison pour laquelle le président de la FIF, Sidy Diallo, a exigé et obtenu que le linge sale se lave en famille à Paris. L’éponge a été passée sur ce que le premier responsable du football ivoirien ne considère pas comme une affaire entant que telle. Depuis Paris, nous avons échangé avec lui.
Et il est clair sur la question. « Il ne s’est rien passé de grave en Afrique du Sud. Ce sont vous les journalistes qui avez amplifié ça. Au moment où on travaille pour préparer la Coupe d’Afrique des nations, on a l’impression des gens sont contents que les choses se passent mal. Ce n’est rien du tout, il ne s’est rien passé de grave entre les deux joueurs.
Ce n’est pas cela le plus important. Nous travaillons pour remporter la Coupe d’Afrique, c’est là que les Ivoiriens m’attendent. Le reste ne compte pas ». En tout cas pour la Can 2012, Sidy Diallo ne « dort » pas. Il multiplie les voyages et les rencontres pour permettre d’abord une bonne préparation aux Eléphants, ensuite les mettre dans des conditions optimales pour de meilleures prestations à Malabo.
« La Can 2012 n’est pas une négociation, c’est une exigence. Les Eléphants doivent ramener la Coupe en Côte d’Ivoire », ne cesse de marteler le ministre des sports et loisirs, Philippe Légré. Les Eléphants sont avertis.
Tibet Kipré
Leg : le président de la FIF, Sidy Diallo, ne veut rien négliger à la Can 2012
L’altercation en Afrique du Sud entre le second capitaine des Eléphants, Didier Zokora dit Maestro et Touré Yaya et secoué le vestiaire des Eléphants voire la Fédération ivoirienne de football. A deux mois de la Coupe d’Afrique des nations 2012, ce n’était pas bien indiqué. Et les dirigeants de l’instance fédérale le savent.
Raison pour laquelle le président de la FIF, Sidy Diallo, a exigé et obtenu que le linge sale se lave en famille à Paris. L’éponge a été passée sur ce que le premier responsable du football ivoirien ne considère pas comme une affaire entant que telle. Depuis Paris, nous avons échangé avec lui.
Et il est clair sur la question. « Il ne s’est rien passé de grave en Afrique du Sud. Ce sont vous les journalistes qui avez amplifié ça. Au moment où on travaille pour préparer la Coupe d’Afrique des nations, on a l’impression des gens sont contents que les choses se passent mal. Ce n’est rien du tout, il ne s’est rien passé de grave entre les deux joueurs.
Ce n’est pas cela le plus important. Nous travaillons pour remporter la Coupe d’Afrique, c’est là que les Ivoiriens m’attendent. Le reste ne compte pas ». En tout cas pour la Can 2012, Sidy Diallo ne « dort » pas. Il multiplie les voyages et les rencontres pour permettre d’abord une bonne préparation aux Eléphants, ensuite les mettre dans des conditions optimales pour de meilleures prestations à Malabo.
« La Can 2012 n’est pas une négociation, c’est une exigence. Les Eléphants doivent ramener la Coupe en Côte d’Ivoire », ne cesse de marteler le ministre des sports et loisirs, Philippe Légré. Les Eléphants sont avertis.
Tibet Kipré
Leg : le président de la FIF, Sidy Diallo, ne veut rien négliger à la Can 2012