Le Réseau femmes et gouvernance locale de Côte d’Ivoire (Rfglci) a organisé avec le concours financier du Programme des nations unies pour le développement (Pnud) et en partenariat avec la Mission d’appui à la conduite d’opérations municipales (Macom) un séminaire de formation sur le thème : « Participation communautaire par la maîtrise d’œuvre sociale ». Ce séminaire s’est tenu les 23 et 24 novembre dernier à l’Hôtel Belle Côte de la Riviéra-Palmeraie. Les travaux ont portés sur le développement local, la maitrise d’œuvre sociale et la contractualisation de la gestion déléguée.
« Le développement local est une balance en déséquilibre entre deux entités. D’une part l’Etat central et les collectivités locales et d’autre part les collectivités et les populations. La démarche du développement permet donc à l’institutionnel de déléguer et aux collectivités d’apprendre à gérer », a relevé le chef de la Macon, Dimba Pierre. Selon lui, le développement local, se fait par la base à partir des ressources locales que sont les ressources humaines, techniques et financières. Ce développement local peut permettre d’atteindre l’intercommunalité. Il a ajouté que, les étapes du développement local sont identiques à celles de montage de projet.
La présidente du réseau, Kacou Lou Brigitte, maire d’Oumé, a pour sa part rappelé que c’est lors de la visite des quartiers de Koumassi Grand-Campement et du village d’Abobo-Baoulé, dans le cadre de la planification locale participative qu’a germé l’idée de ce séminaire. Elle a soutenu qu’il est important que les élues locales renforcent leurs capacités en termes d’approche communautaire, afin de relever les nombreux défis qu’impose le développement de leurs cités. Elle a exhorté les élues locales à s’approprier les techniques du développement participatif en les mettant en pratique.
Djè Abel
« Le développement local est une balance en déséquilibre entre deux entités. D’une part l’Etat central et les collectivités locales et d’autre part les collectivités et les populations. La démarche du développement permet donc à l’institutionnel de déléguer et aux collectivités d’apprendre à gérer », a relevé le chef de la Macon, Dimba Pierre. Selon lui, le développement local, se fait par la base à partir des ressources locales que sont les ressources humaines, techniques et financières. Ce développement local peut permettre d’atteindre l’intercommunalité. Il a ajouté que, les étapes du développement local sont identiques à celles de montage de projet.
La présidente du réseau, Kacou Lou Brigitte, maire d’Oumé, a pour sa part rappelé que c’est lors de la visite des quartiers de Koumassi Grand-Campement et du village d’Abobo-Baoulé, dans le cadre de la planification locale participative qu’a germé l’idée de ce séminaire. Elle a soutenu qu’il est important que les élues locales renforcent leurs capacités en termes d’approche communautaire, afin de relever les nombreux défis qu’impose le développement de leurs cités. Elle a exhorté les élues locales à s’approprier les techniques du développement participatif en les mettant en pratique.
Djè Abel