Mme Dogui Marie-Noëlle, suppléante de la candidate indépendante pour la circonscription électorale n° 148 (Guéyo-Dabouyo) Wacoubo Gogoua Cathérine, n’est pas du tout contente des propos tenus par M. Amadou Soumahoro le mercredi 23 novembre 2011 à Marcory à l’endroit des candidats indépendants tous taxés de voyous et de voleurs. Elle a tenu à le signifier hier dans nos locaux après avoir lu notre compte-rendu.
«C’est une généralité qui insulte l’ensemble des candidats indépendants. C’est anti-démocratique et injuste. Je lui demande de mesurer ses propos. S’il a des griefs contre un candidat indépendant, qu’il le nomme au lieu d’insulter tous les indépendants. Ses propos me brûlent le cœur. Nous sommes certes en précampagne, mais tous les moyens ne sont pas bons. Il doit faire des excuses publiques aux candidats indépendants car ses propos sont insultants», a tenu à le rectifier hier dans nos locaux, Mme Dogui Marie-Noëlle, très courroucée. La suppléante de Mme Wacoubo Gogoua Catherine à Guéyo-Dabouyo répliquait ainsi aux déclarations du secrétaire général par intérim du RDR, Amadou Soumahoro tenues le mercredi 23 novembre 2011 devant les militants RHDP de Marcory. Le porte-parole du président du Rassemblement des Républicains, Alassane Ouattara, a livré à la vindicte populaire, les candidats indépendants en ces termes : «…Si un indépendant vient vers vous, chassez-le, huez-le, traitez-le de voleur. C’est un voyou…» Des propos jugés irresponsables, insultants et anti-démocratiques par Mme Dogui Marie-Noëlle. Qui a tenu à préciser que Mme Wacoubo Gogoua Catherine dont elle est la suppléante, a un état de service qui n’est pas à négliger. Elle fut député-maire de Guéyo (PDCI) de 1995 à 2000. L’électrification de Guéyo porte son empreinte. Tout comme la construction du château d’eau de la ville. Autrefois, rappelle t-elle, le pont qui relie Gueyo à Lakota était en bois. C’est Mme Wacoubo Gogoua Catherine qui l’a remplacé par une infrastructure moderne en béton. L’hydraulique villageoise, les lits de la maternité, l’ambulance, les médicaments offerts par la Pharmacie sans frontières sont à mettre à son actif avant la chute du président Bédié le 24 décembre 1999. En outre, elle a laissé une somme de 35 millions de nos francs dans les caisses de la mairie. C’est un bilan hors norme, a-t-elle fait remarquer. Avant de conclure qu’elle n’est pas une voyou. Ancienne athlète, elle est titulaire d’un DEA en Droit des affaires et est chef d’entreprise parce que gérante d’une société immobilière basée en France.
Maxime Wangué
«C’est une généralité qui insulte l’ensemble des candidats indépendants. C’est anti-démocratique et injuste. Je lui demande de mesurer ses propos. S’il a des griefs contre un candidat indépendant, qu’il le nomme au lieu d’insulter tous les indépendants. Ses propos me brûlent le cœur. Nous sommes certes en précampagne, mais tous les moyens ne sont pas bons. Il doit faire des excuses publiques aux candidats indépendants car ses propos sont insultants», a tenu à le rectifier hier dans nos locaux, Mme Dogui Marie-Noëlle, très courroucée. La suppléante de Mme Wacoubo Gogoua Catherine à Guéyo-Dabouyo répliquait ainsi aux déclarations du secrétaire général par intérim du RDR, Amadou Soumahoro tenues le mercredi 23 novembre 2011 devant les militants RHDP de Marcory. Le porte-parole du président du Rassemblement des Républicains, Alassane Ouattara, a livré à la vindicte populaire, les candidats indépendants en ces termes : «…Si un indépendant vient vers vous, chassez-le, huez-le, traitez-le de voleur. C’est un voyou…» Des propos jugés irresponsables, insultants et anti-démocratiques par Mme Dogui Marie-Noëlle. Qui a tenu à préciser que Mme Wacoubo Gogoua Catherine dont elle est la suppléante, a un état de service qui n’est pas à négliger. Elle fut député-maire de Guéyo (PDCI) de 1995 à 2000. L’électrification de Guéyo porte son empreinte. Tout comme la construction du château d’eau de la ville. Autrefois, rappelle t-elle, le pont qui relie Gueyo à Lakota était en bois. C’est Mme Wacoubo Gogoua Catherine qui l’a remplacé par une infrastructure moderne en béton. L’hydraulique villageoise, les lits de la maternité, l’ambulance, les médicaments offerts par la Pharmacie sans frontières sont à mettre à son actif avant la chute du président Bédié le 24 décembre 1999. En outre, elle a laissé une somme de 35 millions de nos francs dans les caisses de la mairie. C’est un bilan hors norme, a-t-elle fait remarquer. Avant de conclure qu’elle n’est pas une voyou. Ancienne athlète, elle est titulaire d’un DEA en Droit des affaires et est chef d’entreprise parce que gérante d’une société immobilière basée en France.
Maxime Wangué