Zié Coulibaly, candidat circonscription de Yopougon: ‘’C’est aussi un challenge que nous voulons relever’’
«C’est un sentiment de joie et de reconnaissance que d’être parrainé par le Pdci-Rda. C’est un grand parti. D’aucuns ont dit que le Pdci-Rda ne fait jamais la promotion des jeunes. Je pense qu’aujourd’hui, le président Bédié, le secrétaire général, ont joint l’acte à la parole. Et nous avons la chance d’être investi pour défendre les couleurs de notre parti, dans la commune la plus grande de Côte d’Ivoire. C’est aussi un challenge que nous voulons relever en nous mettant à la disposition de la jeunesse qui habite à Yopougon. Nous voulons dire aux populations de Yopougon qu’une nouvelle législature se mettra en place et va créer une nation forte, une république prospère et un Etat qui protège les citoyens. Pour les financements occultes, ce que je peux dire, c’est que toute campagne coûte chère. Je pense qu’il faut être beaucoup plus indulgent pour que les chevaux qui ont été lâchés puissent se battre pour faire gagner leur parti. Mais aussi en utilisant les moyens qui sont beaucoup plus légaux pour ne pas que en menant le combat pour la fraternité et la justice, on tombe dans l’intolérable».
Dr N’Guessan Euphrasie (pharmacienne), candidate circonscription de Yopougon :
‘’Nous sommes des candidats du peuple et nous serons des députés présents dans le peuple’’
« C’est une satisfaction, c’est un moment de responsabilité que je ressens. Parce que représenter le Pdci dans une grande commune comme Yopougon, c’est beaucoup de responsabilité. Mais en même temps, j’éprouve beaucoup de joie de parcourir le terrain. Rencontrer des gens, parler avec eux et surtout lever haut, le flambeau du Pdci-Rda. Je pense que le moment est arrivé de donner davantage la parole aux femmes. Les femmes qui pendant cette crise électorale ont pris leur part, à travailler à ramener la paix dans la société. Nous pensons qu’elles doivent être véritablement associées au développement du pays. Et nous remercions le parti de nous avoir choisis. Mais nous lui demandons encore de faire encore plus d’efforts pour que les femmes soient beaucoup plus retenues. Concernant nos chances, je pense que nous en avons beaucoup à Yopougon. Nous avons les jeunes avec nous, les femmes aussi et surtout une équipe dynamique, avec à notre tête, M. Djédjé Bagnon, ensuite Madame Kouadio, Zié et moi-même et Gnagne Agnéro qui est très bien au niveau de Yopougon et enfin, Maître Amoi. La population nous accueille très bien, et nous voulons leur dire que nous sommes des candidats du peuple et nous serons des députés présents dans le peuple».
Bamba Bakary, candidat dans la circonscription de Touba : ‘’C’est un honneur’’
«C’est une fierté pour moi d’être soutenu et investi par un grand parti comme le Pdci-Rda, le parti d’Houphouët-Boigny. C’est un honneur. Mes chances ! Je ne les connais pas. Mais je suis sûr qu’elles sont entre les mains de Dieu. Sur les financements occultes, je voudrais dire que moi je n’entre pas dans les considérations politiques. Vous êtes là à notre investiture et vous n’avez pas entendu parler une fois d’argent. Mon parti ne m’a pas encore donné un franc, et on ne sait même pas combien ce sera. Mais je crois que quand on se met au service du pays, les considérations financières doivent venir en arrière plan. Car le pays n’a demandé à personne de se présenter. C’est un faux débat. Vous étiez dans la salle et vous avez vu qu’il n’y a pas un candidat qui a été plus ovationné que moi. Moi-même j’ai frémi. Honnêtement ! Ça m’a fait plaisir que de grandes personnalités comme Noël Némin et Georges Ouégnin me disent, Bamba vient, on te soutient, tu es notre frère. De dignes fils d’ Houphouët, c’est quelque chose qui m’a fait chaud au cœur et ce sont des moments que je n’oublierai jamais. Elu ou pas, je n’oublierai pas ces moments intenses que j’ai connus aujourd’hui.
Dr Fatoumata Traoré, candidate, circonscription de Bouaké : «Nous allons à l’hémicycle pour gagner’’
« On va à l’hémicycle pour être élu, pour gagner. Concernant les financements occultes, je n’en sais rien pour l’instant, mais rien ne se cache et ça va se savoir ».
A. Dedi
«C’est un sentiment de joie et de reconnaissance que d’être parrainé par le Pdci-Rda. C’est un grand parti. D’aucuns ont dit que le Pdci-Rda ne fait jamais la promotion des jeunes. Je pense qu’aujourd’hui, le président Bédié, le secrétaire général, ont joint l’acte à la parole. Et nous avons la chance d’être investi pour défendre les couleurs de notre parti, dans la commune la plus grande de Côte d’Ivoire. C’est aussi un challenge que nous voulons relever en nous mettant à la disposition de la jeunesse qui habite à Yopougon. Nous voulons dire aux populations de Yopougon qu’une nouvelle législature se mettra en place et va créer une nation forte, une république prospère et un Etat qui protège les citoyens. Pour les financements occultes, ce que je peux dire, c’est que toute campagne coûte chère. Je pense qu’il faut être beaucoup plus indulgent pour que les chevaux qui ont été lâchés puissent se battre pour faire gagner leur parti. Mais aussi en utilisant les moyens qui sont beaucoup plus légaux pour ne pas que en menant le combat pour la fraternité et la justice, on tombe dans l’intolérable».
Dr N’Guessan Euphrasie (pharmacienne), candidate circonscription de Yopougon :
‘’Nous sommes des candidats du peuple et nous serons des députés présents dans le peuple’’
« C’est une satisfaction, c’est un moment de responsabilité que je ressens. Parce que représenter le Pdci dans une grande commune comme Yopougon, c’est beaucoup de responsabilité. Mais en même temps, j’éprouve beaucoup de joie de parcourir le terrain. Rencontrer des gens, parler avec eux et surtout lever haut, le flambeau du Pdci-Rda. Je pense que le moment est arrivé de donner davantage la parole aux femmes. Les femmes qui pendant cette crise électorale ont pris leur part, à travailler à ramener la paix dans la société. Nous pensons qu’elles doivent être véritablement associées au développement du pays. Et nous remercions le parti de nous avoir choisis. Mais nous lui demandons encore de faire encore plus d’efforts pour que les femmes soient beaucoup plus retenues. Concernant nos chances, je pense que nous en avons beaucoup à Yopougon. Nous avons les jeunes avec nous, les femmes aussi et surtout une équipe dynamique, avec à notre tête, M. Djédjé Bagnon, ensuite Madame Kouadio, Zié et moi-même et Gnagne Agnéro qui est très bien au niveau de Yopougon et enfin, Maître Amoi. La population nous accueille très bien, et nous voulons leur dire que nous sommes des candidats du peuple et nous serons des députés présents dans le peuple».
Bamba Bakary, candidat dans la circonscription de Touba : ‘’C’est un honneur’’
«C’est une fierté pour moi d’être soutenu et investi par un grand parti comme le Pdci-Rda, le parti d’Houphouët-Boigny. C’est un honneur. Mes chances ! Je ne les connais pas. Mais je suis sûr qu’elles sont entre les mains de Dieu. Sur les financements occultes, je voudrais dire que moi je n’entre pas dans les considérations politiques. Vous êtes là à notre investiture et vous n’avez pas entendu parler une fois d’argent. Mon parti ne m’a pas encore donné un franc, et on ne sait même pas combien ce sera. Mais je crois que quand on se met au service du pays, les considérations financières doivent venir en arrière plan. Car le pays n’a demandé à personne de se présenter. C’est un faux débat. Vous étiez dans la salle et vous avez vu qu’il n’y a pas un candidat qui a été plus ovationné que moi. Moi-même j’ai frémi. Honnêtement ! Ça m’a fait plaisir que de grandes personnalités comme Noël Némin et Georges Ouégnin me disent, Bamba vient, on te soutient, tu es notre frère. De dignes fils d’ Houphouët, c’est quelque chose qui m’a fait chaud au cœur et ce sont des moments que je n’oublierai jamais. Elu ou pas, je n’oublierai pas ces moments intenses que j’ai connus aujourd’hui.
Dr Fatoumata Traoré, candidate, circonscription de Bouaké : «Nous allons à l’hémicycle pour gagner’’
« On va à l’hémicycle pour être élu, pour gagner. Concernant les financements occultes, je n’en sais rien pour l’instant, mais rien ne se cache et ça va se savoir ».
A. Dedi
