37 candidats répartis dans 28 circonscriptions électorales, c’est l’équipe du Parti ivoirien des travailleurs pour les législatives.
A moins d’une semaine de la campagne électorale, les partis politiques ont commencé à affûter les armes. Après ceux du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp), c’est le Parti ivoirien des travailleurs (Pit) qui a investi ses 37 pions dans la course à la députation, hier, au Qg du parti, à Adjamé. Objectif, avoir le maximum de députés possible pour former un groupe parlementaire. Pour le secrétaire général, François Kouablan, c’est une question d’honneur. « Nous allons confiants mais nous demandons à nos militants de rester mobilisés parce qu’il s’agit de l’honneur de parti. Nous aurons notre groupe parlementaire. Nous comptons relever ce défi avec vous et pour vous », a-t-il lancé. A l’en croire, le terrain est prenable dans la mesure où « depuis 20 ans que le parti existe, il a toujours mis en avant l’intérêt national, l’intérêt de la population ».
Selon le président du présidium, Jérémie Kouadio N’Guessan, l’autre objectif du parti, c’est de prendre une part active au processus de réconciliation nationale, en tant que groupe parlementaire. « J’espère que les Ivoiriens nous ont compris et que partout où le Pit sera représenté, ils voteront pour lui. Il nous faut ce groupe parlementaire pour participer à la réconciliation nationale », a-t-il affirmé. La cérémonie d’investiture a consisté en une remise de kit viatique ou kit d’assistance composé, entre autres, d’une lettre d’investiture, d’un guide du candidat, d’un document de formation des représentants des bureaux de vote, etc. Après quoi, Jérémie Kouadio N’Guessan a appelé ses candidats à mener une campagne civilisée et à ne répondre à aucune provocation. « Il y a des grands et des petits mais, ça va se juger à l’arrivée. Et, c’est sûr que le Pit sera à l’arrivée », a-t-il soutenu. Sur ses 37 candidats, le Pit présentera 5 femmes dans la commune d’Abobo, de Cocody et de Guiglo.
Anne-Marie Eba
A moins d’une semaine de la campagne électorale, les partis politiques ont commencé à affûter les armes. Après ceux du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp), c’est le Parti ivoirien des travailleurs (Pit) qui a investi ses 37 pions dans la course à la députation, hier, au Qg du parti, à Adjamé. Objectif, avoir le maximum de députés possible pour former un groupe parlementaire. Pour le secrétaire général, François Kouablan, c’est une question d’honneur. « Nous allons confiants mais nous demandons à nos militants de rester mobilisés parce qu’il s’agit de l’honneur de parti. Nous aurons notre groupe parlementaire. Nous comptons relever ce défi avec vous et pour vous », a-t-il lancé. A l’en croire, le terrain est prenable dans la mesure où « depuis 20 ans que le parti existe, il a toujours mis en avant l’intérêt national, l’intérêt de la population ».
Selon le président du présidium, Jérémie Kouadio N’Guessan, l’autre objectif du parti, c’est de prendre une part active au processus de réconciliation nationale, en tant que groupe parlementaire. « J’espère que les Ivoiriens nous ont compris et que partout où le Pit sera représenté, ils voteront pour lui. Il nous faut ce groupe parlementaire pour participer à la réconciliation nationale », a-t-il affirmé. La cérémonie d’investiture a consisté en une remise de kit viatique ou kit d’assistance composé, entre autres, d’une lettre d’investiture, d’un guide du candidat, d’un document de formation des représentants des bureaux de vote, etc. Après quoi, Jérémie Kouadio N’Guessan a appelé ses candidats à mener une campagne civilisée et à ne répondre à aucune provocation. « Il y a des grands et des petits mais, ça va se juger à l’arrivée. Et, c’est sûr que le Pit sera à l’arrivée », a-t-il soutenu. Sur ses 37 candidats, le Pit présentera 5 femmes dans la commune d’Abobo, de Cocody et de Guiglo.
Anne-Marie Eba
