Nous sommes descendus dans l’arène pour prendre le pouls des populations quant à l’inscription en ligne. Voici ce que pensent des Ivoiriens.
Trazié Didier, étudiant en fin de cycle :
«Les cybercriminels peuvent frapper à tout moment»
«L’inscription en ligne est une bonne chose mais elle a des inconvénients tels que les cybercriminels qui peuvent frapper à tout moment. En revanche, l’avantage, c’est qu’elle met fin aux files d’attente devant les établissements pour les inscriptions. Cette opération qui est à sa phase expérimentale doit être poursuivie l’année prochaine afin de permettre aux élèves de s’accommoder à l’outil informatique.»
Koffi Serges Alain, ingénieur-informatique:
«On y gagne du temps»
«L’inscription en ligne est une bonne chose dans la mesure où on ne se déplace plus. Les longues files d’attente sont évitées, on gagne en temps et les jeunes frères ont là, l’occasion de se frotter à l’outil informatique. Mais, comme toute activité, cela a des inconvénients comme par exemple les ordinateurs qui peuvent se planter à tout moment et retarder quelque peu l’inscription. Il peut avoir aussi des mal inscrits. Tout compte fait, l’initiative est louable et le gouvernement devrait continuer ».
Yapo Benjamin, ouvrier :
« Il faut moderniser les fichiers de notre système éducatif»
« Les ‘’brouteurs’’ peuvent entrer dans le jeu et faire très mal. La police scientifique doit être vigilante. En revanche, l’inscription en ligne est une initiative à saluer parce qu’il faut moderniser les fichiers de notre système éducatif qui est anachronique».
Kamé serge, étudiant :
« Cela permet d’éviter des détournements de fonds»
« C’est une bonne chose, si cela permet de maîtriser les bases de données et éviter des détournements de fonds. L’argent arrive là où il est initialement destiné, et les établissements peuvent être bien gérés. Mais, pour un franc succès de l’opération, il faut que l’Etat songe à vulgariser au mieux l’Internet afin que ceux qui sont dans les zones rurales puissent aussi en bénéficier.»
Adéhi Aimée, élève en classe de Terminale:
«C’est une bonne chose»
« C’est une bonne chose, mais si les détracteurs pensent que cette opération est faite pour enrichir certains individus, tant mieux. Pour l’inscription en ligne, les élèves seront contraints à se familiariser avec l’outil informatique et épouser l’ère du temps. J’encourage tous les élèves à le faire. C’est rapide et ça évite de faire les rangs».
Maïmouna Fofana, élève en classe de 1ère à Daloa :
« La surenchère n’aura plus lieu et c’est tant mieux »
«C’est une bonne chose de faire les inscriptions en ligne. Avec ce système, on ne paye plus que la somme fixée par le gouvernement. La surenchère n’aura plus lieu et c’est tant mieux. Les recrutements parallèles sont terminés. Et l’inscription en ligne peut contribuer à assainir le système éducatif ivoirien».
Diaby Aboubacar, étudiant :
«Il aurait été judicieux d’associer à cette décision l’avis des chefs d’établissements privés »
« L’initiative est louable. Mais, il aurait été judicieux d’associer à cette décision, l’avis des chefs d’établissements privés. Ils sont aussi indispensables. Sinon c’est à encourager. Quels que soient les opérateurs qui s’occupent de l’inscription en ligne, il faut les encourager et, à la longue, trouver un seul qui s’en occupe ».
Allassou Anaïs, élève:
«C’est mon papa qui a fait mon inscription »
«Ça facilite la vie. On n’est plus obligé de se déplacer pour aller se faire inscrire. En ce qui me concerne, c’est mon papa qui a fait mon inscription dans mon établissement donc, moi-même, je ne sais rien dans l’affaire.»
Propos recueillis par M.O et J.G Tapé (Ph. Palm’s Victoria)
Trazié Didier, étudiant en fin de cycle :
«Les cybercriminels peuvent frapper à tout moment»
«L’inscription en ligne est une bonne chose mais elle a des inconvénients tels que les cybercriminels qui peuvent frapper à tout moment. En revanche, l’avantage, c’est qu’elle met fin aux files d’attente devant les établissements pour les inscriptions. Cette opération qui est à sa phase expérimentale doit être poursuivie l’année prochaine afin de permettre aux élèves de s’accommoder à l’outil informatique.»
Koffi Serges Alain, ingénieur-informatique:
«On y gagne du temps»
«L’inscription en ligne est une bonne chose dans la mesure où on ne se déplace plus. Les longues files d’attente sont évitées, on gagne en temps et les jeunes frères ont là, l’occasion de se frotter à l’outil informatique. Mais, comme toute activité, cela a des inconvénients comme par exemple les ordinateurs qui peuvent se planter à tout moment et retarder quelque peu l’inscription. Il peut avoir aussi des mal inscrits. Tout compte fait, l’initiative est louable et le gouvernement devrait continuer ».
Yapo Benjamin, ouvrier :
« Il faut moderniser les fichiers de notre système éducatif»
« Les ‘’brouteurs’’ peuvent entrer dans le jeu et faire très mal. La police scientifique doit être vigilante. En revanche, l’inscription en ligne est une initiative à saluer parce qu’il faut moderniser les fichiers de notre système éducatif qui est anachronique».
Kamé serge, étudiant :
« Cela permet d’éviter des détournements de fonds»
« C’est une bonne chose, si cela permet de maîtriser les bases de données et éviter des détournements de fonds. L’argent arrive là où il est initialement destiné, et les établissements peuvent être bien gérés. Mais, pour un franc succès de l’opération, il faut que l’Etat songe à vulgariser au mieux l’Internet afin que ceux qui sont dans les zones rurales puissent aussi en bénéficier.»
Adéhi Aimée, élève en classe de Terminale:
«C’est une bonne chose»
« C’est une bonne chose, mais si les détracteurs pensent que cette opération est faite pour enrichir certains individus, tant mieux. Pour l’inscription en ligne, les élèves seront contraints à se familiariser avec l’outil informatique et épouser l’ère du temps. J’encourage tous les élèves à le faire. C’est rapide et ça évite de faire les rangs».
Maïmouna Fofana, élève en classe de 1ère à Daloa :
« La surenchère n’aura plus lieu et c’est tant mieux »
«C’est une bonne chose de faire les inscriptions en ligne. Avec ce système, on ne paye plus que la somme fixée par le gouvernement. La surenchère n’aura plus lieu et c’est tant mieux. Les recrutements parallèles sont terminés. Et l’inscription en ligne peut contribuer à assainir le système éducatif ivoirien».
Diaby Aboubacar, étudiant :
«Il aurait été judicieux d’associer à cette décision l’avis des chefs d’établissements privés »
« L’initiative est louable. Mais, il aurait été judicieux d’associer à cette décision, l’avis des chefs d’établissements privés. Ils sont aussi indispensables. Sinon c’est à encourager. Quels que soient les opérateurs qui s’occupent de l’inscription en ligne, il faut les encourager et, à la longue, trouver un seul qui s’en occupe ».
Allassou Anaïs, élève:
«C’est mon papa qui a fait mon inscription »
«Ça facilite la vie. On n’est plus obligé de se déplacer pour aller se faire inscrire. En ce qui me concerne, c’est mon papa qui a fait mon inscription dans mon établissement donc, moi-même, je ne sais rien dans l’affaire.»
Propos recueillis par M.O et J.G Tapé (Ph. Palm’s Victoria)