Dans son message du nouvel an musulman qu’il a lu, hier, devant la presse à son domicile, sis à la Riviera, le président du Conseil supérieur des imams (Cosim) rend hommage au chef de l’Etat, Alassane Dramane Ouattara, et à son gouvernement pour leurs efforts sur le chemin de la reconstruction nationale.
Au Nom de Dieu clément, miséricordieux « Le nombre de mois, auprès d‘Allah, est de douze (mois), dans la prescription d’Allah, le jour où Il créa les cieux et la terre. Quatre d’entre eux sont sacrés : telle est la religion droite. » Coran Chap 9 verset 36.
L’avènement du nouvel An musulman, qu’inaugure le mois de Mouharam (27 novembre 2011), nous offre l’opportune occasion de rendre grâce à Allah (SWT), d’esquisser un bilan et de tenter de regarder l’avenir avec courage et espérance.
Le Conseil Supérieur des Imams (Cosim) est infiniment reconnaissant à Allah d’avoir entendu nos appels de détresse dont l’écho s’est répercuté à toutes les régions de Côte d’Ivoire.
Faut-il le rappeler ? L’année 1432 H (2011) a été marquée par la plus grande crise que la Côte d’Ivoire moderne ait connue. Jamais tant de haines ne se sont exprimées avec tant de véhémence. Jamais certains comportements humains n’ont constitué un aussi grand défi à la conscience des Ivoiriens épris de paix.
Enfin, jamais nous n’avons été poussés aussi loin, pour une confrontation fondée sur l’ethnie, la région ou sur la religion ! (projet funeste heureusement conjuré).
Aujourd’hui, chacun doit faire son autocritique et mesurer sa responsabilité personnelle dans ce drame national. Aujourd’hui, l’Etat et le pays tout entier ont la volonté de tourner la page.
Et, l’institution de la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation (CDVR) est un acte de Foi, qui a vocation à provoquer une catharsis collective afin que les Ivoiriens se retrouvent pour un véritable « Vivre ensemble »
Au plus fort de la crise, le Cosim a pris toutes ses responsabilités en interpellant avec courage les acteurs d’une « nouvelle histoire » qui contredisait le DESTIN de la Côte d’Ivoire. Face à ce qui était une provocation manifeste pour allumer la mèche d’un conflit religieux, le Cosim en a appelé à la patience et à la Foi des musulmans.
C’est l’occasion de dire toute notre fierté et toute notre reconnaissance à tous ceux qui ont entendu la voix de la sagesse.
C’est aussi l’occasion d’implorer la Grâce d’Allah (SWT) pour toutes nos sœurs et tous nos frères qui ont été victimes de la crise postélectorale.
Qu’Allah les reçoive dans son immense miséricorde. Qu’Il assiste ceux et celles qui souffrent encore des conséquences de cette tragédie nationale.
Le Cosim voudrait saisir l’occasion de ce nouvel an musulman pour renouveler, à ses frères et sœurs des autres confessions religieuses, ses vœux d’espérance et le souhait de voir se renforcer davantage nos liens fraternels.
Le Cosim voudrait aussi rendre un hommage bien mérité à Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara, président de la République, au Premier ministre, ainsi qu’au Gouvernement, pour l’œuvre immense de salut public mise en route depuis seulement quelques mois.
Qu’Allah, le Tout-Puissant, les assiste en permanence sur leurs « chantiers ».
Dans quelques jours, les Ivoiriennes et les Ivoiriens seront invités à choisir leurs représentants à l’Assemblée Nationale ; ce sera un moment important de la vie de notre Nation, pour sa crédibilité et pour son avenir.
L’Assemblée nationale est, en effet, l’Institution d’expression par excellence de la démocratie, des échanges responsables et de la construction d’un Etat de droit.
Avant cette importante échéance, et ainsi qu’il l’a toujours fait, le Cosim lance un appel à la conscience de tous les acteurs de cette élection.
Un an seulement nous sépare des élections présidentielles dont les suites ont été tragiques. N’ayons pas la mémoire courte. Dieu nous dit dans le St Coran :
« Craignez une calamité qui n’affligera pas exclusivement les injustes d’entre vous » (Coran, chap. 8 verset 25)
Le Cosim appelle à l’apaisement, à la patience, afin de doter notre pays d’une institution qui contribuera, en toute liberté, à installer la démocratie, le développement à dimension humaine, et le progrès.
Le Cosim se félicite de l’évolution heureuse de notre société vers un bien-être collectif, vers un « vivre ensemble » bien compris.
Allah nous dit dans la sourate 39 : versets 53 : « Ô Mes serviteurs qui avez commis des excès à votre propre détriment, ne désespérez pas de la miséricorde d’Allah.
Car Allah pardonne tous les péchés. »
Le Cosim offre à toute la Communauté Nationale ses vœux choisis de bonne santé, de joies familiales et d’espérance.
Bonne et heureuse année 1433 hégire.
ASSALAM ANLEYKOUM
WARAHAMATOULAHI
WA BARAKATOUHOU
Au Nom de Dieu clément, miséricordieux « Le nombre de mois, auprès d‘Allah, est de douze (mois), dans la prescription d’Allah, le jour où Il créa les cieux et la terre. Quatre d’entre eux sont sacrés : telle est la religion droite. » Coran Chap 9 verset 36.
L’avènement du nouvel An musulman, qu’inaugure le mois de Mouharam (27 novembre 2011), nous offre l’opportune occasion de rendre grâce à Allah (SWT), d’esquisser un bilan et de tenter de regarder l’avenir avec courage et espérance.
Le Conseil Supérieur des Imams (Cosim) est infiniment reconnaissant à Allah d’avoir entendu nos appels de détresse dont l’écho s’est répercuté à toutes les régions de Côte d’Ivoire.
Faut-il le rappeler ? L’année 1432 H (2011) a été marquée par la plus grande crise que la Côte d’Ivoire moderne ait connue. Jamais tant de haines ne se sont exprimées avec tant de véhémence. Jamais certains comportements humains n’ont constitué un aussi grand défi à la conscience des Ivoiriens épris de paix.
Enfin, jamais nous n’avons été poussés aussi loin, pour une confrontation fondée sur l’ethnie, la région ou sur la religion ! (projet funeste heureusement conjuré).
Aujourd’hui, chacun doit faire son autocritique et mesurer sa responsabilité personnelle dans ce drame national. Aujourd’hui, l’Etat et le pays tout entier ont la volonté de tourner la page.
Et, l’institution de la Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation (CDVR) est un acte de Foi, qui a vocation à provoquer une catharsis collective afin que les Ivoiriens se retrouvent pour un véritable « Vivre ensemble »
Au plus fort de la crise, le Cosim a pris toutes ses responsabilités en interpellant avec courage les acteurs d’une « nouvelle histoire » qui contredisait le DESTIN de la Côte d’Ivoire. Face à ce qui était une provocation manifeste pour allumer la mèche d’un conflit religieux, le Cosim en a appelé à la patience et à la Foi des musulmans.
C’est l’occasion de dire toute notre fierté et toute notre reconnaissance à tous ceux qui ont entendu la voix de la sagesse.
C’est aussi l’occasion d’implorer la Grâce d’Allah (SWT) pour toutes nos sœurs et tous nos frères qui ont été victimes de la crise postélectorale.
Qu’Allah les reçoive dans son immense miséricorde. Qu’Il assiste ceux et celles qui souffrent encore des conséquences de cette tragédie nationale.
Le Cosim voudrait saisir l’occasion de ce nouvel an musulman pour renouveler, à ses frères et sœurs des autres confessions religieuses, ses vœux d’espérance et le souhait de voir se renforcer davantage nos liens fraternels.
Le Cosim voudrait aussi rendre un hommage bien mérité à Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara, président de la République, au Premier ministre, ainsi qu’au Gouvernement, pour l’œuvre immense de salut public mise en route depuis seulement quelques mois.
Qu’Allah, le Tout-Puissant, les assiste en permanence sur leurs « chantiers ».
Dans quelques jours, les Ivoiriennes et les Ivoiriens seront invités à choisir leurs représentants à l’Assemblée Nationale ; ce sera un moment important de la vie de notre Nation, pour sa crédibilité et pour son avenir.
L’Assemblée nationale est, en effet, l’Institution d’expression par excellence de la démocratie, des échanges responsables et de la construction d’un Etat de droit.
Avant cette importante échéance, et ainsi qu’il l’a toujours fait, le Cosim lance un appel à la conscience de tous les acteurs de cette élection.
Un an seulement nous sépare des élections présidentielles dont les suites ont été tragiques. N’ayons pas la mémoire courte. Dieu nous dit dans le St Coran :
« Craignez une calamité qui n’affligera pas exclusivement les injustes d’entre vous » (Coran, chap. 8 verset 25)
Le Cosim appelle à l’apaisement, à la patience, afin de doter notre pays d’une institution qui contribuera, en toute liberté, à installer la démocratie, le développement à dimension humaine, et le progrès.
Le Cosim se félicite de l’évolution heureuse de notre société vers un bien-être collectif, vers un « vivre ensemble » bien compris.
Allah nous dit dans la sourate 39 : versets 53 : « Ô Mes serviteurs qui avez commis des excès à votre propre détriment, ne désespérez pas de la miséricorde d’Allah.
Car Allah pardonne tous les péchés. »
Le Cosim offre à toute la Communauté Nationale ses vœux choisis de bonne santé, de joies familiales et d’espérance.
Bonne et heureuse année 1433 hégire.
ASSALAM ANLEYKOUM
WARAHAMATOULAHI
WA BARAKATOUHOU