Me Affoussy Bamba, candidate du RDR dans la circoncription d’Abobo croit en la victoire du RDR dans cette commune martyre.
Le Patriote: Vous êtes candidate à la députation à Abobo. Pourquoi avoir choisi cette commune?
Affoussy Bamba: Vous savez qu’au lendemain du conclave des Forces Nouvelles, les 10 et 11 septembre 2011, les FN ont décidé de ne pas se constituer en parti politique, mais d’intégrer les partis politiques alliés du RHDP. Le RHDP auquel se sont ajoutés l’UPCI de Gnamien Konan et le PIT de Kouablan François, nous formons une coalition de sept partenaires. Au regard de la multitude des partis politiques qui existe, les FN ont décidé de ne pas se constituer en formation politique, mais plutôt d’intégrer les partis existant pour aller vers un parti unifié. Dans ce cadre, au regard d’une disposition du code électoral qui prévoit que pour se présenter à une élection, il faut le faire soit par le parrainage d’un parti politique, soit le faire en tant qu’indépendant, l’entité FN n’aurait pas pu aller à cette élection sauf à se fondre dans un parti politique ou alors à y aller tout simplement en indépendant. Nous avons choisi d’aller avec nos alliés. Cela étant, pourquoi Abobo? Parce qu’Abobo est une commune symbole, à double titre d’ailleurs. D’abord, c’est le bastion du RDR. Ensuite, elle a été une commune martyre qui a fait preuve de résistance pendant la crise post-électorale. Les populations ont résisté et montré leur fierté d’être Ivoiriens. L’autre caractéristique est qu’Abobo a été, sous le magister du FPI dont l’une des députés a été présidente du groupe parlementaire FPI, en l’occurrence, l’ex-Première Dame. Abobo est pour tout candidat à la députation, un défi formidable à relever: le défi du plein emploi, défi de la gratuité de l’école et des soins. Il faut faire en sorte que toutes les promesses électorales du Président soient une réalité pour les populations d’Abobo.
LP: Des populations ont jugé votre candidature dans cette commune, comme un parachutage. Comment avez-vous vécu cette période, même si elle est maintenant derrière nous?
AB : Je l’ai vécue dans la sérénité. Au contact du terrain, au cours de mes tournées, je me rends compte que les populations sont accueillantes. Elles sont à l’écoute de ce que je leur dis. Nous avons échangé avec plusieurs groupes de populations. Notre discours a été bien accueilli. C’est ce qui compte. C’est ce qu’il faut regarder et non pas s’attarder sur les choses qui ne sont pas importantes. Aujourd’hui, notre liste est décidée à gagner à Abobo. Elle est décidée à se battre pour gagner. C’est ce qui est important. Je vous assure que les remontées que nous avons et ce que nous voyons sur le terrain, nous confortent dans cette voie-là.
LP: La campagne ouvre aujourd’hui à minuit, (ndlr hier). Comment comptez-vous la mener?
AB : Je pense que le plan de campagne ne va pas évoluer de façon extraordinaire par rapport à la précampagne que nous avons menée. Nous sommes allés à la rencontre des populations. Nous allons continuer de les rencontrer par groupes. Nous allons animer les 24 districts de la commune. Ensuite, nous avons un QG où nous allons rencontrer les populations, écouter leurs préoccupations et répondre à celles qui sont urgentes.
LP: Abobo demeure une commune convoitée. Vous y êtes en concurrence avec d’autres partis politiques. Quelles sont vos chances?
AB L’adversité est pour nous une très bonne chose. Elle nous dynamise. Nous n’avons pas peur. Chacun a ses idées. Tous les autres candidats sont issus de partis frères. Nous n’avons peur de personne. Sur notre liste, il y a des hommes et des femmes qui sont compétents dans tous les domaines, et sont à même de répondre aux préoccupations des populations. La présence des autres ne nous effraye nullement. Nous allons donner la victoire au RDR. Nous le voulons pour que le RDR apporte la majorité au Président de la République, pour la mise en œuvre de son programme. Ce qui lui permettra d’exercer la plénitude de son pouvoir, à travers des lois qui vont être votées dans les domaines que j’ai cités mais également pour le développement du pays. Il faut que les Ivoiriens sentent les retombées de cette politique du vivre ensemble.
LP: Quelles seront vos priorités si vous avez la victoire?
AB: Tous les chantiers sont des priorités. Je vous ai parlé du plein emploi pour les jeunes. Le chômage est endémique à Abobo. La gratuité des soins, de l’école, tout cela constitue une priorité. Aucun chantier n’est prioritaire par rapport à un autre.
LP: Si vous devriez convaincre les électeurs pour porter leur choix sur vous, que leur diriez-vous?
AB: Je leur dirai que le «vivre ensemble» résume un peu tout ce que je viens de dire. En outre, le pays a traversé un moment douloureux. Et de ce moment douloureux, doit naître quelque chose de beau pour notre pays. Je demande à tout le monde d’aller en masse voter pour conforter le président de la République dans son pouvoir. Et surtout, de lui donner la chance de montrer aux Ivoiriens de quoi il est capable. Il est temps pour les Ivoiriens, de renouer avec la paix. Il est temps pour nous, d’être fiers d’être ivoiriens. La liste ‘’vivre ensemble’’, la seule liste conduite par le ministre Adama Tounkara à Abobo, est celle qu’il faut voter en masse, le 11 décembre 2011.
YMA
Le Patriote: Vous êtes candidate à la députation à Abobo. Pourquoi avoir choisi cette commune?
Affoussy Bamba: Vous savez qu’au lendemain du conclave des Forces Nouvelles, les 10 et 11 septembre 2011, les FN ont décidé de ne pas se constituer en parti politique, mais d’intégrer les partis politiques alliés du RHDP. Le RHDP auquel se sont ajoutés l’UPCI de Gnamien Konan et le PIT de Kouablan François, nous formons une coalition de sept partenaires. Au regard de la multitude des partis politiques qui existe, les FN ont décidé de ne pas se constituer en formation politique, mais plutôt d’intégrer les partis existant pour aller vers un parti unifié. Dans ce cadre, au regard d’une disposition du code électoral qui prévoit que pour se présenter à une élection, il faut le faire soit par le parrainage d’un parti politique, soit le faire en tant qu’indépendant, l’entité FN n’aurait pas pu aller à cette élection sauf à se fondre dans un parti politique ou alors à y aller tout simplement en indépendant. Nous avons choisi d’aller avec nos alliés. Cela étant, pourquoi Abobo? Parce qu’Abobo est une commune symbole, à double titre d’ailleurs. D’abord, c’est le bastion du RDR. Ensuite, elle a été une commune martyre qui a fait preuve de résistance pendant la crise post-électorale. Les populations ont résisté et montré leur fierté d’être Ivoiriens. L’autre caractéristique est qu’Abobo a été, sous le magister du FPI dont l’une des députés a été présidente du groupe parlementaire FPI, en l’occurrence, l’ex-Première Dame. Abobo est pour tout candidat à la députation, un défi formidable à relever: le défi du plein emploi, défi de la gratuité de l’école et des soins. Il faut faire en sorte que toutes les promesses électorales du Président soient une réalité pour les populations d’Abobo.
LP: Des populations ont jugé votre candidature dans cette commune, comme un parachutage. Comment avez-vous vécu cette période, même si elle est maintenant derrière nous?
AB : Je l’ai vécue dans la sérénité. Au contact du terrain, au cours de mes tournées, je me rends compte que les populations sont accueillantes. Elles sont à l’écoute de ce que je leur dis. Nous avons échangé avec plusieurs groupes de populations. Notre discours a été bien accueilli. C’est ce qui compte. C’est ce qu’il faut regarder et non pas s’attarder sur les choses qui ne sont pas importantes. Aujourd’hui, notre liste est décidée à gagner à Abobo. Elle est décidée à se battre pour gagner. C’est ce qui est important. Je vous assure que les remontées que nous avons et ce que nous voyons sur le terrain, nous confortent dans cette voie-là.
LP: La campagne ouvre aujourd’hui à minuit, (ndlr hier). Comment comptez-vous la mener?
AB : Je pense que le plan de campagne ne va pas évoluer de façon extraordinaire par rapport à la précampagne que nous avons menée. Nous sommes allés à la rencontre des populations. Nous allons continuer de les rencontrer par groupes. Nous allons animer les 24 districts de la commune. Ensuite, nous avons un QG où nous allons rencontrer les populations, écouter leurs préoccupations et répondre à celles qui sont urgentes.
LP: Abobo demeure une commune convoitée. Vous y êtes en concurrence avec d’autres partis politiques. Quelles sont vos chances?
AB L’adversité est pour nous une très bonne chose. Elle nous dynamise. Nous n’avons pas peur. Chacun a ses idées. Tous les autres candidats sont issus de partis frères. Nous n’avons peur de personne. Sur notre liste, il y a des hommes et des femmes qui sont compétents dans tous les domaines, et sont à même de répondre aux préoccupations des populations. La présence des autres ne nous effraye nullement. Nous allons donner la victoire au RDR. Nous le voulons pour que le RDR apporte la majorité au Président de la République, pour la mise en œuvre de son programme. Ce qui lui permettra d’exercer la plénitude de son pouvoir, à travers des lois qui vont être votées dans les domaines que j’ai cités mais également pour le développement du pays. Il faut que les Ivoiriens sentent les retombées de cette politique du vivre ensemble.
LP: Quelles seront vos priorités si vous avez la victoire?
AB: Tous les chantiers sont des priorités. Je vous ai parlé du plein emploi pour les jeunes. Le chômage est endémique à Abobo. La gratuité des soins, de l’école, tout cela constitue une priorité. Aucun chantier n’est prioritaire par rapport à un autre.
LP: Si vous devriez convaincre les électeurs pour porter leur choix sur vous, que leur diriez-vous?
AB: Je leur dirai que le «vivre ensemble» résume un peu tout ce que je viens de dire. En outre, le pays a traversé un moment douloureux. Et de ce moment douloureux, doit naître quelque chose de beau pour notre pays. Je demande à tout le monde d’aller en masse voter pour conforter le président de la République dans son pouvoir. Et surtout, de lui donner la chance de montrer aux Ivoiriens de quoi il est capable. Il est temps pour les Ivoiriens, de renouer avec la paix. Il est temps pour nous, d’être fiers d’être ivoiriens. La liste ‘’vivre ensemble’’, la seule liste conduite par le ministre Adama Tounkara à Abobo, est celle qu’il faut voter en masse, le 11 décembre 2011.
YMA
