Ils ont pensé que c’était un jeu. Et, qu’Ocampo lançait des paroles en l’air comme des bulles. L’homme est sans doute devenu l’un des ennemis du camp Gbagbo. Comme Choi, l’ex-patron de la mission onusienne en Côte d’Ivoire. Ocampo, Choi, deux durs à cuire. Mais dans cette affaire, il paraît que c’est le Woody, himself, qui avait saisi la Cour pénale internationale, à travers une déclaration de reconnaissance de cette cour après les évènements du 19 septembre 2002. Quel retour de manivelle ! L’ex-homme fort d’Abidjan avait ouvert les vannes. Et, ses partisans ont applaudi cette décision du « Woody ». Ils ont fait la grosse voix. Mais là, ils sont pris à leur propre jeu. Quel dommage ! A qui donc la faute ? Ne posez pas cette question à Ocampo.
Choilio Diomandé
Choilio Diomandé