Abidjan, Les 1182 candidats aux élections législatives du 11 décembre prochain ont entamé ce samedi, à 00H, la campagne électorale pour solliciter le suffrage des populations dans les 205 circonscriptions du pays.
Jusqu'au 9 décembre à minuit, candidats titulaires et suppléants de partis et de groupements politiques ainsi que des indépendants vont sillonner quartiers, villages et hameaux pour vendre leur candidature aux électeurs, dans le cadre de la dernière étape du processus électoral de sortie de crise débuté depuis la signature de l’Accord politique de Ouagadougou, le 4 mars 2007.
Face à l’enjeu que cette élection destinée à pourvoir le pays d’un parlement, contre-pouvoir de l’exécutif, le président de la Commission électorale indépendante (CEI), Youssouf Bakayoko, dans son message d’ouverture de campagne, a exhorté les candidats et leurs états-majors "à faire preuve de civisme, de discipline et de sagesse".
"La Commission électorale indépendante voudrait compter sur vous, pour mener une campagne électorale pacifique, emprunte de tolérance, d’esprit de convivialité, de fraternité et de respect de l’adversaire pour permettre à nos compatriotes de se rendre le jour du scrutin dans les bureaux de vote avec assurance et de sérénité", a déclaré Youssouf Bakayoko tout en rappelant les derniers traumatismes endurés par les uns et les autres après le scrutin présidentiel et qui ne sont pas encore cicatrisés.
Tout en assurant que la CEI "ne se départira point de son rôle d’arbitre impartial, juste et vigilant de la compétition", le président Bakayoko encourage les acteurs impliqués dans le scrutin législatif à doubler d’efforts, "pour franchir les deux dernières marches qui ouvriront la voie d’une nouvelle ère de normalité institutionnelle, de cohésion sociale, d’unité et de paix pour notre pays", a-t-il conclu.
(AIP)
Jusqu'au 9 décembre à minuit, candidats titulaires et suppléants de partis et de groupements politiques ainsi que des indépendants vont sillonner quartiers, villages et hameaux pour vendre leur candidature aux électeurs, dans le cadre de la dernière étape du processus électoral de sortie de crise débuté depuis la signature de l’Accord politique de Ouagadougou, le 4 mars 2007.
Face à l’enjeu que cette élection destinée à pourvoir le pays d’un parlement, contre-pouvoir de l’exécutif, le président de la Commission électorale indépendante (CEI), Youssouf Bakayoko, dans son message d’ouverture de campagne, a exhorté les candidats et leurs états-majors "à faire preuve de civisme, de discipline et de sagesse".
"La Commission électorale indépendante voudrait compter sur vous, pour mener une campagne électorale pacifique, emprunte de tolérance, d’esprit de convivialité, de fraternité et de respect de l’adversaire pour permettre à nos compatriotes de se rendre le jour du scrutin dans les bureaux de vote avec assurance et de sérénité", a déclaré Youssouf Bakayoko tout en rappelant les derniers traumatismes endurés par les uns et les autres après le scrutin présidentiel et qui ne sont pas encore cicatrisés.
Tout en assurant que la CEI "ne se départira point de son rôle d’arbitre impartial, juste et vigilant de la compétition", le président Bakayoko encourage les acteurs impliqués dans le scrutin législatif à doubler d’efforts, "pour franchir les deux dernières marches qui ouvriront la voie d’une nouvelle ère de normalité institutionnelle, de cohésion sociale, d’unité et de paix pour notre pays", a-t-il conclu.
(AIP)