Le secrétaire général du Parti démocratique ivoirien de Côte d’Ivoire (Pdci), Alphonse Djédjé Mady, était face à la presse hier, jeudi. Le n°2 du parti vert dit craindre des perturbations au cours du scrutin du 11 décembre prochain. « Des informations récurrentes font état de risques de perturbations et de violences, au cours du déroulement des élections législatives.
La presse annonce, par endroit, des bastonnades de candidats en précampagne et la volonté de certains d’user de violences pour obtenir la faveur des électeurs. Il nous est rapporté que des forces de l’ordre prennent fait et cause, déjà, pour certains candidats. Il nous revient que des candidats font revivre le tristement célèbre slogan d’hier, « on gagne ou gagne », a averti Djédjé Mady. C’est pour éviter donc une autre crise qu’il a invité les candidats aux élections législatives du 11 décembre à respecter le verdict des urnes. « Il faut que nous nous disposions à respecter les résultats des urnes », a fait savoir Mady.
Pour lui, la Côte d’Ivoire n’est pas condamnée à avoir des crises postélectorales répétitives.
« (…) Prouvons que l’Afrique est mûre par la démocratie », a-t-il ajouté. « A une compétition soumises à des règles, on ne gagne pas à tous les coups, on gagne ou on perd », a rappelé le secrétaire général du Pdci à l’endroit des candidats. Aux organisateurs des élections, le secrétaire de l’ex-parti unique leur a demandé de prendre toutes les dispositions utiles pour rendre le scrutin transparent et équitable (…), et d’observer une neutralité absolue. Se prononçant sur le transfèrement, mardi dernier, de Laurent Gbagbo à la Cour pénale internationale, M. Mady a déclaré que « c’est dommage qu’on en soit arrivé là ; on aurait pu éviter cette phase ». A propos des délégués qui ont été débarqués, le conférencier a précisé que ces changements survenus dans les délégations ne sont nullement des sanctions. « Le Pdci a tiré les conséquences d’une situation. Ce ne sont pas des sanctions mais des nécessités de fonctionnement », a clarifié Djédjé Mady.
JERÔME N’DRI
La presse annonce, par endroit, des bastonnades de candidats en précampagne et la volonté de certains d’user de violences pour obtenir la faveur des électeurs. Il nous est rapporté que des forces de l’ordre prennent fait et cause, déjà, pour certains candidats. Il nous revient que des candidats font revivre le tristement célèbre slogan d’hier, « on gagne ou gagne », a averti Djédjé Mady. C’est pour éviter donc une autre crise qu’il a invité les candidats aux élections législatives du 11 décembre à respecter le verdict des urnes. « Il faut que nous nous disposions à respecter les résultats des urnes », a fait savoir Mady.
Pour lui, la Côte d’Ivoire n’est pas condamnée à avoir des crises postélectorales répétitives.
« (…) Prouvons que l’Afrique est mûre par la démocratie », a-t-il ajouté. « A une compétition soumises à des règles, on ne gagne pas à tous les coups, on gagne ou on perd », a rappelé le secrétaire général du Pdci à l’endroit des candidats. Aux organisateurs des élections, le secrétaire de l’ex-parti unique leur a demandé de prendre toutes les dispositions utiles pour rendre le scrutin transparent et équitable (…), et d’observer une neutralité absolue. Se prononçant sur le transfèrement, mardi dernier, de Laurent Gbagbo à la Cour pénale internationale, M. Mady a déclaré que « c’est dommage qu’on en soit arrivé là ; on aurait pu éviter cette phase ». A propos des délégués qui ont été débarqués, le conférencier a précisé que ces changements survenus dans les délégations ne sont nullement des sanctions. « Le Pdci a tiré les conséquences d’une situation. Ce ne sont pas des sanctions mais des nécessités de fonctionnement », a clarifié Djédjé Mady.
JERÔME N’DRI