Divo, Les deux écoles primaires publiques du village de Diankro (environ 41km au nord-est de Divo), à savoir l’EPP Diankro 1 et 2 souffrent d’un manque criant d’enseignants depuis plusieurs années.
Ces deux écoles, créées pour la première en 1977 et la seconde en 2000, ne comptent qu’un total de six enseignants sur les 12 qu’il faut normalement, soit trois enseignants par école.
Ce déficit "criant" d’enseignants cause un handicap sérieux aux élèves de ces deux établissements estimés à environ 600 dont la moitié est contrainte de rester à la maison faute d’enseignants. Pour éviter à leurs progénitures de rester sans instruction, les villageois ont jusque là fait appel à des enseignants bénévoles qui sont pris en charge par le comité de gestion (coges) de chaque école.
Ces villageois qui se disent essoufflés, appellent l’Etat ivoirien à la rescousse afin de trouver une solution durable à ce "problème crucial" qui conditionne l’avenir de leurs enfants.
Le chef de village, Yéboua Assiénin, et le président des jeunes, Dian Yao, lancent un cri de cœur aux autorités académiques de Divo afin de trouver une solution à ces difficultés qui causent beaucoup de torts à leurs enfants.
« Face à ce problème, nous sommes obligés de faire appel à des enseignants bénévoles que nous payons pour enseigner nos enfants pour ne pas qu’ils restent comme ça. Mais nous sommes à bout de souffle. Que l’Etat pensent rapidement à trouver une solution pour ne pas pénaliser nos enfants », plaident-ils.
(AIP)
Ces deux écoles, créées pour la première en 1977 et la seconde en 2000, ne comptent qu’un total de six enseignants sur les 12 qu’il faut normalement, soit trois enseignants par école.
Ce déficit "criant" d’enseignants cause un handicap sérieux aux élèves de ces deux établissements estimés à environ 600 dont la moitié est contrainte de rester à la maison faute d’enseignants. Pour éviter à leurs progénitures de rester sans instruction, les villageois ont jusque là fait appel à des enseignants bénévoles qui sont pris en charge par le comité de gestion (coges) de chaque école.
Ces villageois qui se disent essoufflés, appellent l’Etat ivoirien à la rescousse afin de trouver une solution durable à ce "problème crucial" qui conditionne l’avenir de leurs enfants.
Le chef de village, Yéboua Assiénin, et le président des jeunes, Dian Yao, lancent un cri de cœur aux autorités académiques de Divo afin de trouver une solution à ces difficultés qui causent beaucoup de torts à leurs enfants.
« Face à ce problème, nous sommes obligés de faire appel à des enseignants bénévoles que nous payons pour enseigner nos enfants pour ne pas qu’ils restent comme ça. Mais nous sommes à bout de souffle. Que l’Etat pensent rapidement à trouver une solution pour ne pas pénaliser nos enfants », plaident-ils.
(AIP)