Ce n’est point une élection. C’est juste un plébiscite. Voir une proclamation qui se profile à Séguéla. Pour les législatives 20011. Voilà ce que la grande cité du Wôrôdougou a démontré hier à son fils « prodige » Hamed Bakayoko. Il est à parier que jamais le ministre d’Etat candidat n’avait bénéficié d’un accueil de cette chaleur. Ce mercredi dès Téguéla, la porte d’entre du Wôrôdougou, les siens l’attendaient. Tous les siens. La famille, les élus locaux, les cadres locaux du Rassemblement des républicains, son parti. Et en plus, le Secrétaire général de son parti, Amadou Soumahoro. Au fond toute la ville, tout le Wôrôdougou était là pour lui. Les mines sont radieuses. Les accolades sont chaleureuses. Près de 600 éléments de la confrérie Dôzô font feu de bon cœur. Après 17 ans de lutte, le RDR est bel et bien aux affaires. Et ça donne du bonheur. De Téguéla à Séguéla, 15 bons kilomètres longs d’une colonne de plus de 50 véhicules le guide. Le ministre de l’Intérieur semble surpris. Mais, il a tort. Car les gens de chez l’aiment vraiment. Ils le prouvent dès l’entrée de la ville. La morose artère principale de la ville est du coup animée. Une foule nombreuse massée de part et d’autre de la chaussée crie à se fendre à la gorge ‘‘Hambak ! Hambak ! ». Il n’en revient pas. Pour le leur rendre, il est contraint de sortir la tête de sa décapotable. Il salue, sourie, serre des mains. De nombreux téléphone portables le filment ou le photographient. Dieu ! Que ce fut long et difficile pour sa légère garde. Mais que ce fut glorieux. Un peu moins de trois quarts d’heure débout, à honorer cette foule sur cette courte artère. ‘‘Place Madégbê’’, c’est encore pour fort. Comme si personne n’avait été sur son chemin. Il retrouve plusieurs milliers des siens en délire. Ils sont venus de toutes les contrées de la cité du Wôrôdougou. Avec toutes leur culture.
Hamed Bakayoko investit déjà pour 200 millions
Difficilement il se fraie un chemin pour son siège. Pas trop loin de Madjêma Diomandé, Chef de village, et de tout l’Imamat. Celui-ci bénit avec foi la cérémonie. « Bienvenu M. le Député, l’accueille Yaya Meïté, patron du RDR dans le Département. Oui, il est déjà élu puisque tout Séguéla s’est réuni pour accueillir son fils prodige ». Son géniteur et son épouse sourient. Ils sont fiers. Ils le seront encore plus lorsque le Secrétaire général de son parti prend la parole. « Hamed, tu es la fierté du Wôrôdougou. Jamais un fils d’ici n’a occupé le l’illustre poste de ministre d’Etat ministre de l’Intérieur. Dimanche, il n’y a pas d’élection. Il s’agira juste d’une nomination ». Il interroge la foule qui acquiesce.
On va dire, qui dit mieux ? Séguéla est aux pieds de Hamed Bakayoko. Lui n’aime pas cependant ce terme. Lui préfère être aux pieds de Séguéla. « Pendant les élections présidentielles vous nous avez honoré, avoue-t-il. Au RDR on est plus fort. Vous nous avez permis d’avoir beaucoup de choses. C’est nous qui vous devons. » Du coup, il s’engage sur un investissement de 200 millions de FCFA pour sa région. Il va crée la ‘‘Fondation MAYAMA’’ du nom de sa chère et défunte mère qui repose dans cette cité pour financer les femmes. En attendant, des contributions extérieures d’amis, il la dote personnellement de 100 millions de FCFA. Puis, il va investir pour 100 millions de FCFA dans un projet agropastoral pour juguler le chômage. « Je veux faire de Séguéla un grand carrefour de la Côte d’Ivoire », a-t-il aussi gagé sous les ovations de son peuple. Mais tout cela pour lui n’est que justice. «Je suis fier d’être le futur Député de Séguéla avec l’onction et la bénédiction de tous, se réjouit-il. C’est une chance pour moi de servir la terre de mes ancêtres. J’en suis fier. Mais je veux qu’aucun des six siège n’échappe au RDR. Ce serai une honte ». La foule acquiesce et l’acclame débout. Hamed Bakayoko est prophète chez lui. Mais aussi chez les autres. A Bonon, en chemin pour Séguéla, c’est une foule d’automobiles et motocycles qui lui coupent la coupe la route. Il s’arrête, anime un meeting. Il assure le candidat du RDR, Yacouba Koné, de son soutien et de celui du Président du RDR Alassane Ouattara. A la grande joie d’un public qui l’attendait depuis plusieurs heures. Il en est de même à Daloa, où la liste RDR conduite par Badaud Darret, son collègue ministre, l’a attendu et accompagné avec une foule des grands jours jusqu’à la sortie de la ville. Hamed Bakayoko n’est pas un prophète de nos temps.
Ce n’est point une élection. C’est juste un plébiscite. Voir une proclamation qui se profile à Séguéla. Pour les législatives 20011. Voilà ce que la grande cité du Wôrôdougou a démontré hier à son fils « prodige » Hamed Bakayoko. Il est à parier que jamais le ministre d’Etat candidat n’avait bénéficié d’un accueil de cette chaleur. Ce mercredi dès Téguéla, la porte d’entre du Wôrôdougou, les siens l’attendaient. Tous les siens. La famille, les élus locaux, les cadres locaux du Rassemblement des républicains, son parti. Et en plus, le Secrétaire général de son parti, Amadou Soumahoro. Au fond toute la ville, tout le Wôrôdougou était là pour lui. Les mines sont radieuses. Les accolades sont chaleureuses. Près de 600 éléments de la confrérie Dôzô font feu de bon cœur. Après 17 ans de lutte, le RDR est bel et bien aux affaires. Et ça donne du bonheur. De Téguéla à Séguéla, 15 bons kilomètres longs d’une colonne de plus de 50 véhicules le guide. Le ministre de l’Intérieur semble surpris. Mais, il a tort. Car les gens de chez l’aiment vraiment. Ils le prouvent dès l’entrée de la ville. La morose artère principale de la ville est du coup animée. Une foule nombreuse massée de part et d’autre de la chaussée crie à se fendre à la gorge ‘‘Hambak ! Hambak ! ». Il n’en revient pas. Pour le leur rendre, il est contraint de sortir la tête de sa décapotable. Il salue, sourie, serre des mains. De nombreux téléphone portables le filment ou le photographient. Dieu ! Que ce fut long et difficile pour sa légère garde. Mais que ce fut glorieux. Un peu moins de trois quarts d’heure débout, à honorer cette foule sur cette courte artère. ‘‘Place Madégbê’’, c’est encore pour fort. Comme si personne n’avait été sur son chemin. Il retrouve plusieurs milliers des siens en délire. Ils sont venus de toutes les contrées de la cité du Wôrôdougou. Avec toutes leur culture.
Hamed Bakayoko investit déjà pour 200 millions
Difficilement il se fraie un chemin pour son siège. Pas trop loin de Madjêma Diomandé, Chef de village, et de tout l’Imamat. Celui-ci bénit avec foi la cérémonie. « Bienvenu M. le Député, l’accueille Yaya Meïté, patron du RDR dans le Département. Oui, il est déjà élu puisque tout Séguéla s’est réuni pour accueillir son fils prodige ». Son géniteur et son épouse sourient. Ils sont fiers. Ils le seront encore plus lorsque le Secrétaire général de son parti prend la parole. « Hamed, tu es la fierté du Wôrôdougou. Jamais un fils d’ici n’a occupé le l’illustre poste de ministre d’Etat ministre de l’Intérieur. Dimanche, il n’y a pas d’élection. Il s’agira juste d’une nomination ». Il interroge la foule qui acquiesce.
On va dire, qui dit mieux ? Séguéla est aux pieds de Hamed Bakayoko. Lui n’aime pas cependant ce terme. Lui préfère être aux pieds de Séguéla. « Pendant les élections présidentielles vous nous avez honoré, avoue-t-il. Au RDR on est plus fort. Vous nous avez permis d’avoir beaucoup de choses. C’est nous qui vous devons. » Du coup, il s’engage sur un investissement de 200 millions de FCFA pour sa région. Il va crée la ‘‘Fondation MAYAMA’’ du nom de sa chère et défunte mère qui repose dans cette cité pour financer les femmes. En attendant, des contributions extérieures d’amis, il la dote personnellement de 100 millions de FCFA. Puis, il va investir pour 100 millions de FCFA dans un projet agropastoral pour juguler le chômage. « Je veux faire de Séguéla un grand carrefour de la Côte d’Ivoire », a-t-il aussi gagé sous les ovations de son peuple. Mais tout cela pour lui n’est que justice. «Je suis fier d’être le futur Député de Séguéla avec l’onction et la bénédiction de tous, se réjouit-il. C’est une chance pour moi de servir la terre de mes ancêtres. J’en suis fier. Mais je veux qu’aucun des six siège n’échappe au RDR. Ce serai une honte ». La foule acquiesce et l’acclame débout. Hamed Bakayoko est prophète chez lui. Mais aussi chez les autres. A Bonon, en chemin pour Séguéla, c’est une foule d’automobiles et motocycles qui lui coupent la coupe la route. Il s’arrête, anime un meeting. Il assure le candidat du RDR, Yacouba Koné, de son soutien et de celui du Président du RDR Alassane Ouattara. A la grande joie d’un public qui l’attendait depuis plusieurs heures. Il en est de même à Daloa, où la liste RDR conduite par Badaud Darret, son collègue ministre, l’a attendu et accompagné avec une foule des grands jours jusqu’à la sortie de la ville. Hamed Bakayoko n’est pas un prophète de nos temps.
KIGBAFORY Inza
Hamed Bakayoko investit déjà pour 200 millions
Difficilement il se fraie un chemin pour son siège. Pas trop loin de Madjêma Diomandé, Chef de village, et de tout l’Imamat. Celui-ci bénit avec foi la cérémonie. « Bienvenu M. le Député, l’accueille Yaya Meïté, patron du RDR dans le Département. Oui, il est déjà élu puisque tout Séguéla s’est réuni pour accueillir son fils prodige ». Son géniteur et son épouse sourient. Ils sont fiers. Ils le seront encore plus lorsque le Secrétaire général de son parti prend la parole. « Hamed, tu es la fierté du Wôrôdougou. Jamais un fils d’ici n’a occupé le l’illustre poste de ministre d’Etat ministre de l’Intérieur. Dimanche, il n’y a pas d’élection. Il s’agira juste d’une nomination ». Il interroge la foule qui acquiesce.
On va dire, qui dit mieux ? Séguéla est aux pieds de Hamed Bakayoko. Lui n’aime pas cependant ce terme. Lui préfère être aux pieds de Séguéla. « Pendant les élections présidentielles vous nous avez honoré, avoue-t-il. Au RDR on est plus fort. Vous nous avez permis d’avoir beaucoup de choses. C’est nous qui vous devons. » Du coup, il s’engage sur un investissement de 200 millions de FCFA pour sa région. Il va crée la ‘‘Fondation MAYAMA’’ du nom de sa chère et défunte mère qui repose dans cette cité pour financer les femmes. En attendant, des contributions extérieures d’amis, il la dote personnellement de 100 millions de FCFA. Puis, il va investir pour 100 millions de FCFA dans un projet agropastoral pour juguler le chômage. « Je veux faire de Séguéla un grand carrefour de la Côte d’Ivoire », a-t-il aussi gagé sous les ovations de son peuple. Mais tout cela pour lui n’est que justice. «Je suis fier d’être le futur Député de Séguéla avec l’onction et la bénédiction de tous, se réjouit-il. C’est une chance pour moi de servir la terre de mes ancêtres. J’en suis fier. Mais je veux qu’aucun des six siège n’échappe au RDR. Ce serai une honte ». La foule acquiesce et l’acclame débout. Hamed Bakayoko est prophète chez lui. Mais aussi chez les autres. A Bonon, en chemin pour Séguéla, c’est une foule d’automobiles et motocycles qui lui coupent la coupe la route. Il s’arrête, anime un meeting. Il assure le candidat du RDR, Yacouba Koné, de son soutien et de celui du Président du RDR Alassane Ouattara. A la grande joie d’un public qui l’attendait depuis plusieurs heures. Il en est de même à Daloa, où la liste RDR conduite par Badaud Darret, son collègue ministre, l’a attendu et accompagné avec une foule des grands jours jusqu’à la sortie de la ville. Hamed Bakayoko n’est pas un prophète de nos temps.
Ce n’est point une élection. C’est juste un plébiscite. Voir une proclamation qui se profile à Séguéla. Pour les législatives 20011. Voilà ce que la grande cité du Wôrôdougou a démontré hier à son fils « prodige » Hamed Bakayoko. Il est à parier que jamais le ministre d’Etat candidat n’avait bénéficié d’un accueil de cette chaleur. Ce mercredi dès Téguéla, la porte d’entre du Wôrôdougou, les siens l’attendaient. Tous les siens. La famille, les élus locaux, les cadres locaux du Rassemblement des républicains, son parti. Et en plus, le Secrétaire général de son parti, Amadou Soumahoro. Au fond toute la ville, tout le Wôrôdougou était là pour lui. Les mines sont radieuses. Les accolades sont chaleureuses. Près de 600 éléments de la confrérie Dôzô font feu de bon cœur. Après 17 ans de lutte, le RDR est bel et bien aux affaires. Et ça donne du bonheur. De Téguéla à Séguéla, 15 bons kilomètres longs d’une colonne de plus de 50 véhicules le guide. Le ministre de l’Intérieur semble surpris. Mais, il a tort. Car les gens de chez l’aiment vraiment. Ils le prouvent dès l’entrée de la ville. La morose artère principale de la ville est du coup animée. Une foule nombreuse massée de part et d’autre de la chaussée crie à se fendre à la gorge ‘‘Hambak ! Hambak ! ». Il n’en revient pas. Pour le leur rendre, il est contraint de sortir la tête de sa décapotable. Il salue, sourie, serre des mains. De nombreux téléphone portables le filment ou le photographient. Dieu ! Que ce fut long et difficile pour sa légère garde. Mais que ce fut glorieux. Un peu moins de trois quarts d’heure débout, à honorer cette foule sur cette courte artère. ‘‘Place Madégbê’’, c’est encore pour fort. Comme si personne n’avait été sur son chemin. Il retrouve plusieurs milliers des siens en délire. Ils sont venus de toutes les contrées de la cité du Wôrôdougou. Avec toutes leur culture.
Hamed Bakayoko investit déjà pour 200 millions
Difficilement il se fraie un chemin pour son siège. Pas trop loin de Madjêma Diomandé, Chef de village, et de tout l’Imamat. Celui-ci bénit avec foi la cérémonie. « Bienvenu M. le Député, l’accueille Yaya Meïté, patron du RDR dans le Département. Oui, il est déjà élu puisque tout Séguéla s’est réuni pour accueillir son fils prodige ». Son géniteur et son épouse sourient. Ils sont fiers. Ils le seront encore plus lorsque le Secrétaire général de son parti prend la parole. « Hamed, tu es la fierté du Wôrôdougou. Jamais un fils d’ici n’a occupé le l’illustre poste de ministre d’Etat ministre de l’Intérieur. Dimanche, il n’y a pas d’élection. Il s’agira juste d’une nomination ». Il interroge la foule qui acquiesce.
On va dire, qui dit mieux ? Séguéla est aux pieds de Hamed Bakayoko. Lui n’aime pas cependant ce terme. Lui préfère être aux pieds de Séguéla. « Pendant les élections présidentielles vous nous avez honoré, avoue-t-il. Au RDR on est plus fort. Vous nous avez permis d’avoir beaucoup de choses. C’est nous qui vous devons. » Du coup, il s’engage sur un investissement de 200 millions de FCFA pour sa région. Il va crée la ‘‘Fondation MAYAMA’’ du nom de sa chère et défunte mère qui repose dans cette cité pour financer les femmes. En attendant, des contributions extérieures d’amis, il la dote personnellement de 100 millions de FCFA. Puis, il va investir pour 100 millions de FCFA dans un projet agropastoral pour juguler le chômage. « Je veux faire de Séguéla un grand carrefour de la Côte d’Ivoire », a-t-il aussi gagé sous les ovations de son peuple. Mais tout cela pour lui n’est que justice. «Je suis fier d’être le futur Député de Séguéla avec l’onction et la bénédiction de tous, se réjouit-il. C’est une chance pour moi de servir la terre de mes ancêtres. J’en suis fier. Mais je veux qu’aucun des six siège n’échappe au RDR. Ce serai une honte ». La foule acquiesce et l’acclame débout. Hamed Bakayoko est prophète chez lui. Mais aussi chez les autres. A Bonon, en chemin pour Séguéla, c’est une foule d’automobiles et motocycles qui lui coupent la coupe la route. Il s’arrête, anime un meeting. Il assure le candidat du RDR, Yacouba Koné, de son soutien et de celui du Président du RDR Alassane Ouattara. A la grande joie d’un public qui l’attendait depuis plusieurs heures. Il en est de même à Daloa, où la liste RDR conduite par Badaud Darret, son collègue ministre, l’a attendu et accompagné avec une foule des grands jours jusqu’à la sortie de la ville. Hamed Bakayoko n’est pas un prophète de nos temps.
KIGBAFORY Inza