Candidat aux législatives dans la circonscription de Brobo, Louis Kouakou Abonoua dénonce le mauvais découpage électoral dont Brobo est victime. Il prévient que cette situation peut créer des troubles au soir du 11 décembre prochain.
La campagne touche bientôt à sa fin, quels sont vos chances réelles pour remporter ces élections législatives ?
Je n’ais aucune crainte quant au succès de la liste que je conduis. Cela, parce que, depuis 2003, nous avons sillonné tous les villages et campements pour vendre le massage de paix d’Houphouet-Boigny. Nous avons, à cette occasion, assisté et apporté le réconfort aux populations. Nous nous sommes mis à leur service pour panser leurs plaies et disposer les cœurs. Nous sommes sereins parce que nous ne sommes pas des candidats parachutés. Moi et ma colistière, sommes ancrés dans la circonscription. Ce n’est pas pour faire des prophéties mais je dis qu’au soir du 11 décembre prochain, la liste du Pdci triomphera largement dans cette circonscription électorale.
Vous semblez sûr de votre victoire…
Aujourd’hui, le temps de l’élève est venu et, l’élève qui a appris au jour le jour n’a pas de raison de trembler au moment où vient l’épreuve. Quand vous tremblez, vous êtes prompt à la tricherie. Et la tricherie amène la violence. Donc, nous ne voulons pas de la tricherie. C’est pourquoi nous interpellons le ministère de l’Intérieur qui a en charge le découpage des circonscriptions électorales. Parce que nous avons été surpris et ahuris de constater qu’un pan entier de la commune de Koko qui fait partie de la ville de Bouaké, nommé Kouadio Prikro, a été rattaché à Brobo. C’est un gros village de plus de 700 électeurs qui n’était pas dans la circonscription électorale de Brobo. Cela est difficile à comprendre et je crois que les autorités gagneraient à rétablir, à réparer cette situation pour que nous ne connaissions pas des événements malheureux lors des élections législatives du 11 décembre prochain.
Votre mot de fin ?
A tous ceux qui ont refusé de participer à ces élections législatives, notamment le Fpi qui pose comme préalable, la libération de l’ex-président Laurent Gbagbo, je dis qu’ils ont manqué-là l’occasion de faire libérer leur leader. Est-ce qu’il y a un endroit véritablement plus indiqué que l’hémicycle pour poser des revendications ? Si vous voulez libérer Laurent Gbagbo, allez-y constituer un groupe parlementaire, prenez la majorité à l’Assemblée nationale et jouez le jeu démocratique.
Entretien réalisé à Brobo par Dénis Koné
La campagne touche bientôt à sa fin, quels sont vos chances réelles pour remporter ces élections législatives ?
Je n’ais aucune crainte quant au succès de la liste que je conduis. Cela, parce que, depuis 2003, nous avons sillonné tous les villages et campements pour vendre le massage de paix d’Houphouet-Boigny. Nous avons, à cette occasion, assisté et apporté le réconfort aux populations. Nous nous sommes mis à leur service pour panser leurs plaies et disposer les cœurs. Nous sommes sereins parce que nous ne sommes pas des candidats parachutés. Moi et ma colistière, sommes ancrés dans la circonscription. Ce n’est pas pour faire des prophéties mais je dis qu’au soir du 11 décembre prochain, la liste du Pdci triomphera largement dans cette circonscription électorale.
Vous semblez sûr de votre victoire…
Aujourd’hui, le temps de l’élève est venu et, l’élève qui a appris au jour le jour n’a pas de raison de trembler au moment où vient l’épreuve. Quand vous tremblez, vous êtes prompt à la tricherie. Et la tricherie amène la violence. Donc, nous ne voulons pas de la tricherie. C’est pourquoi nous interpellons le ministère de l’Intérieur qui a en charge le découpage des circonscriptions électorales. Parce que nous avons été surpris et ahuris de constater qu’un pan entier de la commune de Koko qui fait partie de la ville de Bouaké, nommé Kouadio Prikro, a été rattaché à Brobo. C’est un gros village de plus de 700 électeurs qui n’était pas dans la circonscription électorale de Brobo. Cela est difficile à comprendre et je crois que les autorités gagneraient à rétablir, à réparer cette situation pour que nous ne connaissions pas des événements malheureux lors des élections législatives du 11 décembre prochain.
Votre mot de fin ?
A tous ceux qui ont refusé de participer à ces élections législatives, notamment le Fpi qui pose comme préalable, la libération de l’ex-président Laurent Gbagbo, je dis qu’ils ont manqué-là l’occasion de faire libérer leur leader. Est-ce qu’il y a un endroit véritablement plus indiqué que l’hémicycle pour poser des revendications ? Si vous voulez libérer Laurent Gbagbo, allez-y constituer un groupe parlementaire, prenez la majorité à l’Assemblée nationale et jouez le jeu démocratique.
Entretien réalisé à Brobo par Dénis Koné