Avant son meeting de clôture prévu, aujourd’hui, le candidat Guillaume Soro a exhorté chacun de ses parents à s’approprier sa campagne.
Si l’on en juge la ferveur qui a entouré la campagne de Guillaume Soro, certaines personnes vont sûrement regretter que la campagne s’achève si tôt. Avant le meeting de fin de campagne qu’il doit animer aujourd’hui, dans la cité du Tchologo, le candidat aux législatives à Ferké-commune, Guillaume Soro et son suppléant, ont eu l’occasion de communier avec les populations de Bromakoté, Dioulabougou et Saint Paul. A cette occasion, le Premier ministre-candidat a invité ses ‘’parents’’ des quartiers visités, à s’approprier son ambition. « Cette campagne ne doit pas être l’affaire de Koné Lancina, directeur de campagne, ça doit être l’affaire de chacun d’entre nous tous ici rassemblés », a indiqué le chef du gouvernement ivoirien qui ne s’est nullement ménagé durant ces sept jours de campagne. Pour lui, chaque habitant de Bromakoté, de Dioulabougou et de Saint Paul et, au-delà, toutes les populations acquises à sa cause doivent « allez pour convaincre deux, cinq, six ou dix personnes pour qu’ils sortent pour aller au vote le 11 décembre. Parce que si vous laissez ce rôle seulement à Lancina, il ne peut pas se multiplier. Il faut que chacun, dans sa maison soit le directeur de campagne. Si dans ta propre maison, tu n’as pas pu convaincre les gens à aller voter Guillaume Soro, c’est que tu es un mauvais directeur de campagne ». Mais, le candidat Soro n’a pas oublié de donner les armes qu’il faut à ces ‘’directeurs de campagne’’. Il a vanté les actions de développement qu’il a initiées dans le département, bien avant même de devenir Premier ministre. « Je sais que la région du Tchologo, notre département, dans notre région, il y a des difficultés, qui ont fait que le développement s’est estompé depuis plusieurs années. Les grandes voies de Ferké qui faisaient sa fierté sont aujourd’hui parsemées de trous, la ville s’est dégradée. Et ce déséquilibre socio-économique est important, le chômage des jeunes s’est accrû, nos villages, les produits vivriers agricoles ne sont plus achetés comme il faut et ce sont des problèmes de développement. Nous sommes en train de réfléchir pour voir ce qui peut être fait rapidement. On n’a pas attendu de venir briguer le poste de député. Hier, on était à Sokoro pour mettre de la lumière (…) », a expliqué Guillaume Soro. Autant le reconnaître, le meeting de clôture d’aujourd’hui, promet d’être une liesse.
Marc Dossa
Si l’on en juge la ferveur qui a entouré la campagne de Guillaume Soro, certaines personnes vont sûrement regretter que la campagne s’achève si tôt. Avant le meeting de fin de campagne qu’il doit animer aujourd’hui, dans la cité du Tchologo, le candidat aux législatives à Ferké-commune, Guillaume Soro et son suppléant, ont eu l’occasion de communier avec les populations de Bromakoté, Dioulabougou et Saint Paul. A cette occasion, le Premier ministre-candidat a invité ses ‘’parents’’ des quartiers visités, à s’approprier son ambition. « Cette campagne ne doit pas être l’affaire de Koné Lancina, directeur de campagne, ça doit être l’affaire de chacun d’entre nous tous ici rassemblés », a indiqué le chef du gouvernement ivoirien qui ne s’est nullement ménagé durant ces sept jours de campagne. Pour lui, chaque habitant de Bromakoté, de Dioulabougou et de Saint Paul et, au-delà, toutes les populations acquises à sa cause doivent « allez pour convaincre deux, cinq, six ou dix personnes pour qu’ils sortent pour aller au vote le 11 décembre. Parce que si vous laissez ce rôle seulement à Lancina, il ne peut pas se multiplier. Il faut que chacun, dans sa maison soit le directeur de campagne. Si dans ta propre maison, tu n’as pas pu convaincre les gens à aller voter Guillaume Soro, c’est que tu es un mauvais directeur de campagne ». Mais, le candidat Soro n’a pas oublié de donner les armes qu’il faut à ces ‘’directeurs de campagne’’. Il a vanté les actions de développement qu’il a initiées dans le département, bien avant même de devenir Premier ministre. « Je sais que la région du Tchologo, notre département, dans notre région, il y a des difficultés, qui ont fait que le développement s’est estompé depuis plusieurs années. Les grandes voies de Ferké qui faisaient sa fierté sont aujourd’hui parsemées de trous, la ville s’est dégradée. Et ce déséquilibre socio-économique est important, le chômage des jeunes s’est accrû, nos villages, les produits vivriers agricoles ne sont plus achetés comme il faut et ce sont des problèmes de développement. Nous sommes en train de réfléchir pour voir ce qui peut être fait rapidement. On n’a pas attendu de venir briguer le poste de député. Hier, on était à Sokoro pour mettre de la lumière (…) », a expliqué Guillaume Soro. Autant le reconnaître, le meeting de clôture d’aujourd’hui, promet d’être une liesse.
Marc Dossa
