Depuis qu’elle a eu vent du transfèrement de son époux, Laurent Gbagbo, à La Haye, Simone Gbagbo affiche une mine grave qui témoigne de l’état d’abattement dans lequel elle est plongée.
L’ex-première Dame Simone Gbagbo n’a jamais tant renfrogné la mine que cette soirée du mardi 29 novembre dernier, depuis son arrivée à Odienné, il y a huit mois. Le transfèrement de Laurent Gbagbo, pour être jugé à La Haye par la Cour pénale internationale, a mis son épouse dans un état d’abattement. Elle avait le masque des jours de deuil. A défaut de pleurer à chaudes larmes devant ses hôtes, Mme Gbagbo a gardé cette expression de visage toute la nuit de mardi quand elle a eu vent de la « mauvaise nouvelle ». Les traits de son visage sont restés ainsi toute la journée du mercredi. Selon des indiscrétions, l’ex-dame de fer qui a appris la nouvelle au journal de 18 heures de la radio Onuci-Fm et au journal télévisé de 20 heures de la Télévision ivoirienne, a été gagnée par une grande tristesse. Certainement la plus grande depuis son arrivée à Odienné. Toujours selon une source bien introduite dans son entourage, le désappointement de Simone Gbagbo était perceptible dans les heures qui ont suivi le départ de Laurent Gbagbo. Elle est restée longtemps assise penaude dans le divan du salon, le regard livide. Elle est restée durant des heures dans cette position avant de regagner la chambre. La visite d’un des avocats du couple dans la matinée du mercredi, n’a en rien contribué à la dérider. Cet avocat qui a suivi le film des événements à Korhogo s’est longuement entretenu avec sa cliente avant de prendre congé d’elle dans la soirée. Etait-il venu lui remonter le moral ou lui annoncer d’autres choses ? En tout cas, rien n’a filtré sur le contenu de l’entretien qui a duré des heures. Si la plupart des visiteurs de l’ex-première Dame confient reconnaître en elle une femme de caractère par la force d’âme qu’elle montre, le transfèrement de son époux pour la capitale des Pays-Bas est un gros coup dur. Pour l’heure, on ne sait pas grand’chose de sa réaction suite à la première comparution de son époux, lundi dernier.
Ténin Bè Ousmane à Odienné
L’ex-première Dame Simone Gbagbo n’a jamais tant renfrogné la mine que cette soirée du mardi 29 novembre dernier, depuis son arrivée à Odienné, il y a huit mois. Le transfèrement de Laurent Gbagbo, pour être jugé à La Haye par la Cour pénale internationale, a mis son épouse dans un état d’abattement. Elle avait le masque des jours de deuil. A défaut de pleurer à chaudes larmes devant ses hôtes, Mme Gbagbo a gardé cette expression de visage toute la nuit de mardi quand elle a eu vent de la « mauvaise nouvelle ». Les traits de son visage sont restés ainsi toute la journée du mercredi. Selon des indiscrétions, l’ex-dame de fer qui a appris la nouvelle au journal de 18 heures de la radio Onuci-Fm et au journal télévisé de 20 heures de la Télévision ivoirienne, a été gagnée par une grande tristesse. Certainement la plus grande depuis son arrivée à Odienné. Toujours selon une source bien introduite dans son entourage, le désappointement de Simone Gbagbo était perceptible dans les heures qui ont suivi le départ de Laurent Gbagbo. Elle est restée longtemps assise penaude dans le divan du salon, le regard livide. Elle est restée durant des heures dans cette position avant de regagner la chambre. La visite d’un des avocats du couple dans la matinée du mercredi, n’a en rien contribué à la dérider. Cet avocat qui a suivi le film des événements à Korhogo s’est longuement entretenu avec sa cliente avant de prendre congé d’elle dans la soirée. Etait-il venu lui remonter le moral ou lui annoncer d’autres choses ? En tout cas, rien n’a filtré sur le contenu de l’entretien qui a duré des heures. Si la plupart des visiteurs de l’ex-première Dame confient reconnaître en elle une femme de caractère par la force d’âme qu’elle montre, le transfèrement de son époux pour la capitale des Pays-Bas est un gros coup dur. Pour l’heure, on ne sait pas grand’chose de sa réaction suite à la première comparution de son époux, lundi dernier.
Ténin Bè Ousmane à Odienné
