L’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire bannit l’anti-jeu, au vote, dimanche. Bert Koenders chef de cette mission appelle de tous ses vœux un scrutin apisé. Il se félicite de la mobilisation de près de 3105 observateurs électoraux.
Pas de coups bas ni de croc-en-jambe. Le principal observateur, certificateur du processus électoral, l’Onuci exhorte au fair-play pour le vote de dimanche. Bert Koenders, chef de la mission, édicte même les règles du jeu. « Il est crucial que le scrutin de dimanche se déroule dans un environnement calme, apaisé, et que les candidats et les électeurs jouissent de leur pleine liberté de mouvement. Les actes de violence, d’intimidation ou d’obstruction ne pourraient être tolérés étroitement et seront étroitement surveillés et analysés par la suite », a-t-il prévenu, hier, à la conférence de presse qu’il a animée à Sebroko, siège de ladite représentation onusienne. Elle-même contribue à sa manière au succès de l’échéance électorale. Car, « les composantes militaires et de police de l’Onuci s’y emploient, en soutien des Frci (Forces républicaines de Côte d’Ivoire), de la police et de la gendarmerie ». Cette collaboration peut conforter les électeurs, dit Koenders, qui rassure aussi de l’appui logistique de l’Onuci à la Commission électorale indépendante (Cei). Une raison principale motive cet entrain des fonctionnaires commis par l’Onu. C’est selon leur chef, à Abidjan, parce que « les élections législatives sont une étape importante pour la réconciliation nationale ».
Le chef de l’Onuci dit avoir échangé avec plusieurs délégations d’observation électorale. Et que l’engouement autour du vote dénote de son importance. « Au total, ce sont près de 150 observateurs venant de la sous-région, de l’Afrique tout entière, mais aussi d’Europe et des Etats-Unis, qui seront mobilisés pour suivre le scrutin de dimanche prochain », a relevé le successeur de Y.J. Choi. Ces observateurs s’ajoutent à « près de 3000 » autres, des nationaux, qu’il a rencontrés dans l’après-midi de vendredi.
Bidi Ignace
Pas de coups bas ni de croc-en-jambe. Le principal observateur, certificateur du processus électoral, l’Onuci exhorte au fair-play pour le vote de dimanche. Bert Koenders, chef de la mission, édicte même les règles du jeu. « Il est crucial que le scrutin de dimanche se déroule dans un environnement calme, apaisé, et que les candidats et les électeurs jouissent de leur pleine liberté de mouvement. Les actes de violence, d’intimidation ou d’obstruction ne pourraient être tolérés étroitement et seront étroitement surveillés et analysés par la suite », a-t-il prévenu, hier, à la conférence de presse qu’il a animée à Sebroko, siège de ladite représentation onusienne. Elle-même contribue à sa manière au succès de l’échéance électorale. Car, « les composantes militaires et de police de l’Onuci s’y emploient, en soutien des Frci (Forces républicaines de Côte d’Ivoire), de la police et de la gendarmerie ». Cette collaboration peut conforter les électeurs, dit Koenders, qui rassure aussi de l’appui logistique de l’Onuci à la Commission électorale indépendante (Cei). Une raison principale motive cet entrain des fonctionnaires commis par l’Onu. C’est selon leur chef, à Abidjan, parce que « les élections législatives sont une étape importante pour la réconciliation nationale ».
Le chef de l’Onuci dit avoir échangé avec plusieurs délégations d’observation électorale. Et que l’engouement autour du vote dénote de son importance. « Au total, ce sont près de 150 observateurs venant de la sous-région, de l’Afrique tout entière, mais aussi d’Europe et des Etats-Unis, qui seront mobilisés pour suivre le scrutin de dimanche prochain », a relevé le successeur de Y.J. Choi. Ces observateurs s’ajoutent à « près de 3000 » autres, des nationaux, qu’il a rencontrés dans l’après-midi de vendredi.
Bidi Ignace
