Pour la seconde fois, après les deux tours de l’élection présidentielle, en novembre et octobre derniers, l’Uemoa commet dix parlementaires en vue d’observer le scrutin de dimanche.
Abdourahamane Sow, le chef de délégation, justifie le retour de la mission en Côte d’Ivoire par le souci de l’Uemoa de participer à la « consolidation de la démocratie » sur les bords de la lagune Ebrié. L’échantillon, la mission, va s’éclater en petits groupes, selon des zones choisies. Pour ce faire, le chef de mission et son adjoint, Oundé Touléma ont rencontré la Commission électorale indépendante (Cei) et l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (Onuci). Ils comptent aussi recueillir une base de données électoraleS auprès des autorités.
Les observateurs de la sous-région promettent de travailler selon les règles dudit domaine. La neutralité, la réserve et la rédaction d’un document résumant leurs observations sont autant d’étapeS qui, disent-ils, crédibilisent leur rôle. Leurs écrits permettront à l’Union des Etats de suivre la marche de la Côte d’Ivoire vers la démocratie et l’intégration, selon le chef de mission.
L’observation ne nécessitant pas forcément un observateur dans chaque bureau de vote, le CIP compte sur la collaboration qu’il aura avec d’autres homologues nationaux et internationaux sur le terrain.
B.I.
Abdourahamane Sow, le chef de délégation, justifie le retour de la mission en Côte d’Ivoire par le souci de l’Uemoa de participer à la « consolidation de la démocratie » sur les bords de la lagune Ebrié. L’échantillon, la mission, va s’éclater en petits groupes, selon des zones choisies. Pour ce faire, le chef de mission et son adjoint, Oundé Touléma ont rencontré la Commission électorale indépendante (Cei) et l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (Onuci). Ils comptent aussi recueillir une base de données électoraleS auprès des autorités.
Les observateurs de la sous-région promettent de travailler selon les règles dudit domaine. La neutralité, la réserve et la rédaction d’un document résumant leurs observations sont autant d’étapeS qui, disent-ils, crédibilisent leur rôle. Leurs écrits permettront à l’Union des Etats de suivre la marche de la Côte d’Ivoire vers la démocratie et l’intégration, selon le chef de mission.
L’observation ne nécessitant pas forcément un observateur dans chaque bureau de vote, le CIP compte sur la collaboration qu’il aura avec d’autres homologues nationaux et internationaux sur le terrain.
B.I.