ABIDJAN - Les opérations de vote pour les élections législatives en Côte d`Ivoire se sont progressivement achevées dimanche, à partir de 17H00 (locales et GMT), et le dépouillement a aussitôt commencé, ont constaté des journalistes de l`AFP.
Le dépouillement des bulletins, une grande feuille sur laquelle l`électeur devait cocher le nom de son candidat ou mettre son empreinte digitale avec de l`encre indélébile, s`effectuait en présence de représentants de la commission électorale et des candidats.
Les bureaux de vote visités par l`AFP à Abidjan et à Bouaké (centre), ancienne capitale rebelle, affichaient une participation faible, en très net recul par rapport à la présidentielle.
Le parti de l`ex-président Laurent Gbagbo, écroué à la Cour pénale
internationale (CPI), avait appelé au boycott du scrutin. Mais de nombreux
électeurs ne sont pas passionnés pour ces élections, étant davantage
préoccupés par l`amélioration de leur condition de vie.
"La participation est très faible, mais ce n`est pas une affaire de boycott. Les gens sont déçus car on leur dit d`aller voter et après il y a des bagarres", a souligné un électeur dans le quartier du Plateau, le centre administratif d`ABidjan.
Il faisait référence aux violences ayant suivies la présidentielle de novembre 2010 qui ont fait 3.000 morts
cpy-str/pb
Le dépouillement des bulletins, une grande feuille sur laquelle l`électeur devait cocher le nom de son candidat ou mettre son empreinte digitale avec de l`encre indélébile, s`effectuait en présence de représentants de la commission électorale et des candidats.
Les bureaux de vote visités par l`AFP à Abidjan et à Bouaké (centre), ancienne capitale rebelle, affichaient une participation faible, en très net recul par rapport à la présidentielle.
Le parti de l`ex-président Laurent Gbagbo, écroué à la Cour pénale
internationale (CPI), avait appelé au boycott du scrutin. Mais de nombreux
électeurs ne sont pas passionnés pour ces élections, étant davantage
préoccupés par l`amélioration de leur condition de vie.
"La participation est très faible, mais ce n`est pas une affaire de boycott. Les gens sont déçus car on leur dit d`aller voter et après il y a des bagarres", a souligné un électeur dans le quartier du Plateau, le centre administratif d`ABidjan.
Il faisait référence aux violences ayant suivies la présidentielle de novembre 2010 qui ont fait 3.000 morts
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