A l’instar des autres candidats et citoyens ivoiriens, Mamadou Koulibaly a accompli son acte de citoyen, le dimanche 11 décembre 2011. Il a voté au lieu de vote 050 à l’EPP (Ecole Primaire Publique) Abri 2002 au bureau de vote 04 à Koumassi, sous le coup de 11H 00 mn.
L’ex-président de l’Assemblée Nationale, Mamadou Koulibaly, candidat à sa propre succession aux législatives dans la commune de Koumassi, était du rendez-vous à 11 heures précises. Dix minutes avant, son véhicule pointe aux abords de l’école primaire Abri 2002. Tenue décontractée, souriant, Mamadou Koulibaly était accompagné d’une délégation composée de son épouse et son secrétaire général Brissi Takaléa Claude. Il rend honneur aux agents de la Police Nationale affrétés à la surveillance de ce lieu de vote. Après vérification de son identité, le président de LIDER (Liberté et Démocratie pour la République), accomplit son acte citoyen. « Je constate que contrairement aux présidentielles, à la même heure, il n’y a pas la foule que j’avais observée la dernière fois. Je crois que le traumatisme demeure. Les gens sont à l’église, m’a-t-on dit, ils viendront, il faut l’espérer. Quoi qu’il en soit nous sommes obligés d’avancer sur la voie de la démocratie. Et je suis convaincu que le vote nous conduira facilement à la démocratie, que la guerre, que les bagarres, que les peurs et les méfiances inutiles », a-t-il fait savoir. Devant la faible affluence des électeurs, il exhorte : « J’encourage vivement tout le monde à voter ». Sur le fait qu’il soit confiant ou non, Mamadou Koulibaly a un autre regard : « Moi, je continue l’implantation de LIDER, quel que soit le résultat de ce vote. L’idée pour nous étant la transformation de la Côte d’Ivoire, ce n’est pas seulement un fauteuil de député. Je suis confiant pas par mon succès, mais du fait qu’il n’y a pas d’autres voies que de voter, voter, voter, pour que la violence recule et que la démocratie prenne le pas sur la force ». Lui qui dit ne rien savoir sur la transparence du scrutin. « Je n’en sais rien pour le moment. Tout est calme, mais il faut regarder dans le fond…Je n’en sais rien encore. Je n’en ai pas eu d’échos », a-t-il conclu.
A .Dedi
L’ex-président de l’Assemblée Nationale, Mamadou Koulibaly, candidat à sa propre succession aux législatives dans la commune de Koumassi, était du rendez-vous à 11 heures précises. Dix minutes avant, son véhicule pointe aux abords de l’école primaire Abri 2002. Tenue décontractée, souriant, Mamadou Koulibaly était accompagné d’une délégation composée de son épouse et son secrétaire général Brissi Takaléa Claude. Il rend honneur aux agents de la Police Nationale affrétés à la surveillance de ce lieu de vote. Après vérification de son identité, le président de LIDER (Liberté et Démocratie pour la République), accomplit son acte citoyen. « Je constate que contrairement aux présidentielles, à la même heure, il n’y a pas la foule que j’avais observée la dernière fois. Je crois que le traumatisme demeure. Les gens sont à l’église, m’a-t-on dit, ils viendront, il faut l’espérer. Quoi qu’il en soit nous sommes obligés d’avancer sur la voie de la démocratie. Et je suis convaincu que le vote nous conduira facilement à la démocratie, que la guerre, que les bagarres, que les peurs et les méfiances inutiles », a-t-il fait savoir. Devant la faible affluence des électeurs, il exhorte : « J’encourage vivement tout le monde à voter ». Sur le fait qu’il soit confiant ou non, Mamadou Koulibaly a un autre regard : « Moi, je continue l’implantation de LIDER, quel que soit le résultat de ce vote. L’idée pour nous étant la transformation de la Côte d’Ivoire, ce n’est pas seulement un fauteuil de député. Je suis confiant pas par mon succès, mais du fait qu’il n’y a pas d’autres voies que de voter, voter, voter, pour que la violence recule et que la démocratie prenne le pas sur la force ». Lui qui dit ne rien savoir sur la transparence du scrutin. « Je n’en sais rien pour le moment. Tout est calme, mais il faut regarder dans le fond…Je n’en sais rien encore. Je n’en ai pas eu d’échos », a-t-il conclu.
A .Dedi