De mémoire d’Ivoirien, jamais la Côte d’Ivoire n’a atteint, en terme de taux de participation, le record de la présidentielle de 2010. En effet, ces élections, de sortie de crise, ont connu, au premier tour en octobre et au deuxième tour en novembre, une mobilisation exceptionnelle des électeurs. Puisque, les Ivoiriens devaient exprimer, dans les urnes, si oui ou non il fallait continuer avec la Refondation. Ils ont mis dix ans à attendre ce moment fatidique. Maintes fois reportées, ils avaient fini par croire que ces élections ne viendraient plus. Et, le ras-le-bol était général.
Pour la première fois, les élections présidentielles avaient un enjeu réel. Elles étaient libres, démocratiques, inclusives, transparentes… Les trois gros bras, Alassane Ouattara, Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo, qui ont rythmé la vie politique durant ces dernières décennies, étaient de la course. Mais, aussi et surtout, toutes les dispositions ont été prises, lors de ce scrutin, pour endiguer toutes les velléités de fraude. A preuve, Laurent Gbagbo s’y est essayé. Il a été dénoncé. Et, on a vu la suite. Pour la première fois, en Côte d’Ivoire, le scrutin a mobilisé un grand nombre d’observateurs nationaux et internationaux. Et, ces élections étaient placées sous la certification des Nations Unies.
K. Marras. D
Pour la première fois, les élections présidentielles avaient un enjeu réel. Elles étaient libres, démocratiques, inclusives, transparentes… Les trois gros bras, Alassane Ouattara, Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo, qui ont rythmé la vie politique durant ces dernières décennies, étaient de la course. Mais, aussi et surtout, toutes les dispositions ont été prises, lors de ce scrutin, pour endiguer toutes les velléités de fraude. A preuve, Laurent Gbagbo s’y est essayé. Il a été dénoncé. Et, on a vu la suite. Pour la première fois, en Côte d’Ivoire, le scrutin a mobilisé un grand nombre d’observateurs nationaux et internationaux. Et, ces élections étaient placées sous la certification des Nations Unies.
K. Marras. D