Des électeurs de la commune de Yopougon ont voté dans la tranquillité, hier. Les différents centres que nous avons visités, ont ouvert vers 8 heures, selon leurs responsables respectifs. Les présidents de bureau, les accesseurs et les représentants des partis politiques étaient tous présents. A Sicogi 11, l’ambiance est conviviale avec une affluence notable. Amidou Yéo, électeur, s’en fait une idée : « l’une des principales raisons est que beaucoup de gens ignorent les enjeux des législatives.
Ils estiment que le plus important était la présidentielle ». L’ambiance timide est la même dans l’enceinte du groupe scolaire primaire et public Bad-Lem, qui compte 7 bureaux de vote. Les électeurs ont traîné les pieds pour s’acquitter de leur droit civique. Lors des présidentielles, l’on avait déploré des empêchements de vote dans ce centre. Pour les législatives, la réalité est tout autre. Pour Mme Atché née N’da, présidente d’un bureau de vote dans ledit centre, les électeurs ont peut-être eu peur par rapport aux atrocités vécues après la présidentielle. Pour elle, il fallait attendre la fin du scrutin pour parler de l’affluence.
Au centre Sicogi 9, les électeurs arrivaient aussi au compte-gouttes. Emile Katié, électeur arrivé vers 11h a affirmé qu’il était allé à l’église avant de venir prendre part aux élections. Souleymane Yéo, président du bureau de vote 2, était optimiste à l’ouverture de son bureau de vote. « Dès l’ouverture, de 8 heures jusqu’à maintenant (11h30), dit-il, on constate de plus en plus d’engouement.
Nous espérons que dans l’après-midi, ils viendront nombreux voter ». A l’école primaire publique Sicogi Terminus, au quartier Niangon, 21 votants sur 376 et 17 sur 368 ont respectivement été enregistrés dans les bureaux 8 et 12, à 8h35min. La présence effective des forces de sécurité (police nationale et forces onusiennes) était rassurante dans tous les centres de vote visités.
O.T. (stagiaire)
Ils estiment que le plus important était la présidentielle ». L’ambiance timide est la même dans l’enceinte du groupe scolaire primaire et public Bad-Lem, qui compte 7 bureaux de vote. Les électeurs ont traîné les pieds pour s’acquitter de leur droit civique. Lors des présidentielles, l’on avait déploré des empêchements de vote dans ce centre. Pour les législatives, la réalité est tout autre. Pour Mme Atché née N’da, présidente d’un bureau de vote dans ledit centre, les électeurs ont peut-être eu peur par rapport aux atrocités vécues après la présidentielle. Pour elle, il fallait attendre la fin du scrutin pour parler de l’affluence.
Au centre Sicogi 9, les électeurs arrivaient aussi au compte-gouttes. Emile Katié, électeur arrivé vers 11h a affirmé qu’il était allé à l’église avant de venir prendre part aux élections. Souleymane Yéo, président du bureau de vote 2, était optimiste à l’ouverture de son bureau de vote. « Dès l’ouverture, de 8 heures jusqu’à maintenant (11h30), dit-il, on constate de plus en plus d’engouement.
Nous espérons que dans l’après-midi, ils viendront nombreux voter ». A l’école primaire publique Sicogi Terminus, au quartier Niangon, 21 votants sur 376 et 17 sur 368 ont respectivement été enregistrés dans les bureaux 8 et 12, à 8h35min. La présence effective des forces de sécurité (police nationale et forces onusiennes) était rassurante dans tous les centres de vote visités.
O.T. (stagiaire)