Les élections législatives ont été perturbées, hier, dans les deux bureaux de vote de Konanplikro, village situé non loin du campus 2 de Bouaké. Le nouveau découpage rattache ce village, situé en pleine ville, à la commune de Brobo, 15kms de Bouaké. Alors que pour la présidentielle, les électeurs des deux centres de vote ont voté dans la commune de Bouaké. Une situation que les électeurs de ces deux bureaux de vote et les candidats de Bouaké et de Brobo n’ont pas voulu cautionner.
Des jeunes l’admettent difficilement au point ils ont interrompu le vote dans les deux bureaux de Konanplikro. Pour eux, le vote fait en ces lieux n’est pas normal. Ils ont même tenté de retirer les bulletins de vote des urnes. L’arrivée d’un convoi de policiers les en a empêché. Le découpage controversé fait que les électeurs doivent voter pour des candidats qu’ils ne connaissent pas. Ces électeurs ont dû rebrousser chemin. Par contre, ceux qui voulaient forcément voter ont tenu compte du parti et non du candidat. Le préfet de la région du Gbêkè, Aka Konin, qui s’est rendu à Konanplikro, a profondément déploré l’incident.
Denis Koné à Bouaké
Des jeunes l’admettent difficilement au point ils ont interrompu le vote dans les deux bureaux de Konanplikro. Pour eux, le vote fait en ces lieux n’est pas normal. Ils ont même tenté de retirer les bulletins de vote des urnes. L’arrivée d’un convoi de policiers les en a empêché. Le découpage controversé fait que les électeurs doivent voter pour des candidats qu’ils ne connaissent pas. Ces électeurs ont dû rebrousser chemin. Par contre, ceux qui voulaient forcément voter ont tenu compte du parti et non du candidat. Le préfet de la région du Gbêkè, Aka Konin, qui s’est rendu à Konanplikro, a profondément déploré l’incident.
Denis Koné à Bouaké