A l’instar des autres régions de la Côte d’Ivoire, les électeurs ne se sont pas bousculés aux portes des bureaux de vote, à Ferkessédougou.
A notre passage dans le premier bureau de vote, visité au quartier Douane, tout le monde était en place. Le président du bureau de vote et ses assesseurs, de même que les représentants des candidats. Seuls manquaient à l’appel, les électeurs. Le Premier ministre, Guillaume Soro - can didat, tête de liste du Rassemblement des républicains (Rdr) n’a pas voté à Ferkessédougou.
En principe, c’est à Grand-Bassam qu’il vote. Après une semaine de campagne bien remplie, il a regagné la capitale économique, Abidjan, dans la soirée du samedi. “Le problème n`est même plus de gagner, le problème c`est qu`on doit choisir notre score”, avait-il lancé, vendredi dernier aux jeunes, au Centre polyvalent de Ferkessédougou.
48 heures après cette annonce, le constat sur le terrain est que les populations ont tardé à choisir le score de 99%, qui doit plébisciter Guillaume Soro, “comme étant le premier des élus de ces législatives “, pour paraphraser son directeur de campagne. Des présidents de bureau de vote et des électeurs expliquent le manque d’engouement. Pour Coulibaly Issa, « le manque d’un adversaire de poids contre mon candidat Guillaume Soro, est un facteur qui va jouer sur le taux de participation ».
Durant toute la semaine de campagne, le taux de participation était la principale préoccupation du maire Lacina Koné, directeur de campagne de Guillaume Soro. “Le départ précipité du Premier ministre-candidat a contribué à faire baisser la fièvre électorale, qui s’était emparée de la ville”, soutient Mme Touré. Sur le terrain, jusqu’à 11 heures, les électeurs se comptaient sur le bout des doigts. Du quartier Bromakoté au quartier Douane, en passant par le quartier Mossibougou, le constat est le même : pas d’affluence.
Cheick Timité, envoyé spécial à Ferkessédougou
A notre passage dans le premier bureau de vote, visité au quartier Douane, tout le monde était en place. Le président du bureau de vote et ses assesseurs, de même que les représentants des candidats. Seuls manquaient à l’appel, les électeurs. Le Premier ministre, Guillaume Soro - can didat, tête de liste du Rassemblement des républicains (Rdr) n’a pas voté à Ferkessédougou.
En principe, c’est à Grand-Bassam qu’il vote. Après une semaine de campagne bien remplie, il a regagné la capitale économique, Abidjan, dans la soirée du samedi. “Le problème n`est même plus de gagner, le problème c`est qu`on doit choisir notre score”, avait-il lancé, vendredi dernier aux jeunes, au Centre polyvalent de Ferkessédougou.
48 heures après cette annonce, le constat sur le terrain est que les populations ont tardé à choisir le score de 99%, qui doit plébisciter Guillaume Soro, “comme étant le premier des élus de ces législatives “, pour paraphraser son directeur de campagne. Des présidents de bureau de vote et des électeurs expliquent le manque d’engouement. Pour Coulibaly Issa, « le manque d’un adversaire de poids contre mon candidat Guillaume Soro, est un facteur qui va jouer sur le taux de participation ».
Durant toute la semaine de campagne, le taux de participation était la principale préoccupation du maire Lacina Koné, directeur de campagne de Guillaume Soro. “Le départ précipité du Premier ministre-candidat a contribué à faire baisser la fièvre électorale, qui s’était emparée de la ville”, soutient Mme Touré. Sur le terrain, jusqu’à 11 heures, les électeurs se comptaient sur le bout des doigts. Du quartier Bromakoté au quartier Douane, en passant par le quartier Mossibougou, le constat est le même : pas d’affluence.
Cheick Timité, envoyé spécial à Ferkessédougou
