Le ministre des Droits de l'homme et des libertés publiques, Coulibaly Gnénéma, a saisi l'occasion de la journée internationale des droits de l'homme célébrée le samedi dernier, pour livrer son opinion sur le transfèrement de l'ancien président Laurent Gbagbo à la Cour pénale internationale. «L'on ne peut que se réjouir de ce qu'il soit établi qu'aucune impunité n'est favorisée en Côte d'Ivoire. Nous venons de traverser il ya quelques mois une situation dramatique pour les droits de l'homme en Côte d'Ivoire. S'il est établi que certaines personnes sont responsables de ces faits, nous ne pouvons qu'appeler à ce qu'elles répondent devant les juridictions.
Nous pensons qu'il est légitime que la loi soit appliquée à tous, même à un ancien chef de l'Etat», a-t-il estimé. Pour la 63è anniversaire de l'adoption de la Déclaration des droits de l'homme, le premier protecteur des droits des Ivoiriens et des libertés publiques, a dressé le bilan de la situation, tout en mesurant le chemin qui reste à parcourir pour assurer le respect des libertés fondamentales en Côte d'Ivoire. Selon lui, son pays après la décennie de crise marquée par des violations massives des droits de l'homme, s'est véritablement engagée dans l'œuvre de construction d'un Etat de droit cher au président de la République, Alassane Ouattara.
Dans cette perspective, a-t-il ajouté, les mécanismes institutionnels et juridiques mis en place par le gouvernement travaillent à l'amélioration des droits de l'homme. C'est pourquoi l'équipe gouvernementale projette d'harmoniser la légalisation nationale, avec la ratification des conventions et de contribuer par des actions d'information, de sensibilisation et d'éducation à l'implantation d'une culture des droits humains en Côte d'Ivoire. Le thème de la journée ''Droits de l'homme et réseaux sociaux'' vient ainsi permettre aux citoyens du monde en général et aux Ivoiriens en particulier d'être informés via l'internet sur les actions menées en faveur de la promotion des Droits humains.
Lacina Ouattara
Nous pensons qu'il est légitime que la loi soit appliquée à tous, même à un ancien chef de l'Etat», a-t-il estimé. Pour la 63è anniversaire de l'adoption de la Déclaration des droits de l'homme, le premier protecteur des droits des Ivoiriens et des libertés publiques, a dressé le bilan de la situation, tout en mesurant le chemin qui reste à parcourir pour assurer le respect des libertés fondamentales en Côte d'Ivoire. Selon lui, son pays après la décennie de crise marquée par des violations massives des droits de l'homme, s'est véritablement engagée dans l'œuvre de construction d'un Etat de droit cher au président de la République, Alassane Ouattara.
Dans cette perspective, a-t-il ajouté, les mécanismes institutionnels et juridiques mis en place par le gouvernement travaillent à l'amélioration des droits de l'homme. C'est pourquoi l'équipe gouvernementale projette d'harmoniser la légalisation nationale, avec la ratification des conventions et de contribuer par des actions d'information, de sensibilisation et d'éducation à l'implantation d'une culture des droits humains en Côte d'Ivoire. Le thème de la journée ''Droits de l'homme et réseaux sociaux'' vient ainsi permettre aux citoyens du monde en général et aux Ivoiriens en particulier d'être informés via l'internet sur les actions menées en faveur de la promotion des Droits humains.
Lacina Ouattara