A l’instar de la majorité de ses collègues, le ministre de la Promotion de la jeunesse et du service civique, Alain Lobognon vient de renforcer sa légitimité politique en remportant les élections à Fresco.
Vous venez d’être élu à Fresco. Quel sentiment vous anime ?
C’est un sentiment de fierté. Je suis fier d’avoir été plébiscité par mes parents. Moi qui, jusque-là, dans un passé récent, était affublé de titre très peu porteur. Aujourd’hui, la population de Fresco reconnaît en moi son leader. C’est pour moi, l’occasion d’une rupture dans la gestion des affaires politiques dans le département de Fresco.
Quelle est la suite du combat ?
Conformément aux attentes du chef de l’Etat et du Premier ministre, il s’agit de consolider la démocratie en Côte d’ivoire. Pour ce qui est du département de Fresco, nous allons amorcer enfin le développement de ce département qui a vu le jour en 2008, après être resté 48 ans durant, une sous-préfecture. Les enjeux sont de taille et les attentes grandes. Nous pensons donc utiliser notre force et notre statut actuel pour faire progresser Fresco.
Avec la victoire de la majorité de leurs cadres à ces législatives, les Forces nouvelles entendent-elles former un groupe parlementaire ?
La question a été tranchée au conclave des Forces nouvelles qui s’est tenu les 9 et 10 septembre derniers. Il était question, pour nous, de demeurer un mouvement politique et participer aux élections sous la bannière des partis traditionnels qui existent. Rappelez-vous que nous avions appelé à la création d’un parti unifié dans le cadre du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix. Les Forces nouvelles restent sur leur position, jusqu’à preuve du contraire. D’ailleurs, la plupart des cadres des Forces nouvelles, dont le Premier ministre qui est leur chef, ont participé à ce scrutin sous la bannière du parti présidentiel.
Propos recueillis par MAE
Vous venez d’être élu à Fresco. Quel sentiment vous anime ?
C’est un sentiment de fierté. Je suis fier d’avoir été plébiscité par mes parents. Moi qui, jusque-là, dans un passé récent, était affublé de titre très peu porteur. Aujourd’hui, la population de Fresco reconnaît en moi son leader. C’est pour moi, l’occasion d’une rupture dans la gestion des affaires politiques dans le département de Fresco.
Quelle est la suite du combat ?
Conformément aux attentes du chef de l’Etat et du Premier ministre, il s’agit de consolider la démocratie en Côte d’ivoire. Pour ce qui est du département de Fresco, nous allons amorcer enfin le développement de ce département qui a vu le jour en 2008, après être resté 48 ans durant, une sous-préfecture. Les enjeux sont de taille et les attentes grandes. Nous pensons donc utiliser notre force et notre statut actuel pour faire progresser Fresco.
Avec la victoire de la majorité de leurs cadres à ces législatives, les Forces nouvelles entendent-elles former un groupe parlementaire ?
La question a été tranchée au conclave des Forces nouvelles qui s’est tenu les 9 et 10 septembre derniers. Il était question, pour nous, de demeurer un mouvement politique et participer aux élections sous la bannière des partis traditionnels qui existent. Rappelez-vous que nous avions appelé à la création d’un parti unifié dans le cadre du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix. Les Forces nouvelles restent sur leur position, jusqu’à preuve du contraire. D’ailleurs, la plupart des cadres des Forces nouvelles, dont le Premier ministre qui est leur chef, ont participé à ce scrutin sous la bannière du parti présidentiel.
Propos recueillis par MAE