Agboville, Le préfet de la région de l’Agnéby-Tiassa, préfet du département d’Agboville, Bako Digbé Anatole Privat exhorte les cadres et militants proches du Front populaire ivoirien (FPI-opposition) de sa circonscription et du pays à participer à la vie de la nation.
Lundi dans un entretien avec la presse locale, Bako Privat a exprimé son souhait de voir « ses frères » s’impliquer dans la vie économique, sociale et politique du pays, de sorte à participer à sa reconstruction.
Selon lui, il n’est pas trop tard pour une contribution effective des intelligences de ce parti à la vie de la nation et ce, malgré l’absence officielle du FPI aux législatives. « Que ceux qui ont été élus collaborent pour qu’on puisse développer le pays », a plaidé le préfet.
L'administrateur civil a par ailleurs encouragé les partisans de l’ex-président, Laurent Gbagbo, à concourir à la décrispation de l’atmosphère politique. Pour lui, la participation du FPI à l’élection municipale prochaine pourrait aider à cette détente.
« Il faut que le FPI accepte de venir à ce scrutin, car leur place est encore là », s'est-il dit persuadé, précisant néanmoins que cette option relève du Front populaire ivoirien qui est le mieux placé pour l’exprimer.
(AIP)
Lundi dans un entretien avec la presse locale, Bako Privat a exprimé son souhait de voir « ses frères » s’impliquer dans la vie économique, sociale et politique du pays, de sorte à participer à sa reconstruction.
Selon lui, il n’est pas trop tard pour une contribution effective des intelligences de ce parti à la vie de la nation et ce, malgré l’absence officielle du FPI aux législatives. « Que ceux qui ont été élus collaborent pour qu’on puisse développer le pays », a plaidé le préfet.
L'administrateur civil a par ailleurs encouragé les partisans de l’ex-président, Laurent Gbagbo, à concourir à la décrispation de l’atmosphère politique. Pour lui, la participation du FPI à l’élection municipale prochaine pourrait aider à cette détente.
« Il faut que le FPI accepte de venir à ce scrutin, car leur place est encore là », s'est-il dit persuadé, précisant néanmoins que cette option relève du Front populaire ivoirien qui est le mieux placé pour l’exprimer.
(AIP)