Le rideau est tombé le dimanche 18 décembre 2011 sur la première édition du Festival de Danses traditionnelles, théâtre et contes dénommé «Afrik Color Festival ». Qui s’est tenu à l’Alliance franco –ivoirienne (AFI) de Yamoussoukro. Initié par Akowé Production, du nom du comédien Akowé (Eboua Nestor), promoteur dudit festival, cette plate-forme artistique et d’échanges culturels a regroupé du 14 au 18 décembre 2011, une douzaine de troupes, venues du Bénin (Akpêtêbê), du Mali, du Burkina Faso (Liwaga) et de la Côte d’Ivoire (Académie CNAC de Korhogo).
Le coup d’essai a été un coup de maître pour Akowé qui a rassemblé le public sur le théâtre de la verdure de l’AFI, à l’Auditorium du Lycée Mamie Adjoua et à la Zone «Z» au quartier 220 logements de la ville. Les différents spectacles présentés par les festivaliers qui ont fait montre de leur art, ont tenu en haleine le public, au point que celui-ci a réclamé la tenue immédiate de la seconde édition. Selon M. Eboua Nestor dit Akowé, commissaire général du festival, il s’agit pour sa structure, à travers Afrik Color Festival, de magnifier l’Afrique, en associant tous les rythmes du continent. «Il faut mettre l’intégration africaine en avant et faire fi de toutes nos divergences de vue.
Seule l’unité des enfants de l’Afrique peut faire avancer ce continent … Et cette intégration ne peut aller sans l’art. Tous savent ici que l’art est rassembleur. Nous devons communier pour donner une bonne image de l’Afrique», a-t-il indiqué. Ce festival, a précisé Akowé, s’inscrit dans le moule de la réconciliation entre les Ivoiriens. «Nous artistes, ne devons pas être en marge de ce processus», a-t-il dit. «Comme les festivals de Limoge en France, de Berlin en Allemagne, nous envisageons de faire d’Afrik Color Festival, le rendez-vous culturel annuel incontournable du continent», a-t-il souligné.
Diallo Harry
Le coup d’essai a été un coup de maître pour Akowé qui a rassemblé le public sur le théâtre de la verdure de l’AFI, à l’Auditorium du Lycée Mamie Adjoua et à la Zone «Z» au quartier 220 logements de la ville. Les différents spectacles présentés par les festivaliers qui ont fait montre de leur art, ont tenu en haleine le public, au point que celui-ci a réclamé la tenue immédiate de la seconde édition. Selon M. Eboua Nestor dit Akowé, commissaire général du festival, il s’agit pour sa structure, à travers Afrik Color Festival, de magnifier l’Afrique, en associant tous les rythmes du continent. «Il faut mettre l’intégration africaine en avant et faire fi de toutes nos divergences de vue.
Seule l’unité des enfants de l’Afrique peut faire avancer ce continent … Et cette intégration ne peut aller sans l’art. Tous savent ici que l’art est rassembleur. Nous devons communier pour donner une bonne image de l’Afrique», a-t-il indiqué. Ce festival, a précisé Akowé, s’inscrit dans le moule de la réconciliation entre les Ivoiriens. «Nous artistes, ne devons pas être en marge de ce processus», a-t-il dit. «Comme les festivals de Limoge en France, de Berlin en Allemagne, nous envisageons de faire d’Afrik Color Festival, le rendez-vous culturel annuel incontournable du continent», a-t-il souligné.
Diallo Harry