Bamako (Mali) – L’ambassadeur de la Côte d’Ivoire au Mali, Samuel Ouattara, se réjouit des « débuts prometteurs » et des belles perspectives qui s’ouvrent dans les chantiers de la coopération, notamment entre Abidjan et Bamako.
Recevant, ce lundi, à Bamako, au siège de la représentation diplomatique ivoirienne, la directrice centrale de l’AIP, Mme Sana-Barry Oumou, et la rédactrice en chef, chargée des Bureaux régionaux, Mlle Coulibaly Maryam Angèle Sonia, en mission de prospection professionnelle auprès de l’Agence malienne de presse et de publicité (AMAP), l'ambassadeur Ouattara a souligné que, "depuis sa prise de fonction, à Bamako, le 30 septembre, les autorités ivoiriennes n’ont nullement laissé ses services aux oubliettes".
Il a rappelé, à ce propos, les visites effectuées à Bamako par l'épouse du chef de l'Etat ivoirien, Mme Dominique Ouattara, ainsi que par le chef de l'Etat lui-même, Alassane Ouattara, et fait savoir que de nombreux chantiers ont ainsi été ouverts, depuis la mission présidentielle. Puis, il a également annoncé que, sur instruction de sa hiérarchie, plusieurs visites techniques associées ont été effectuées, en vue de la réactivation, dès le premier trimestre 2012, de la grande commission mixte de coopération entre le Mali et la Côte d'Ivoire.
Le représentant de la Côte d’Ivoire au Mali a en outre précisé que le chef de la diplomatie ivoirienne va entreprendre, le 13 janvier, une mission dans la zone de Sikasso dans le cadre de la coopération triangulaire Côte d’Ivoire – Mali – Burkina Faso, dans la perspective de relance de l'industrie cotonnière, à travers un vaste projet, baptisé ‘’la zone cotonnière Sénoufo’’.
"Nous sommes au point de départ de beaucoup d’actions dans le cadre d’échanges entre nos différents pays", se félicite M. Ouattara, qui a toutefois déploré le fait que la représentation ivoirienne, tant au niveau de la chancellerie que de la résidence, soit encore en location, cependant garde l'espoir que cet écueil trouvera solution, bientôt. "L’espoir est permis", se convainc-t-il, demandant aux autorités ivoiriennes de prendre le dossier à bras-le-corps, afin de permettre au pays d’être propriétaire de ses locaux, non sans signaler que "déjà tous les arriérés de loyer, dûs par l’Etat ivoirien, ont été honorés", a-t-il souligné.
Recevant, ce lundi, à Bamako, au siège de la représentation diplomatique ivoirienne, la directrice centrale de l’AIP, Mme Sana-Barry Oumou, et la rédactrice en chef, chargée des Bureaux régionaux, Mlle Coulibaly Maryam Angèle Sonia, en mission de prospection professionnelle auprès de l’Agence malienne de presse et de publicité (AMAP), l'ambassadeur Ouattara a souligné que, "depuis sa prise de fonction, à Bamako, le 30 septembre, les autorités ivoiriennes n’ont nullement laissé ses services aux oubliettes".
Il a rappelé, à ce propos, les visites effectuées à Bamako par l'épouse du chef de l'Etat ivoirien, Mme Dominique Ouattara, ainsi que par le chef de l'Etat lui-même, Alassane Ouattara, et fait savoir que de nombreux chantiers ont ainsi été ouverts, depuis la mission présidentielle. Puis, il a également annoncé que, sur instruction de sa hiérarchie, plusieurs visites techniques associées ont été effectuées, en vue de la réactivation, dès le premier trimestre 2012, de la grande commission mixte de coopération entre le Mali et la Côte d'Ivoire.
Le représentant de la Côte d’Ivoire au Mali a en outre précisé que le chef de la diplomatie ivoirienne va entreprendre, le 13 janvier, une mission dans la zone de Sikasso dans le cadre de la coopération triangulaire Côte d’Ivoire – Mali – Burkina Faso, dans la perspective de relance de l'industrie cotonnière, à travers un vaste projet, baptisé ‘’la zone cotonnière Sénoufo’’.
"Nous sommes au point de départ de beaucoup d’actions dans le cadre d’échanges entre nos différents pays", se félicite M. Ouattara, qui a toutefois déploré le fait que la représentation ivoirienne, tant au niveau de la chancellerie que de la résidence, soit encore en location, cependant garde l'espoir que cet écueil trouvera solution, bientôt. "L’espoir est permis", se convainc-t-il, demandant aux autorités ivoiriennes de prendre le dossier à bras-le-corps, afin de permettre au pays d’être propriétaire de ses locaux, non sans signaler que "déjà tous les arriérés de loyer, dûs par l’Etat ivoirien, ont été honorés", a-t-il souligné.