La Communauté ‘’Masdjid Nour’’ de Yopougon Ananeraie, carrefour Sorbonne, ambitionne de se doter d’une mosquée moderne digne d’Allah pour leurs prières et autres activités islamiques dont les baptêmes, les mariages et cérémonies funéraires. Après l’achat d’un terrain en 2009 à huit (8) millions F Cfa et les travaux de terrassement puis de pose de la fondation, les 5.000 fidèles de cette communauté qui ont levé une cotisation de 20.000 F Cfa sont essoufflés.
En dépit de leur bonne volonté, cette ambition légitime est au point de s’arrêter en si bon chemin. D’où l’appel du guide spirituel, l’Imam El Hadj Ouattara Soualio qui a présenté le chantier à la presse le dimanche 18 décembre 2011. «La Communauté Masdjid Nour lance un appel à la mobilisation et à la générosité de tous ceux qui considèrent les œuvres de Dieu comme dignes d`investissement». A en croire le guide musulman, les travaux se sont arrêtés à la première dalle en raison du manque de moyens financiers. Or, la mosquée est conçue sur un plan de type R+3 avec en son sein, le lieu de prière de 15.000 places, la résidence de l’Imam, une salle de conférences, une salle de réunion et d’instruction islamique, le bureau du conseil imâmat et des chambres d’hôtes.
Le tout d’une valeur estimée à 229,350 millions de F Cfa. «Sur ce montant, nous n’avons pu mobiliser à ce jour, qu’environ une dizaine de millions FCfa qui nous a permis d’acheter le terrain, de le viabiliser et de réaliser la fondation. Il est à présent question de passer à la première dalle. Mais les moyens font défaut. C’est pourquoi nous sollicitons une aide pour mener à terme ce projet», a expliqué l’Imam Ouattara. Pour sa part, El Hadj Sékongo Largaton Zoumana, président du comité de pilotage de la construction de la nouvelle mosquée, a souligné que la construction de l’édifice est un impératif pour les 5000 fidèles de la cité Ananeraie qui n’ont pas d’endroit de prière. «Le site provisoire de prière actuel ne garantit pas de sécurité pour nos fidèles. Quand il pleut, le spectacle est désolant. C’est sous la pluie que les fidèles suivent la grande prière de vendredi.
En outre, nous sommes obligés de faire appel aux forces de l’ordre pour réguler la circulation dans la mesure où la mosquée est située à un carrefour très fréquenté. Ce sont autant de désagréments qui ont motivé cet ouvrage pour lequel nous avons levé une cotisation mais les fonds collectés s’avèrent insuffisants.», a-t-il lancé.
M Tié Traoré
En dépit de leur bonne volonté, cette ambition légitime est au point de s’arrêter en si bon chemin. D’où l’appel du guide spirituel, l’Imam El Hadj Ouattara Soualio qui a présenté le chantier à la presse le dimanche 18 décembre 2011. «La Communauté Masdjid Nour lance un appel à la mobilisation et à la générosité de tous ceux qui considèrent les œuvres de Dieu comme dignes d`investissement». A en croire le guide musulman, les travaux se sont arrêtés à la première dalle en raison du manque de moyens financiers. Or, la mosquée est conçue sur un plan de type R+3 avec en son sein, le lieu de prière de 15.000 places, la résidence de l’Imam, une salle de conférences, une salle de réunion et d’instruction islamique, le bureau du conseil imâmat et des chambres d’hôtes.
Le tout d’une valeur estimée à 229,350 millions de F Cfa. «Sur ce montant, nous n’avons pu mobiliser à ce jour, qu’environ une dizaine de millions FCfa qui nous a permis d’acheter le terrain, de le viabiliser et de réaliser la fondation. Il est à présent question de passer à la première dalle. Mais les moyens font défaut. C’est pourquoi nous sollicitons une aide pour mener à terme ce projet», a expliqué l’Imam Ouattara. Pour sa part, El Hadj Sékongo Largaton Zoumana, président du comité de pilotage de la construction de la nouvelle mosquée, a souligné que la construction de l’édifice est un impératif pour les 5000 fidèles de la cité Ananeraie qui n’ont pas d’endroit de prière. «Le site provisoire de prière actuel ne garantit pas de sécurité pour nos fidèles. Quand il pleut, le spectacle est désolant. C’est sous la pluie que les fidèles suivent la grande prière de vendredi.
En outre, nous sommes obligés de faire appel aux forces de l’ordre pour réguler la circulation dans la mesure où la mosquée est située à un carrefour très fréquenté. Ce sont autant de désagréments qui ont motivé cet ouvrage pour lequel nous avons levé une cotisation mais les fonds collectés s’avèrent insuffisants.», a-t-il lancé.
M Tié Traoré
