Depuis le 21 décembre 2011, les masques de ceux qui se cachaient derrière la crise artificielle de la Mugef-ci sont tombés. Désormais, les centrales syndicales Ugtci, Cisl-Dignité et Fesaci, sont édifiées quant aux instigateurs des constants troubles fabriqués de toutes pièces.
En effet, un certain collectif pense avoir créé l'événement, en se félicitant d'avoir enfin mis en place, un nouveau Conseil d'Administration, avec à sa tête un certain TOURE Yao Albert. Celui-là même dont le passage à la tête de la Mugef-ci, en tant que Directeur Général, a été des plus catastrophiques. Les preuves existent et nous nous en référerons à qui de droit.
Face à cette imposture, les Secrétaires Généraux de l'Ugtci, de la Confédération Dignité et de la Fesaci, se sont concertés, ce jour jeudi 22 décembre 2011, de 15 heures à 18 heures, à l'effet d'examiner la situation de la Mugef-ci, suite à la tenue de la prétendue Assemblée Générale par des personnes n'ayant manifestement pas qualité de convoquer l'instance suprême de la Mutuelle Générale des Fonctionnaires et Agents de l'Etat de Côte d'Ivoire.
Ainsi,
- Rappelant la précédente déclaration lors du point de presse du mardi 13 décembre 20 Il, par laquelle les trois centrales syndicales ont pris clairement position, en apportant leur soutien total au Conseil d'Administration en place ; relativement à son mandat dont le terme est prévu pour le 30 juin 2012 au plus tard, conformément à la décision de l'Assemblée Générale ordinaire bilan du 25 août 20 Il, qui prend appui sur les dispositions communautaires de l'espace Uemoa;
- Vu que par cette déclaration, les centrales syndicales, après avoir relevé que les griefs portés contre le Conseil d'Administration ne sont nullement fondés, tant en la forme qu'au fond, et ce, relativement à la fin du mandat et à la gestion de la Mugef-ci ;
- Vu que les Centrales ont invité les organisations syndicales des fonctionnaires et agents de l'Etat qui leur sont affiliées, à se désolidariser de toutes manœuvres tendant à fragiliser le seul et unique instrument de solidarité, ayant à charge la santé des fonctionnaires et leurs familles;
- Considérant que de par ces actes, les centrales syndicales (Ugtci, Dignité et Fesaci) ont donné des signaux très forts quant à leur détermination à faire barrage à toute tentative de récupération malveillante de la Mugef-ci;
- Vu que malgré leurs invitations à l'apaisement, à la cohésion et à la légalité, il leur revient, par presse interposée, que des personnes n'ayant ni qualité ni autorité, se sont réunies de manière informelle dans un réceptif de la place à l'effet de renouveler le Conseil d'Administration de la Mugef-ci ;
- Notant qu'en l'espèce, en supposant même que les concernés ont réussi par miracle, à réunir la majorité requise des 2/3 en vue de la convocation d'une Assemblée Générale Extraordinaire, les dispositions statutaires et réglementaires ne leur confèrent aucunement le pouvoir d'agir en lieu et place de l'organe statuaire qu'est le Conseil d'Administration, en matière de convocation régulière des différentes sessions;
- Vu que le faisant, malgré l'ordonnance de Référé n°1919 du 19 décembre 2011, RG n°7235/11, délivrée par Madame KOUADIO N'guessan Dominique, Vice-Président du tribunal de Première Instance d'Abidjan Plateau, les concernés ont agi dans l'illégalité fragrante qui invalide de fait, les actes ainsi posés, qui sont de nature à jeter le discrédit sur la MUGEF-CI, portant ainsi lourdement préjudice aux mutualistes et à leurs familles respectives et ouvert ainsi la voie aux abus de tous genres;
- Considérant que les centrales syndicales Ugtci, Dignité et Fesaci, n'ont désigné aucun délégué ni donné mandat à personne de les représenter à cette rencontre, dont le caractère informel frappe de nullité absolue;
En conséquence de ce qui précède,
Les Centrales Syndicales Ugtci, Dignité et Fesaci :
1) Déclarent que cette parodie de réunion ne concerne nullement les instances de décisions de la MUGEF-CI et ne peuvent par voie de fait influer aucunement sur son fonctionnement;
2) Invitent les organisations syndicales des fonctionnaires et agents de l'Etat qui leur sont affiliées à ne pas s'inscrire dans cette aventure hautement périlleuse, en ces moments fragiles de notre histoire, orchestrée par des prédateurs, visiblement attirés, par le résultat net, de plus de 2 milliards de l'exercice 2010, présenté par le Conseil d'Administration, lors de l'AGO bilan du 25 août 20 Il ;
3) Se réservent le droit de prendre des sanctions sévères à l'encontre de tous ceux qui ont participé à cette mascarade en faisant usurpation des titres et qualités des trois centrales sans mandat de leur part;
4) Prennent à témoin l'opinion nationale et internationale quant aux dérives totalitaires aux conséquences incalculables, voire désastreuses, sur la vie des mutualistes et de leurs familles;
5) Enfin, les Centrales syndicales Ugtci, Dignité et Fesaci réitèrent leur soutien indéfectible au Conseil d'Administration et à son Président, Joseph Holland N’DA.
6) Interpellent, par ailleurs, les autorités politiques sur le danger que font planer ces agitateurs sur la paix sociale si chère à tous, et leur demandent de prendre toutes dispositions idoines, pour mettre fin à ces funestes entreprises qui n'honorent ni leurs auteurs, ni leurs commanditaires.
Fait à Abidjan, le 23 décembre 2011
P/l’UGTCI
Le Secrétaire Général
ADE MENSAH François
P/la CISL-DIGNITE
Le Secrétaire Général par Intérim
BOGA DAGO
P/la FESACI
KOUAME KRA Félix
En effet, un certain collectif pense avoir créé l'événement, en se félicitant d'avoir enfin mis en place, un nouveau Conseil d'Administration, avec à sa tête un certain TOURE Yao Albert. Celui-là même dont le passage à la tête de la Mugef-ci, en tant que Directeur Général, a été des plus catastrophiques. Les preuves existent et nous nous en référerons à qui de droit.
Face à cette imposture, les Secrétaires Généraux de l'Ugtci, de la Confédération Dignité et de la Fesaci, se sont concertés, ce jour jeudi 22 décembre 2011, de 15 heures à 18 heures, à l'effet d'examiner la situation de la Mugef-ci, suite à la tenue de la prétendue Assemblée Générale par des personnes n'ayant manifestement pas qualité de convoquer l'instance suprême de la Mutuelle Générale des Fonctionnaires et Agents de l'Etat de Côte d'Ivoire.
Ainsi,
- Rappelant la précédente déclaration lors du point de presse du mardi 13 décembre 20 Il, par laquelle les trois centrales syndicales ont pris clairement position, en apportant leur soutien total au Conseil d'Administration en place ; relativement à son mandat dont le terme est prévu pour le 30 juin 2012 au plus tard, conformément à la décision de l'Assemblée Générale ordinaire bilan du 25 août 20 Il, qui prend appui sur les dispositions communautaires de l'espace Uemoa;
- Vu que par cette déclaration, les centrales syndicales, après avoir relevé que les griefs portés contre le Conseil d'Administration ne sont nullement fondés, tant en la forme qu'au fond, et ce, relativement à la fin du mandat et à la gestion de la Mugef-ci ;
- Vu que les Centrales ont invité les organisations syndicales des fonctionnaires et agents de l'Etat qui leur sont affiliées, à se désolidariser de toutes manœuvres tendant à fragiliser le seul et unique instrument de solidarité, ayant à charge la santé des fonctionnaires et leurs familles;
- Considérant que de par ces actes, les centrales syndicales (Ugtci, Dignité et Fesaci) ont donné des signaux très forts quant à leur détermination à faire barrage à toute tentative de récupération malveillante de la Mugef-ci;
- Vu que malgré leurs invitations à l'apaisement, à la cohésion et à la légalité, il leur revient, par presse interposée, que des personnes n'ayant ni qualité ni autorité, se sont réunies de manière informelle dans un réceptif de la place à l'effet de renouveler le Conseil d'Administration de la Mugef-ci ;
- Notant qu'en l'espèce, en supposant même que les concernés ont réussi par miracle, à réunir la majorité requise des 2/3 en vue de la convocation d'une Assemblée Générale Extraordinaire, les dispositions statutaires et réglementaires ne leur confèrent aucunement le pouvoir d'agir en lieu et place de l'organe statuaire qu'est le Conseil d'Administration, en matière de convocation régulière des différentes sessions;
- Vu que le faisant, malgré l'ordonnance de Référé n°1919 du 19 décembre 2011, RG n°7235/11, délivrée par Madame KOUADIO N'guessan Dominique, Vice-Président du tribunal de Première Instance d'Abidjan Plateau, les concernés ont agi dans l'illégalité fragrante qui invalide de fait, les actes ainsi posés, qui sont de nature à jeter le discrédit sur la MUGEF-CI, portant ainsi lourdement préjudice aux mutualistes et à leurs familles respectives et ouvert ainsi la voie aux abus de tous genres;
- Considérant que les centrales syndicales Ugtci, Dignité et Fesaci, n'ont désigné aucun délégué ni donné mandat à personne de les représenter à cette rencontre, dont le caractère informel frappe de nullité absolue;
En conséquence de ce qui précède,
Les Centrales Syndicales Ugtci, Dignité et Fesaci :
1) Déclarent que cette parodie de réunion ne concerne nullement les instances de décisions de la MUGEF-CI et ne peuvent par voie de fait influer aucunement sur son fonctionnement;
2) Invitent les organisations syndicales des fonctionnaires et agents de l'Etat qui leur sont affiliées à ne pas s'inscrire dans cette aventure hautement périlleuse, en ces moments fragiles de notre histoire, orchestrée par des prédateurs, visiblement attirés, par le résultat net, de plus de 2 milliards de l'exercice 2010, présenté par le Conseil d'Administration, lors de l'AGO bilan du 25 août 20 Il ;
3) Se réservent le droit de prendre des sanctions sévères à l'encontre de tous ceux qui ont participé à cette mascarade en faisant usurpation des titres et qualités des trois centrales sans mandat de leur part;
4) Prennent à témoin l'opinion nationale et internationale quant aux dérives totalitaires aux conséquences incalculables, voire désastreuses, sur la vie des mutualistes et de leurs familles;
5) Enfin, les Centrales syndicales Ugtci, Dignité et Fesaci réitèrent leur soutien indéfectible au Conseil d'Administration et à son Président, Joseph Holland N’DA.
6) Interpellent, par ailleurs, les autorités politiques sur le danger que font planer ces agitateurs sur la paix sociale si chère à tous, et leur demandent de prendre toutes dispositions idoines, pour mettre fin à ces funestes entreprises qui n'honorent ni leurs auteurs, ni leurs commanditaires.
Fait à Abidjan, le 23 décembre 2011
P/l’UGTCI
Le Secrétaire Général
ADE MENSAH François
P/la CISL-DIGNITE
Le Secrétaire Général par Intérim
BOGA DAGO
P/la FESACI
KOUAME KRA Félix