Deux cent cinquante personnes selon la police, 500 selon les organisateurs, ont manifesté samedi devant le centre de détention de la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye où est écroué l`ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, soupçonné de crimes contre l`humanité.
"On fête ici Noël avec le président et même s`il ne peut pas nous voir, nous pensons qu`il nous entendra", a déclaré Abel Naki, président du Congrès pour la Renaissance ivoirienne (CRI) et panafricaine, l`une des associations de la diaspora ivoirienne qui avait appelé à la manifestation.
Venus en cars principalement de France, les manifestants étaient rassemblés devant la prison, à Scheveningen, dans la banlieue de La Haye, où ils ont écouté de la musique et chanté des chants ivoiriens.
"Notre président Laurent Gbagbo est enfermé ici de manière injuste", a affirmé Saint-Jules Cama, un professeur de lettres modernes ivoirien venu de Paris: "nous sommes ici pour manifester notre soutien à celui qui est notre seul président". Avec les chiffres avancés par la police (250) et les organisateurs (500), nous sommes très loin des 10 000 manifestants que l’on annonçait. Visiblement ? Le mouvement de soutien à l’ancien président s’essouffle. Peut-être même que le nombre de ceux qui s’agitent en Europe ne va pas au-delà de ce qui a été donné de voir à la veillée de la Haye.
"On fête ici Noël avec le président et même s`il ne peut pas nous voir, nous pensons qu`il nous entendra", a déclaré Abel Naki, président du Congrès pour la Renaissance ivoirienne (CRI) et panafricaine, l`une des associations de la diaspora ivoirienne qui avait appelé à la manifestation.
Venus en cars principalement de France, les manifestants étaient rassemblés devant la prison, à Scheveningen, dans la banlieue de La Haye, où ils ont écouté de la musique et chanté des chants ivoiriens.
"Notre président Laurent Gbagbo est enfermé ici de manière injuste", a affirmé Saint-Jules Cama, un professeur de lettres modernes ivoirien venu de Paris: "nous sommes ici pour manifester notre soutien à celui qui est notre seul président". Avec les chiffres avancés par la police (250) et les organisateurs (500), nous sommes très loin des 10 000 manifestants que l’on annonçait. Visiblement ? Le mouvement de soutien à l’ancien président s’essouffle. Peut-être même que le nombre de ceux qui s’agitent en Europe ne va pas au-delà de ce qui a été donné de voir à la veillée de la Haye.