«Au terme des élections législatives du 11 décembre 2011, nous vous avons adressé une réclamation motivée en vue de l’annulation du scrutin dans la circonscription 202 (Bobi-Diarabana, commune et sous-préfecture, Séguéla sous-préfecture).
Après concertation avec les principaux acteurs sociopolitiques de la circonscription et dans un souci d’apaisement dans le contexte général de la réconciliation nationale, nous avons l’honneur de vous adresser la présente requête pour le retrait de la réclamation qui vous a été adressée ». Tel est le contenu de la correspondance adressée par Diomandé Mamadou, candidat aux élections législatives du 11 décembre 2011 dans la circonscription 202 (Bobi-Diarabana, commune et sous-préfecture, Séguéla sous-préfecture) au président du Conseil constitutionnel, en date du 24 décembre 2011. Un courrier qui en dit long sur la décision de l’expert du Bnetd.
Un retrait qui, selon lui, est motivé par « la préservation du climat de paix ». Cependant, il reconnaît que cette situation dans laquelle se trouve le Worodougou aurait pu être évitée. « Je précise au passage que mon adversaire n’est autre que le patron de mon parti qui est le ministre Amadou Soumahoro, secrétaire général par intérim du Rdr. Et j’estime que la situation qui m’oppose à lui aurait pu être évitée. Parce que j’estime que c’est une situation malencontreuse ». Il a précisé que ce sont la diffamation, le non respect des accords librement consentis, les menaces et autres tentatives d’intimidation qui ont conduit à une telle situation.
Ainsi, l’on peut considérer que cette situation est désormais classée. « Aujourd’hui, nous devons penser et parler développement de notre région. C’est pourquoi, j’invite tous les cadres de Séguéla à oublier ce qui s’est passé et nous donner les mains pour réaliser le rêve de nos parents », a suggéré l’opérateur économique.
JULES CESAR
Après concertation avec les principaux acteurs sociopolitiques de la circonscription et dans un souci d’apaisement dans le contexte général de la réconciliation nationale, nous avons l’honneur de vous adresser la présente requête pour le retrait de la réclamation qui vous a été adressée ». Tel est le contenu de la correspondance adressée par Diomandé Mamadou, candidat aux élections législatives du 11 décembre 2011 dans la circonscription 202 (Bobi-Diarabana, commune et sous-préfecture, Séguéla sous-préfecture) au président du Conseil constitutionnel, en date du 24 décembre 2011. Un courrier qui en dit long sur la décision de l’expert du Bnetd.
Un retrait qui, selon lui, est motivé par « la préservation du climat de paix ». Cependant, il reconnaît que cette situation dans laquelle se trouve le Worodougou aurait pu être évitée. « Je précise au passage que mon adversaire n’est autre que le patron de mon parti qui est le ministre Amadou Soumahoro, secrétaire général par intérim du Rdr. Et j’estime que la situation qui m’oppose à lui aurait pu être évitée. Parce que j’estime que c’est une situation malencontreuse ». Il a précisé que ce sont la diffamation, le non respect des accords librement consentis, les menaces et autres tentatives d’intimidation qui ont conduit à une telle situation.
Ainsi, l’on peut considérer que cette situation est désormais classée. « Aujourd’hui, nous devons penser et parler développement de notre région. C’est pourquoi, j’invite tous les cadres de Séguéla à oublier ce qui s’est passé et nous donner les mains pour réaliser le rêve de nos parents », a suggéré l’opérateur économique.
JULES CESAR