La construction du pont de Jacqueville est au point mort. Point de début des travaux. Ne comprenant rien à la guéguerre entre la Socojac et l’Ageroute, ce qui plombe le début des travaux, les populations de Jacqueville veulent parler au chef de l’Etat pour dénoncer les ennemis de la grande région des 3A (Ahizis, Alladians, Abidjis).
Dans une de nos publications, nous faisions cas des palabres entre la Socojac (Société de construction du pont de Jacqueville) et l’Ageroute (Agence de gestion des routes) quant à la conduite des travaux à son terme. L’arbitrage du ministre Patrick Achi et du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, avait été sollicité. Un mois après cet article, revoilà les populations de Jacqueville. Selon les porte-parole des riverains du pont, celui ou celle qui veut ‘’tuer’’ la société créée par l’Etat ivoirien, spécialement pour la construction du pont de Jacqueville, n’a en réalité d’autre objectif que d’arrêter le désenclavement et le boom économique de la région des 3A (Ahizis, Alladians, Abidjis). Aucune explication, selon leurs dires, ne peut être donnée à l’attitude incompréhensible de certains hauts cadres, si ce n’est au nom d’intérêts personnels et parcellaires. Ils ne comprennent pas non plus que le président de la République, SEM Alassane Ouattara, qui a placé très haut la barre et l’échelle de la bonne et saine gouvernance, puisse fermer les yeux, encore moins favoriser les errements de certaines personnalités quant à leur comportement nocif vis-à-vis de l’ouvrage salvateur qu’est le pont de Jacqueville, mais aussi pour le Sud-Est et le pays tout entier. A la Socojac où nous nous sommes rendus, c’est le grand étonnement devant l’apparence de silence, de l’absence de réaction vive et musclée de la part du chef de l’Etat qui, comme chacun le sait, tient en horreur et en basse estime les magouilles et autres artifices pour « pomper » l’argent de l’Etat. A l’Ageroute, personne ne veut parler de ce dossier. L’affaire Socojac est aujourd’hui portée sur la place publique par les populations. Aujourd’hui, chantent en chœur les populations des 3 A, elles sont prêtes à démasquer les imposteurs et magouilleurs, afin de remettre l’ouvrage et les moyens humains, matériels et financiers à la Société de construction du pont de Jacqueville (Socojac). C’est pourquoi, elles se préparent à solliciter une audience auprès du chef de l’Etat, pour s’ouvrir à lui après les fêtes de fin d’année. Faute de quoi, des aigrefins déjà démasqués pourraient copieusement gruger l’Etat ivoirien et empêcher la construction de cet important ouvrage, nous ont-elles révélé. S’agit-il d’un complot des fils de la région, militants LMP ou des décideurs contre le président Ouattara et son régime qui ont placé la création et le renforcement des infrastructures au cœur du «New deal» ivoirien ? Les populations s’apprêtent à demander une audience auprès du chef de l’Etat, sous le couvert du ministre de tutelle, Patrick Achi, en vue de faire le grand déballage.
Maxime Wangué
Dans une de nos publications, nous faisions cas des palabres entre la Socojac (Société de construction du pont de Jacqueville) et l’Ageroute (Agence de gestion des routes) quant à la conduite des travaux à son terme. L’arbitrage du ministre Patrick Achi et du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, avait été sollicité. Un mois après cet article, revoilà les populations de Jacqueville. Selon les porte-parole des riverains du pont, celui ou celle qui veut ‘’tuer’’ la société créée par l’Etat ivoirien, spécialement pour la construction du pont de Jacqueville, n’a en réalité d’autre objectif que d’arrêter le désenclavement et le boom économique de la région des 3A (Ahizis, Alladians, Abidjis). Aucune explication, selon leurs dires, ne peut être donnée à l’attitude incompréhensible de certains hauts cadres, si ce n’est au nom d’intérêts personnels et parcellaires. Ils ne comprennent pas non plus que le président de la République, SEM Alassane Ouattara, qui a placé très haut la barre et l’échelle de la bonne et saine gouvernance, puisse fermer les yeux, encore moins favoriser les errements de certaines personnalités quant à leur comportement nocif vis-à-vis de l’ouvrage salvateur qu’est le pont de Jacqueville, mais aussi pour le Sud-Est et le pays tout entier. A la Socojac où nous nous sommes rendus, c’est le grand étonnement devant l’apparence de silence, de l’absence de réaction vive et musclée de la part du chef de l’Etat qui, comme chacun le sait, tient en horreur et en basse estime les magouilles et autres artifices pour « pomper » l’argent de l’Etat. A l’Ageroute, personne ne veut parler de ce dossier. L’affaire Socojac est aujourd’hui portée sur la place publique par les populations. Aujourd’hui, chantent en chœur les populations des 3 A, elles sont prêtes à démasquer les imposteurs et magouilleurs, afin de remettre l’ouvrage et les moyens humains, matériels et financiers à la Société de construction du pont de Jacqueville (Socojac). C’est pourquoi, elles se préparent à solliciter une audience auprès du chef de l’Etat, pour s’ouvrir à lui après les fêtes de fin d’année. Faute de quoi, des aigrefins déjà démasqués pourraient copieusement gruger l’Etat ivoirien et empêcher la construction de cet important ouvrage, nous ont-elles révélé. S’agit-il d’un complot des fils de la région, militants LMP ou des décideurs contre le président Ouattara et son régime qui ont placé la création et le renforcement des infrastructures au cœur du «New deal» ivoirien ? Les populations s’apprêtent à demander une audience auprès du chef de l’Etat, sous le couvert du ministre de tutelle, Patrick Achi, en vue de faire le grand déballage.
Maxime Wangué
