Le Congolais Fally Ipupa a mis le feu, mardi, au Palais de la Culture Bernard B. Dadié d’Abidjan, devant un monde fou acquis à sa cause.
Il est 22 h quand l’ensemble qui l’accompagne entonne les premières notes du spectacle, après qu’Yves Zogbo Junior a annoncé l’icône de la musique congolaise. Et c’est parti pour plus de 2 h de spectacles. Fally va passer en revue ses tubes extraits de ses albums « Droit chemin » et « Arsenal de mélodies » produits par l’Ivoirien David Monsoh. Notamment « Bicarbonate », « Mon amour », « Catafalque », « 5ème race », « Une Minute », « Tshô », « Cadenas », « Lourdes », « Délibération », « Associé », « Mabele », « Liputa », « Droit chemin », « Attente », « Orgasy », « Bakandja » et « Sexy Dance ». L’enfant de Kinshasa qui, entre deux tours de chants, clame son amour pour Abidjan et ses belles filles, alterne mélodies langoureuses et morceaux endiablés dans des chorégraphies bien agencées à la grande joie d’un public intenable. Dans une communion totale avec le public, l’artiste, soutenu par 2 danseuses, 4 danseurs, 2 toasters et son orchestre, dompter la salle. Les spectateurs chantent et dansent dans tous les travées de la salle.
A 23 h, l’Américaine Olivia (de son nom à l’état civil Olivia Longott), l’une des valeurs sûres du r&b, fait son entrée pour donner un cachet particulier au spectacle. Dans une harmonie presque parfaite, les deux chanteurs gratifient le public, avec brio, de leur titre en commun, « Chaise électrique ». Ce qui ne manque pas de susciter l’hystérie dans la salle. Après quoi, l’interprète de « Are U capable », « Best Friend », « My Daddy » et « So Ugly » propose un a capella fort sublime dont elle seule a le secret. Puis, elle se retire pour permettre Fally de poursuivre son raid musical sur Abidjan jusqu’à zéro heure, avec le soutien d’Abou Nidal et de Dj Mareshal.
Woody, Abou Nidal, Hamed Challa, et bien d’autres, ont assuré la première partie de ce spectacle goupillé par Obouo Music de David Monsoh et Boss Playa de Tony Adams.
M. B.
Il est 22 h quand l’ensemble qui l’accompagne entonne les premières notes du spectacle, après qu’Yves Zogbo Junior a annoncé l’icône de la musique congolaise. Et c’est parti pour plus de 2 h de spectacles. Fally va passer en revue ses tubes extraits de ses albums « Droit chemin » et « Arsenal de mélodies » produits par l’Ivoirien David Monsoh. Notamment « Bicarbonate », « Mon amour », « Catafalque », « 5ème race », « Une Minute », « Tshô », « Cadenas », « Lourdes », « Délibération », « Associé », « Mabele », « Liputa », « Droit chemin », « Attente », « Orgasy », « Bakandja » et « Sexy Dance ». L’enfant de Kinshasa qui, entre deux tours de chants, clame son amour pour Abidjan et ses belles filles, alterne mélodies langoureuses et morceaux endiablés dans des chorégraphies bien agencées à la grande joie d’un public intenable. Dans une communion totale avec le public, l’artiste, soutenu par 2 danseuses, 4 danseurs, 2 toasters et son orchestre, dompter la salle. Les spectateurs chantent et dansent dans tous les travées de la salle.
A 23 h, l’Américaine Olivia (de son nom à l’état civil Olivia Longott), l’une des valeurs sûres du r&b, fait son entrée pour donner un cachet particulier au spectacle. Dans une harmonie presque parfaite, les deux chanteurs gratifient le public, avec brio, de leur titre en commun, « Chaise électrique ». Ce qui ne manque pas de susciter l’hystérie dans la salle. Après quoi, l’interprète de « Are U capable », « Best Friend », « My Daddy » et « So Ugly » propose un a capella fort sublime dont elle seule a le secret. Puis, elle se retire pour permettre Fally de poursuivre son raid musical sur Abidjan jusqu’à zéro heure, avec le soutien d’Abou Nidal et de Dj Mareshal.
Woody, Abou Nidal, Hamed Challa, et bien d’autres, ont assuré la première partie de ce spectacle goupillé par Obouo Music de David Monsoh et Boss Playa de Tony Adams.
M. B.
