Longtemps étouffés, les épisodes de la guerre de succession sournoise au sein de la famille du puissant transporteur Kouamé Konan N’Sikan sont en train de suinter. Et de ce qui ressort, les nouvelles ne sont pas bonnes quant à la cohésion de la famille.
Qu’est ce qui arrive à la grande famille du plus grand transporteur de Côte d’Ivoire pour que tant de bruits courent sur ses querelles intestines à n’en plus finir ? Querelles qui, selon toute vraisemblance, risquent de porter le coup de grâce à une famille au sein de laquelle la cohésion n’est plus de mise. De quoi s’agit-il ? Après avoir monté de toutes pièces les entreprises pionnières de son empire financier, et cela avec un sens des affaires hors du commun, Kouamé Konan N’Sikan, le PDG de UTB a envoyé certains de ses fils ainés dans les meilleurs écoles. Ces derniers qui devaient indubitablement prendre la place de leur père au moment où ce dernier allait commencé à se faire vieux ont donc étudié dur pour relever les défis du futur. Rentrés au pays après avoir fini leurs diplômes, ils prennent naturellement le contrôle de deux entités du groupe. L’aîné dans une société opérant dans les hydrocarbures quand le cadet dirige UTB, le fleuron connu des Ivoiriens. Leur gestion est sans équivoque puisque les bénéfices engrangés sont considérables. Ils font la fierté de leur père. Mais contre toute attente, le vieux N’Sikan change d’attitude envers eux et se met à les suspecter. En fait leur gestion financière moderne n’est pas du goût de certaines personnes dans l’entourage du vieux. Ces derniers profitant de l’âge avancé du doyen N’Sikan essaient d’écarter ses fils de la gestion des entreprises où ils sont par ailleurs actionnaires. Les fils tentent par tous les moyens d’expliquer au Vieux leur mode de gestion qui ne souffre d’aucune opacité. Rien n’y fait puisque le travail de sape de l’entourage est des plus pernicieux. Ne se reprochant rien, les fils N’Sikan continuent dans la gestion rigoureuse des entreprises. Une attitude qui, pour le PDG, est une marque de défiance à sa personne. Pour démontrer qu’il reste et demeure le seul maître, N’Sikan fait évincer son fils Bertin de la direction de UTB. Depuis, c’est la division puisque les clans familiaux qui se sont créent se regardent en chiens de faïence. Qui sont ceux qui tirent les ficelles et pourquoi la guerre entre Béoumi et Diabo ne doit pas exister ? Ce sera dans la suite de ce dossiern
Valery Foungbé
Qu’est ce qui arrive à la grande famille du plus grand transporteur de Côte d’Ivoire pour que tant de bruits courent sur ses querelles intestines à n’en plus finir ? Querelles qui, selon toute vraisemblance, risquent de porter le coup de grâce à une famille au sein de laquelle la cohésion n’est plus de mise. De quoi s’agit-il ? Après avoir monté de toutes pièces les entreprises pionnières de son empire financier, et cela avec un sens des affaires hors du commun, Kouamé Konan N’Sikan, le PDG de UTB a envoyé certains de ses fils ainés dans les meilleurs écoles. Ces derniers qui devaient indubitablement prendre la place de leur père au moment où ce dernier allait commencé à se faire vieux ont donc étudié dur pour relever les défis du futur. Rentrés au pays après avoir fini leurs diplômes, ils prennent naturellement le contrôle de deux entités du groupe. L’aîné dans une société opérant dans les hydrocarbures quand le cadet dirige UTB, le fleuron connu des Ivoiriens. Leur gestion est sans équivoque puisque les bénéfices engrangés sont considérables. Ils font la fierté de leur père. Mais contre toute attente, le vieux N’Sikan change d’attitude envers eux et se met à les suspecter. En fait leur gestion financière moderne n’est pas du goût de certaines personnes dans l’entourage du vieux. Ces derniers profitant de l’âge avancé du doyen N’Sikan essaient d’écarter ses fils de la gestion des entreprises où ils sont par ailleurs actionnaires. Les fils tentent par tous les moyens d’expliquer au Vieux leur mode de gestion qui ne souffre d’aucune opacité. Rien n’y fait puisque le travail de sape de l’entourage est des plus pernicieux. Ne se reprochant rien, les fils N’Sikan continuent dans la gestion rigoureuse des entreprises. Une attitude qui, pour le PDG, est une marque de défiance à sa personne. Pour démontrer qu’il reste et demeure le seul maître, N’Sikan fait évincer son fils Bertin de la direction de UTB. Depuis, c’est la division puisque les clans familiaux qui se sont créent se regardent en chiens de faïence. Qui sont ceux qui tirent les ficelles et pourquoi la guerre entre Béoumi et Diabo ne doit pas exister ? Ce sera dans la suite de ce dossiern
Valery Foungbé