Deux écumeurs de domicile ont été interpellés et déférés, vendredi, à la police criminelle, pour vol à main armée, voies de fait et menaces de mort proférées à l’encontre de leurs victimes et des agents de police.
Dans la nuit du 24 au 25 décembre 2011, trois individus armés ont escaladé la clôture de la résidence d’un fonctionnaire à Yaou, petite localité du département de Bonoua, et maitrisé toute la maisonnée. Pendant ce temps leurs complices faisaient le guet munis d’armes de guerre pour prévenir toute contrariété.
Pendant près d’une heure de temps, les scélérats ont violenté leurs victimes et se sont livré à une fouille systématique de toutes les pièces de la maison subtilisant tous les objets de valeur, portables, argent, bijoux etc. Mais, peu satisfait de leur butin, ils ont réclamé la somme d’un million de francs menaçant d’abattre l’une des victimes.
Profitant d’un moment d’inattention de ses tortionnaires, le maitre de maison réussit à s’éclipser pour alerter des agents de police en patrouille de sécurisation dans le village. Mais à leur arrivée, les malfaiteurs avaient déjà pris la clef des champs, oubliant sur les lieux de leur forfaiture une casquette.
Avec cet indice, l’enquête diligentée par les hommes du commissaire Ambéké Ségla permet d’interpeler les nommés Kouamé Watta Alexis dans son fumoir et Bomouan Ello Frederic à son domicile, tous deux de nationalité ivoirienne.
Le dernier cité est un récidiviste notoire évadé de la prison de Grand-Bassam où il purgeait depuis 3 ans une peine de 10 ans de prison pour vol aggravé.
Tout en reconnaissant les faits à eux reprochés, les deux scélérats ont refusé de designer leurs complices en fuite et surtout d’indiquer l’endroit ou sont cachées les armes.
Ils ont été déférés à la police criminelle pour répondre de leurs actes et pour les besoins d’une enquête approfondie.
Le commissariat de police de Bonoua est démuni de tout moyen de déplacement alors que l’insécurité dans la cité de l’ananas est de mise avec 2 à 4 attaques de domiciles par jour, indique-t-on.
(AIP)
as/kkf/tm
Dans la nuit du 24 au 25 décembre 2011, trois individus armés ont escaladé la clôture de la résidence d’un fonctionnaire à Yaou, petite localité du département de Bonoua, et maitrisé toute la maisonnée. Pendant ce temps leurs complices faisaient le guet munis d’armes de guerre pour prévenir toute contrariété.
Pendant près d’une heure de temps, les scélérats ont violenté leurs victimes et se sont livré à une fouille systématique de toutes les pièces de la maison subtilisant tous les objets de valeur, portables, argent, bijoux etc. Mais, peu satisfait de leur butin, ils ont réclamé la somme d’un million de francs menaçant d’abattre l’une des victimes.
Profitant d’un moment d’inattention de ses tortionnaires, le maitre de maison réussit à s’éclipser pour alerter des agents de police en patrouille de sécurisation dans le village. Mais à leur arrivée, les malfaiteurs avaient déjà pris la clef des champs, oubliant sur les lieux de leur forfaiture une casquette.
Avec cet indice, l’enquête diligentée par les hommes du commissaire Ambéké Ségla permet d’interpeler les nommés Kouamé Watta Alexis dans son fumoir et Bomouan Ello Frederic à son domicile, tous deux de nationalité ivoirienne.
Le dernier cité est un récidiviste notoire évadé de la prison de Grand-Bassam où il purgeait depuis 3 ans une peine de 10 ans de prison pour vol aggravé.
Tout en reconnaissant les faits à eux reprochés, les deux scélérats ont refusé de designer leurs complices en fuite et surtout d’indiquer l’endroit ou sont cachées les armes.
Ils ont été déférés à la police criminelle pour répondre de leurs actes et pour les besoins d’une enquête approfondie.
Le commissariat de police de Bonoua est démuni de tout moyen de déplacement alors que l’insécurité dans la cité de l’ananas est de mise avec 2 à 4 attaques de domiciles par jour, indique-t-on.
(AIP)
as/kkf/tm
