Un toit pour chacun, c’est très proche. Le président Alassane Ouattara a décidé de dérouler maintenant son programme de logements sociaux neufs. Porté par le ministère de la Promotion du logement, le projet commence à décliner son modèle : une maison de 5 millions de Fcfa (Maison ADO), un emprunt de 5 millions de Fcfa remboursable sur 25 ans dont la mensualité n’excédera pas 25 000 Fcfa. A terme, ce sont 10.000 maisons à construire pour la première année, 20.000 la deuxième, 30. 000 la troisième année, et de 40.000 à 50.000 en régime de croisière. Ces logements sociaux seront réalisés aussi bien à Abidjan qu’à l’intérieur du pays. Il entrera dans sa phase d’exécution le 9 janvier prochain. A cet effet, le ministre Nialé Kaba est en ce moment à pied d’œuvre pour les préparatifs de la pose de la première pierre. Elle vise à développer une production de logements répondant aux besoins réels des ménages. Pour réussir l’opération, Mme Kaba a mis en place une stratégie axée sur une forte implication de l’Etat, l’intégration de la SICOGI en qualité de promoteur et la promotion des partenariats stratégiques avec le secteur privé. Cette stratégie se décline en six grands principes et six axes d’intervention. Avec comme principes de bases, la maîtrise du foncier, la viabilisation des terrains des programmes immobiliers socio-économiques, l’amélioration des mécanismes de financement, la promotion de nouvelles techniques de construction rapide. Mieux, privilégier les constructions en hauteur et attribuer les logements sociaux. Quant au mode opératoire, il s’articule autour de la caractérisation du logement social, la promotion des partenariats stratégiques public/privé, la redynamisation de l’Agef (Agence de gestion foncière) en lui donnant les moyens nécessaires pour la purge des droits coutumiers, l’immatriculation des terrains et rendre systématique la prise en charge par l’Etat des travaux de VRD (Voirie et réseaux divers) primaires et secondaires. Il se caractérisera aussi par la réduction du taux d’intérêt acquéreur, la promotion de l’utilisation de méthodes de construction rapide, l’amélioration du cadre institutionnel et réglementaire par une meilleure implication de la SICOGI dans les programmes de logements sociaux et la création de l’Agence Nationale de l’Habitat. Au total, deux sites ont été retenus : Yopougon et la Riviera. Et ce sont au total 2.320 logements qui seront construits dont une grande partie sortira de terre dans quelques mois.
Un coup mal ficelé
Le collectif des syndicats doit comprendre que son projet de perturbation des services douaniers ne repose sur rien d’objectif. Dans ce dossier relatif à l’assurance, la hiérarchie a joué son rôle pour apaiser les tensions en résiliant le contrat avec Sidam. Malheureusement, des personnes mal intentionnées hostiles au retour gagnant de la Côte d’Ivoire bouillonnent de jalousie. En effet, derrière les revendications sociales, on voit bien des intentions inavouées : la peur de perdre les intérêts illégalement acquis. Mais il y a surtout des visées essentiellement politiciennes. Au fond, tout laisse croire que les questions d’assurance ne sont que des alibis fallacieux pour mettre en œuvre un coup monté en vue d’empêcher la douane d’atteindre ses objectifs en l’occurrence mobiliser les recettes et permettre au gouvernement de financer les titanesques projets de développements initiés. C’est clair qu’il faudra surveiller cette nouvelle génération de douaniers fescistes pour éviter les scandales qui ont émaillé la vieille époque Mangly-Gbagbo.
L.B.
Un coup mal ficelé
Le collectif des syndicats doit comprendre que son projet de perturbation des services douaniers ne repose sur rien d’objectif. Dans ce dossier relatif à l’assurance, la hiérarchie a joué son rôle pour apaiser les tensions en résiliant le contrat avec Sidam. Malheureusement, des personnes mal intentionnées hostiles au retour gagnant de la Côte d’Ivoire bouillonnent de jalousie. En effet, derrière les revendications sociales, on voit bien des intentions inavouées : la peur de perdre les intérêts illégalement acquis. Mais il y a surtout des visées essentiellement politiciennes. Au fond, tout laisse croire que les questions d’assurance ne sont que des alibis fallacieux pour mettre en œuvre un coup monté en vue d’empêcher la douane d’atteindre ses objectifs en l’occurrence mobiliser les recettes et permettre au gouvernement de financer les titanesques projets de développements initiés. C’est clair qu’il faudra surveiller cette nouvelle génération de douaniers fescistes pour éviter les scandales qui ont émaillé la vieille époque Mangly-Gbagbo.
L.B.