Le directoire de l’Union pour la Côte d’Ivoire (Upci) a reçu samedi au Plateau ses candidats aux dernières législatives.
Ils étaient au total 15 candidats à défendre les couleurs de l’Upci aux élections législatives du 11 décembre 2011. Mais à l’arrivée, seul le président du parti est sorti la tête de l’eau. Les 14 autres ont été défaits. Il s’agissait pour la direction de ce parti de féliciter le seul élu qui n’est autre que le ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative Gnamien Konan, président de ladite formation politique. Le parti, par la voix de son secrétaire général, a salué les mérites du vainqueur, et renouvelé sa confiance à son président. Lui demandant de porter la voix de l’Upci à l’hémicycle. Le vice-président, Kpanhi Moro, s’est plutôt adressé aux candidats malheureux. Pour lui, ils ont certes perdu, mais ont gagné en maturité politique et en expérience pour les joutes à venir. Selon lui, ils auront prouvé qu’ils sont au sein d’un parti national. Le Sud, le Centre, le Nord, l’Est et l’Ouest ayant enregistré des candidatures du parti. ‘’Nous sommes un jeune parti qui a accepté d’affronter les grandes formations politiques. Nous n’avons pas à avoir peur des échecs’’, a conseillé le vice-président. Le président du parti, comme pour indiquer la voie, a annoncé d’emblée sa candidature aux régionales. ‘’J’ai retenu beaucoup des élections législatives. Et je serai encore candidat aux prochains conseils régionaux dans la région de Gbêkê’’, a dévoilé Gnamien Konan. Il a encouragé et invité les candidats malheureux et les autres militants à aller voir les électeurs, à perdre, et à avoir le courage de revenir. Puis a expliqué que l’expérience qui s’acquiert sur le terrain est celle qui fortifie. A cet effet, le président du parti a demandé à ses militants de participer massivement aux municipales de 2012. ‘’Il faut oser en politique. Nous faisons partie des cinq formations qui seront à l’Assemblée nationale, parmi la multitude de partis qui existent au plan national. Dans les 10 communes d’Abidjan, il faut au moins cinq listes pour l’Upci’’, a exhorté Gnamien Konan. Le leader politique s’est aussi attardé sur les moyens financiers qui, selon lui, sont indispensables pour une victoire aux élections.s
Ouattara Abdoul Karim
Ils étaient au total 15 candidats à défendre les couleurs de l’Upci aux élections législatives du 11 décembre 2011. Mais à l’arrivée, seul le président du parti est sorti la tête de l’eau. Les 14 autres ont été défaits. Il s’agissait pour la direction de ce parti de féliciter le seul élu qui n’est autre que le ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative Gnamien Konan, président de ladite formation politique. Le parti, par la voix de son secrétaire général, a salué les mérites du vainqueur, et renouvelé sa confiance à son président. Lui demandant de porter la voix de l’Upci à l’hémicycle. Le vice-président, Kpanhi Moro, s’est plutôt adressé aux candidats malheureux. Pour lui, ils ont certes perdu, mais ont gagné en maturité politique et en expérience pour les joutes à venir. Selon lui, ils auront prouvé qu’ils sont au sein d’un parti national. Le Sud, le Centre, le Nord, l’Est et l’Ouest ayant enregistré des candidatures du parti. ‘’Nous sommes un jeune parti qui a accepté d’affronter les grandes formations politiques. Nous n’avons pas à avoir peur des échecs’’, a conseillé le vice-président. Le président du parti, comme pour indiquer la voie, a annoncé d’emblée sa candidature aux régionales. ‘’J’ai retenu beaucoup des élections législatives. Et je serai encore candidat aux prochains conseils régionaux dans la région de Gbêkê’’, a dévoilé Gnamien Konan. Il a encouragé et invité les candidats malheureux et les autres militants à aller voir les électeurs, à perdre, et à avoir le courage de revenir. Puis a expliqué que l’expérience qui s’acquiert sur le terrain est celle qui fortifie. A cet effet, le président du parti a demandé à ses militants de participer massivement aux municipales de 2012. ‘’Il faut oser en politique. Nous faisons partie des cinq formations qui seront à l’Assemblée nationale, parmi la multitude de partis qui existent au plan national. Dans les 10 communes d’Abidjan, il faut au moins cinq listes pour l’Upci’’, a exhorté Gnamien Konan. Le leader politique s’est aussi attardé sur les moyens financiers qui, selon lui, sont indispensables pour une victoire aux élections.s
Ouattara Abdoul Karim