Abidjan - Le Coordonnateur adjoint des secours d’urgence de l'ONU, la Canadienne Cathérine Bragg va effectuer une mission en Côte d’Ivoire du 15 au 18 janvier, dans le cadre d’une évaluation de la situation humanitaire sur place, quelque huit mois après la crise post-électorale qui a fait officiellement 3000 morts dans le pays.
Selon un communiqué du Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (OCHA) dont l'AIP a reçu copie, cette mission permettra à Mme Bragg de déterminer les besoins actuels et les actions à initier en faveur des populations affectées par la crise.
Elle se rendra dans l'ouest ivoirien, notamment dans les départements de Bloléquin, Guiglo et Duékoué, pour y visiter les camps des déplacés internes et les villages des ex-réfugiés retournés au pays. Cette région, rappelle-t-on, a été fortement sinistrée par la dizaine d'années de conflit militaro-politique dont sort fraîchement la Côte d'Ivoire. Une crise qui a plongé ses populations dans une situation humanitaire "préoccupante", selon l'ONU.
Mme Bragg compte mettre son séjour à profit pour avoir des rencontres de travail avec les autorités ivoiriennes, les acteurs humanitaires présents sur le terrain et la société civile, note-t-on.
(AIP)
ns/tm/cmas
Selon un communiqué du Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (OCHA) dont l'AIP a reçu copie, cette mission permettra à Mme Bragg de déterminer les besoins actuels et les actions à initier en faveur des populations affectées par la crise.
Elle se rendra dans l'ouest ivoirien, notamment dans les départements de Bloléquin, Guiglo et Duékoué, pour y visiter les camps des déplacés internes et les villages des ex-réfugiés retournés au pays. Cette région, rappelle-t-on, a été fortement sinistrée par la dizaine d'années de conflit militaro-politique dont sort fraîchement la Côte d'Ivoire. Une crise qui a plongé ses populations dans une situation humanitaire "préoccupante", selon l'ONU.
Mme Bragg compte mettre son séjour à profit pour avoir des rencontres de travail avec les autorités ivoiriennes, les acteurs humanitaires présents sur le terrain et la société civile, note-t-on.
(AIP)
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