«Nous sommes tous coupables de la défaite du PDCI aux législatives de décembre 2011. Si nous ne prenons garde, le parti risque de perdre cette ville avec les municipales prochaines. J’appelle tout le monde à l’union ». C’est le cri de cœur lancé par M. Kouadio-Hiabley Koffi Désiré, membre du Bureau politique du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), le mardi 10 janvier 2012, au cours d’une conférence de presse.
Selon le conférencier du jour, par ailleurs conseiller municipal à la mairie de Yamoussoukro, le vieux parti est à la croisée des chemins. Il en veut pour preuve la profonde division survenue l’année dernière, au sein du parti lors du choix des candidats devant défendre les couleurs du PDCI aux législatives de décembre 2011. «Doit-on devant cette situation se taire et laisser mourir le parti du père», s’est-il interrogé.
Avant de déclarer qu’il est impérieux que les cadres et militants du PDCI du département s’unissent. «Si nous ne voulons pas perdre encore les municipales et le contrôle total de cette ville, la désunion ne nous mène nulle part. C’est notre incapacité à nous mettre d’accord chaque fois que besoin se fera sentir qui nous fera sortir de cette situation d’instabilité», a-t-il fait remarquer.
Poursuivant, l’orateur a ajouté que des démarches sont en cours en vue de rapprocher les uns et les autres avec l’appui de certains doyens du vieux parti, notamment Me Jean Konan Banny. Afin de présenter une seule liste PDCI aux prochaines municipales. «Il faut que nous nous mettions ensemble pour faire une équipe représentative pour défendre les couleurs du parti. (…) Sachez que je ne suis pas candidat. Mon souhait est que les enfants de Yamoussoukro s’entendent. Pour cela, nous ferons tout pour conjurer le mauvais sort. La division ne nous arrange pas du tout», a-t-il conclu.
Diallo Harry
Selon le conférencier du jour, par ailleurs conseiller municipal à la mairie de Yamoussoukro, le vieux parti est à la croisée des chemins. Il en veut pour preuve la profonde division survenue l’année dernière, au sein du parti lors du choix des candidats devant défendre les couleurs du PDCI aux législatives de décembre 2011. «Doit-on devant cette situation se taire et laisser mourir le parti du père», s’est-il interrogé.
Avant de déclarer qu’il est impérieux que les cadres et militants du PDCI du département s’unissent. «Si nous ne voulons pas perdre encore les municipales et le contrôle total de cette ville, la désunion ne nous mène nulle part. C’est notre incapacité à nous mettre d’accord chaque fois que besoin se fera sentir qui nous fera sortir de cette situation d’instabilité», a-t-il fait remarquer.
Poursuivant, l’orateur a ajouté que des démarches sont en cours en vue de rapprocher les uns et les autres avec l’appui de certains doyens du vieux parti, notamment Me Jean Konan Banny. Afin de présenter une seule liste PDCI aux prochaines municipales. «Il faut que nous nous mettions ensemble pour faire une équipe représentative pour défendre les couleurs du parti. (…) Sachez que je ne suis pas candidat. Mon souhait est que les enfants de Yamoussoukro s’entendent. Pour cela, nous ferons tout pour conjurer le mauvais sort. La division ne nous arrange pas du tout», a-t-il conclu.
Diallo Harry
