Hier, il était avec les chrétiens catholiques à la Cathédrale Saint-Paul de la messe dédiée à la paix, aujourd’hui, il est aux côtés des musulmans qui célébraient le samedi la Journée nationale de prières pour la paix et la réconciliation. Par des actes concrets, le président Alassane Ouattara montre, chaque jour, qu’il est le président de tous les Ivoiriens. Et surtout qu’il fait sien le principe de la laïcité imposé par notre Constitution.
Que n’a-t-on pas entendu lors de l’avènement du président Alassane Ouattara au pouvoir ? L’on avait en effet tenté de faire croire que Ouattara venait pour installer une République islamique, qu’il allait faire casser toutes les églises et les remplacer par des mosquées ou que les chrétiens allaient être abandonnés, qu’ils allaient vivre des moments difficiles. Fort heureusement, Alassane Ouattara est au pouvoir depuis plusieurs mois déjà et rien de tout cela n’est arrivé. Bien au contraire, l’actuel chef de l’Etat essaye chaque jour, de s’inscrire dans les sillons de l’alinéa premier de l’article 30 de notre Constitution qui dispose que "La Côte d’Ivoire est une République laïque et démocratique".
Alassane Ouattara ne fait pas de quartier entre les religions. Le 30 décembre dernier, accompagné de son illustre épouse, Mme Dominique Ouattara, le chef de l’Etat a rehaussé de sa présence la messe de la paix organisée par la communauté chrétienne catholique à la Cathédrale Saint-Paul du Plateau.
Au cours de cette messe solennelle, l’archevêque d’Abidjan n’a pas manqué d’exprimer sa gratitude au chef de l’Etat pour sa présence à cette célébration et pour tout ce qu’il fait pour que les Ivoiriens vivent dans la concorde. "Merci à vous, monsieur le président de la République pour ce qui est fait pour que les Ivoiriens vivent ensemble et mieux dans la réconciliation, la justice, la vérité et la paix. Nous vous encourageons à aller le plus loin possible dans les prises de décisions futures pour que la vérité, la justice et la réconciliation ne soient pas des vœux pieux…" avait déclaré Monseigneur Kutwa.
Ce samedi 14 janvier, soit deux semaines après, Alassane Ouattara remet le couvert. Avec son épouse, il est aux côtés du cheick Boikhary Fofana à la grande Mosquée de la Riviera Golf pour une autre célébration dédiée à la paix et à la réconciliation nationale. Pour marquer non seulement son engagement en faveur de la réconciliation nationale mais aussi pour montrer à tous qu’il est le président de tous les Ivoiriens et non des seuls musulmans et ou des chrétiens. D’ailleurs le soutien du chef de l’Etat aux différentes confessions religieuses ne se compte plus même si souvent ses gestes sont faits sans publicité médiatique. Ainsi avant-hier, nous avons pu voir des chrétiens célestes en plein pèlerinage au Nigeria exprimer leur gratitude au président de la République dont l’appui inestimable a permis leur déplacement en lieu saint. Malgré ces actes concrets qui sont puissants de paroles et de témoignages, l’on tente désespérément, encore dans ce pays meurtri, d’activer les tensions sociales, de chercher à opposer les communautés religieuses. Pour s’en convaincre, il suffit de voir avec quelle vigueur l’on tente d’exploiter à des fins politiciennes des faits malheureux comme l’attaque de certaines églises par des bandits.
On tente de faire croire que c’est le régime qui encourage ou qui ne fait rien pour freiner ces hors-la-loi. Tout de même. On peut ne pas aimer Alassane Ouattara. Mais ce genre de choses ne lui ressemblent pas. Au demeurant, que gagnerait un chef d’Etat à soutenir pareils forfaits ? Depuis que des mesures vigoureuses ont été prises pour mettre de l’ordre au sein de notre armée et que la police militaire s’est mise en branle, on entend de moins en moins parler de ces attaques d’églises.
Akwaba Saint-Clair
Que n’a-t-on pas entendu lors de l’avènement du président Alassane Ouattara au pouvoir ? L’on avait en effet tenté de faire croire que Ouattara venait pour installer une République islamique, qu’il allait faire casser toutes les églises et les remplacer par des mosquées ou que les chrétiens allaient être abandonnés, qu’ils allaient vivre des moments difficiles. Fort heureusement, Alassane Ouattara est au pouvoir depuis plusieurs mois déjà et rien de tout cela n’est arrivé. Bien au contraire, l’actuel chef de l’Etat essaye chaque jour, de s’inscrire dans les sillons de l’alinéa premier de l’article 30 de notre Constitution qui dispose que "La Côte d’Ivoire est une République laïque et démocratique".
Alassane Ouattara ne fait pas de quartier entre les religions. Le 30 décembre dernier, accompagné de son illustre épouse, Mme Dominique Ouattara, le chef de l’Etat a rehaussé de sa présence la messe de la paix organisée par la communauté chrétienne catholique à la Cathédrale Saint-Paul du Plateau.
Au cours de cette messe solennelle, l’archevêque d’Abidjan n’a pas manqué d’exprimer sa gratitude au chef de l’Etat pour sa présence à cette célébration et pour tout ce qu’il fait pour que les Ivoiriens vivent dans la concorde. "Merci à vous, monsieur le président de la République pour ce qui est fait pour que les Ivoiriens vivent ensemble et mieux dans la réconciliation, la justice, la vérité et la paix. Nous vous encourageons à aller le plus loin possible dans les prises de décisions futures pour que la vérité, la justice et la réconciliation ne soient pas des vœux pieux…" avait déclaré Monseigneur Kutwa.
Ce samedi 14 janvier, soit deux semaines après, Alassane Ouattara remet le couvert. Avec son épouse, il est aux côtés du cheick Boikhary Fofana à la grande Mosquée de la Riviera Golf pour une autre célébration dédiée à la paix et à la réconciliation nationale. Pour marquer non seulement son engagement en faveur de la réconciliation nationale mais aussi pour montrer à tous qu’il est le président de tous les Ivoiriens et non des seuls musulmans et ou des chrétiens. D’ailleurs le soutien du chef de l’Etat aux différentes confessions religieuses ne se compte plus même si souvent ses gestes sont faits sans publicité médiatique. Ainsi avant-hier, nous avons pu voir des chrétiens célestes en plein pèlerinage au Nigeria exprimer leur gratitude au président de la République dont l’appui inestimable a permis leur déplacement en lieu saint. Malgré ces actes concrets qui sont puissants de paroles et de témoignages, l’on tente désespérément, encore dans ce pays meurtri, d’activer les tensions sociales, de chercher à opposer les communautés religieuses. Pour s’en convaincre, il suffit de voir avec quelle vigueur l’on tente d’exploiter à des fins politiciennes des faits malheureux comme l’attaque de certaines églises par des bandits.
On tente de faire croire que c’est le régime qui encourage ou qui ne fait rien pour freiner ces hors-la-loi. Tout de même. On peut ne pas aimer Alassane Ouattara. Mais ce genre de choses ne lui ressemblent pas. Au demeurant, que gagnerait un chef d’Etat à soutenir pareils forfaits ? Depuis que des mesures vigoureuses ont été prises pour mettre de l’ordre au sein de notre armée et que la police militaire s’est mise en branle, on entend de moins en moins parler de ces attaques d’églises.
Akwaba Saint-Clair
