Le président de la République a présenté ses vœux de nouvel an aux hommes des médias le mercredi 18 janvier 2012 à la salle des pas perdus du Palais présidentiel au Plateau. Alassane Ouattara a pris l’engagement à cette occasion de préserver la liberté de la presse en Côte d’Ivoire.
Les animateurs de la presse ivoirienne ont répondu en grand nombre à l’invitation du chef de l’Etat. Tous étaient présents à la rencontre, notamment les animateurs des organisations professionnelles de la presse et les organes de presse nationaux et internationaux. Au niveau des organisations professionnelles de la presse, la cérémonie a vu, entre autres, la présence de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), du groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci) et de l’organisation de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (Olped). En ce qui concerne les organes de presse, la société Socef Ntic, société éditrice de l’Intelligent d’Abidjan était représentée par son directeur général, Alafé Wakili. D’autres groupes de presse ont pris part à cette rencontre. Notamment Mayama Edition, le Groupe Réveil et Olympe. Radio France internationale (Rfi), Africa n°1 et l’Agence France presse (Afp) sont, entre autres, représentants de la presse internationale qui ont reçu les vœux du président de la République. Dans son allocution au cours de ses échanges avec les animateurs des médias, le président de la République s’est engagé à préserver la liberté de la presse. «Je voudrais vous donner l’assurance que la liberté de la presse sera respectée dans notre pays. Il ne peut avoir de démocratie sans liberté de la presse», a-t-il estimé. Auparavant, le président de l’Unjci, Mam Camara, après avoir félicité l’Etat ivoirien pour les efforts fournis en vue du développement de la presse dont la signature de décret de la création du Fonds de soutien et de développement de la presse (Fsdp), a fait plusieurs doléances parmi lesquelles la formation des journalistes, la création d’un département de journalisme dans les universités publiques et la préservation de la liberté de la presse. Le président du Gepci, Amédée Assi s’est félicité de cette rencontre «historique et inédite». Avant de faire quelques doléances : la reconduction des exonérations fiscales, l’octroi d’aides budgétaires directes, l’accroissement des moyens financiers du Fdsdp et l’assouplissement des conditions d’accès aux appuis du Fsdp. Ce fut une cérémonie sympathique et conviviale qui s’est terminée par un cocktail auquel a pris part le chef de l’Eta, posant avec les patrons de presse, devisant avec simplicité avec des journalistes, sous l’œil ravi de Masséré Touré, de Coulibaly Amadou et du ministre Diakité Coty Souleymane. Après la cérémonie, un mail du bihebdomadaire satirique ‘’L’Eléphant déchaîné’’ a affirmé que le confrère avait été éconduit et refoulé du Palais. Des sources proches du service communication font état d’un malentendu qui n’a pu être corrigé avant le début de la cérémonie. « Sinon nous n’avons aucun problème avec ‘’L’Eléphant déchaîné’’. ‘’Le Temps’’ a été invité, ainsi que tous les journaux bleus qui ne sont pas tendres avec le Président de la République et les autorités. César Etou de ‘’Notre Voie’’ était présent, tant comme ‘’Le Nouveau Courrier‘’ et ‘’Le Quotidien d’Abidjan’’. Qu’avons-nous à empêcher l’Eléphant déchaîné, ‘’qui n’est pas plus déchaîné et virulent que les bleus, d’assister à cette cérémonie », a expliqué un membre du service communication de la Présidence.
TAB
Les animateurs de la presse ivoirienne ont répondu en grand nombre à l’invitation du chef de l’Etat. Tous étaient présents à la rencontre, notamment les animateurs des organisations professionnelles de la presse et les organes de presse nationaux et internationaux. Au niveau des organisations professionnelles de la presse, la cérémonie a vu, entre autres, la présence de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), du groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci) et de l’organisation de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (Olped). En ce qui concerne les organes de presse, la société Socef Ntic, société éditrice de l’Intelligent d’Abidjan était représentée par son directeur général, Alafé Wakili. D’autres groupes de presse ont pris part à cette rencontre. Notamment Mayama Edition, le Groupe Réveil et Olympe. Radio France internationale (Rfi), Africa n°1 et l’Agence France presse (Afp) sont, entre autres, représentants de la presse internationale qui ont reçu les vœux du président de la République. Dans son allocution au cours de ses échanges avec les animateurs des médias, le président de la République s’est engagé à préserver la liberté de la presse. «Je voudrais vous donner l’assurance que la liberté de la presse sera respectée dans notre pays. Il ne peut avoir de démocratie sans liberté de la presse», a-t-il estimé. Auparavant, le président de l’Unjci, Mam Camara, après avoir félicité l’Etat ivoirien pour les efforts fournis en vue du développement de la presse dont la signature de décret de la création du Fonds de soutien et de développement de la presse (Fsdp), a fait plusieurs doléances parmi lesquelles la formation des journalistes, la création d’un département de journalisme dans les universités publiques et la préservation de la liberté de la presse. Le président du Gepci, Amédée Assi s’est félicité de cette rencontre «historique et inédite». Avant de faire quelques doléances : la reconduction des exonérations fiscales, l’octroi d’aides budgétaires directes, l’accroissement des moyens financiers du Fdsdp et l’assouplissement des conditions d’accès aux appuis du Fsdp. Ce fut une cérémonie sympathique et conviviale qui s’est terminée par un cocktail auquel a pris part le chef de l’Eta, posant avec les patrons de presse, devisant avec simplicité avec des journalistes, sous l’œil ravi de Masséré Touré, de Coulibaly Amadou et du ministre Diakité Coty Souleymane. Après la cérémonie, un mail du bihebdomadaire satirique ‘’L’Eléphant déchaîné’’ a affirmé que le confrère avait été éconduit et refoulé du Palais. Des sources proches du service communication font état d’un malentendu qui n’a pu être corrigé avant le début de la cérémonie. « Sinon nous n’avons aucun problème avec ‘’L’Eléphant déchaîné’’. ‘’Le Temps’’ a été invité, ainsi que tous les journaux bleus qui ne sont pas tendres avec le Président de la République et les autorités. César Etou de ‘’Notre Voie’’ était présent, tant comme ‘’Le Nouveau Courrier‘’ et ‘’Le Quotidien d’Abidjan’’. Qu’avons-nous à empêcher l’Eléphant déchaîné, ‘’qui n’est pas plus déchaîné et virulent que les bleus, d’assister à cette cérémonie », a expliqué un membre du service communication de la Présidence.
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