Le chef du pôle «Etat de droit, libertés et reconstruction», du ministère français des Affaires étrangères et Européennes, Luc Briard, était hier dans les locaux de la Cour suprême pour toucher du doigt, les difficultés de l’institution dirigée par Mamadou Koné. Membre d’une mission qui séjourne depuis le 16 janvier dernier à Abidjan pour la pré-identification du 1er contrat de désendettement et de développement, l’envoyé du Quai d’Orsay a répertorié les difficultés et les besoins prioritaires afin d’élaborer avec la partie ivoirienne, une stratégie d’intervention à court, moyen et long terme.
Après un huis clos avec le président de la Cour suprême, Luc Briard a visité les locaux avant de se confier à la presse. «L’audience se situe dans le cadre des missions préparatoires pour la mise en place du contrat de désendettement et de développement, notamment sur le volet de la justice. Nous avons fait un large tour d’horizon sur la situation actuelle de la Cour suprême pour envisager son futur. Un certain nombre de difficultés de la Cour ont été évoqués par le président. Ce sont des difficultés d’ordre matériel, des bâtiments…», a-t-il indiqué. Avant de souligner que la perspective de la construction de la cité judiciaire a été soulevée. Nous avons parlé, a-t-il poursuivi, des problèmes liés à la formation des magistrats.
L’émissaire de Paris a marqué son espoir que des réponses adéquates dans le cadre du contrat de désendettement et de développement entre la France et la Côte d’Ivoire, seront trouvées pour donner à la Cour suprême, les moyens nécessaires à l’accomplissement de sa mission. Il faut noter qu’outre la justice, la mission française s’intéresse aussi à la gouvernance et à la sécurité. On le voit, la France est engagée au côté de la Côte d’Ivoire pour permettre au pays de redécoller rapidement après la décennie de crise.
LO
Après un huis clos avec le président de la Cour suprême, Luc Briard a visité les locaux avant de se confier à la presse. «L’audience se situe dans le cadre des missions préparatoires pour la mise en place du contrat de désendettement et de développement, notamment sur le volet de la justice. Nous avons fait un large tour d’horizon sur la situation actuelle de la Cour suprême pour envisager son futur. Un certain nombre de difficultés de la Cour ont été évoqués par le président. Ce sont des difficultés d’ordre matériel, des bâtiments…», a-t-il indiqué. Avant de souligner que la perspective de la construction de la cité judiciaire a été soulevée. Nous avons parlé, a-t-il poursuivi, des problèmes liés à la formation des magistrats.
L’émissaire de Paris a marqué son espoir que des réponses adéquates dans le cadre du contrat de désendettement et de développement entre la France et la Côte d’Ivoire, seront trouvées pour donner à la Cour suprême, les moyens nécessaires à l’accomplissement de sa mission. Il faut noter qu’outre la justice, la mission française s’intéresse aussi à la gouvernance et à la sécurité. On le voit, la France est engagée au côté de la Côte d’Ivoire pour permettre au pays de redécoller rapidement après la décennie de crise.
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