Après la fête de Noël à La Haye, toutes les organisations de soutien à Laurent Gbagbo de France, en partenariat avec celles du reste de l’Europe, avaient décidé de manifester au moins une fois par mois sur le sol néerlandais, afin de marquer leur attachement à leur ‘’champion’’.
Les femmes patriotes de France ont été les premières à ouvrir le bal de ces manifestations mensuelles jusqu’au 18 juin prochain. Avec à leur tête Léontine Topo, elles ont été rejointes devant le centre pénitentiaire de Scheveningen par des délégations venues de Belgique et d’Italie. Selon la police hollandaise, environ 150 personnes ont pris part à ce meeting. C’est le samedi 28 janvier 2012, à 13 heures que le meeting des femmes patriotes de France a débuté du côté Est du centre pénitentiaire de Scheveningen où est détenu l’ancien chef d’État ivoirien depuis le 30 novembre 2011. Pour Léontine Topo, ce type de manifestation répond au souci premier de démontrer au ‘’Woody de Mama’’ qu’elle et son organisation ne l’abandonneront jamais, et aussi pour continuer le combat de la liberté que le président Laurent Gbagbo a initié. «Nous sommes ici pour dire à notre président qu’il n’est pas seul, nous sommes toujours avec lui. Nous continuons le combat de la liberté qu’il nous a indiqué, et aujourd’hui, le combat est devenu plus intéressant, car bientôt il va faire jour sur la Côte d’Ivoire» nous a-t-elle dit. Pour les femmes patriotes venues de France, de Belgique et d’Italie, la libération prochaine de Laurent Gbagbo des geôles de la Cour pénale internationale n’est plus qu’une question de quelques semaines. «Nous sommes venues libérer notre président, sa place n’est pas ici dans cette prison de Scheveningen, mais au palais présidentiel à Abidjan. Ceux dont c’est la place sont en train de faire le beau à Abidjan, mais ça ne va pas durer, ils seront ici bientôt, très bientôt même d’ailleurs…», a annoncé une femme patriote, membre de la délégation d’Italie. Au bout de trois heures (chrono en main) de manifestation, les délégations françaises, belges et italiennes des ‘’Gbagboistes’’ d’Europe ont plié bagages et promis de revenir plus massivement le 18 février prochain sur invitation de la délégation du Front Populaire ivoirien en France.
Jean-Paul Oro
Les femmes patriotes de France ont été les premières à ouvrir le bal de ces manifestations mensuelles jusqu’au 18 juin prochain. Avec à leur tête Léontine Topo, elles ont été rejointes devant le centre pénitentiaire de Scheveningen par des délégations venues de Belgique et d’Italie. Selon la police hollandaise, environ 150 personnes ont pris part à ce meeting. C’est le samedi 28 janvier 2012, à 13 heures que le meeting des femmes patriotes de France a débuté du côté Est du centre pénitentiaire de Scheveningen où est détenu l’ancien chef d’État ivoirien depuis le 30 novembre 2011. Pour Léontine Topo, ce type de manifestation répond au souci premier de démontrer au ‘’Woody de Mama’’ qu’elle et son organisation ne l’abandonneront jamais, et aussi pour continuer le combat de la liberté que le président Laurent Gbagbo a initié. «Nous sommes ici pour dire à notre président qu’il n’est pas seul, nous sommes toujours avec lui. Nous continuons le combat de la liberté qu’il nous a indiqué, et aujourd’hui, le combat est devenu plus intéressant, car bientôt il va faire jour sur la Côte d’Ivoire» nous a-t-elle dit. Pour les femmes patriotes venues de France, de Belgique et d’Italie, la libération prochaine de Laurent Gbagbo des geôles de la Cour pénale internationale n’est plus qu’une question de quelques semaines. «Nous sommes venues libérer notre président, sa place n’est pas ici dans cette prison de Scheveningen, mais au palais présidentiel à Abidjan. Ceux dont c’est la place sont en train de faire le beau à Abidjan, mais ça ne va pas durer, ils seront ici bientôt, très bientôt même d’ailleurs…», a annoncé une femme patriote, membre de la délégation d’Italie. Au bout de trois heures (chrono en main) de manifestation, les délégations françaises, belges et italiennes des ‘’Gbagboistes’’ d’Europe ont plié bagages et promis de revenir plus massivement le 18 février prochain sur invitation de la délégation du Front Populaire ivoirien en France.
Jean-Paul Oro