ABIDJAN - Des experts de l'Initiative du cajou africain (ICA) ont plaidé mardi à Korhogo (nord) pour une dynamisation de la filière anacarde.
Au cours d'un atelier de formation, les spécialistes ont instruit les producteurs de noix de cajou (autre nom de l'anacarde) sur les techniques pré-récolte et les techniques post-récolte, dans la perspective de garantir une bonne qualité de ce produit agricole.
"Il s'agit de recycler les formateurs qui ont être relayés sur le terrain par d'autres producteurs", a expliqué le coordonnateur du projet ICA, Aboubacar Touré.
"A terme, les paysans doivent être mieux sensibilisés pour une meilleure récolte et un meilleur gain", a ajouté M. Touré.
A en croire celui-ci, d'autres actions d'envergure seront menées dans la perspective d'un accroissement substantiel de la production et d'une amélioration des revenus des producteurs.
La Côte d'Ivoire est le premier exportateur et le deuxième producteur mondial de l'anacarde qui constitue la deuxième culture au nord de la Côte d'Ivoire, après le coton.
La filière anacarde tente de rebondir après avoir été secouée ces derniers mois par une vague de difficultés.
La filière emploie 150.000 producteurs regroupés dans une vingtaine de coopératives, et nourrit 1,5 million de personnes directement ou indirectement.
Au cours d'un atelier de formation, les spécialistes ont instruit les producteurs de noix de cajou (autre nom de l'anacarde) sur les techniques pré-récolte et les techniques post-récolte, dans la perspective de garantir une bonne qualité de ce produit agricole.
"Il s'agit de recycler les formateurs qui ont être relayés sur le terrain par d'autres producteurs", a expliqué le coordonnateur du projet ICA, Aboubacar Touré.
"A terme, les paysans doivent être mieux sensibilisés pour une meilleure récolte et un meilleur gain", a ajouté M. Touré.
A en croire celui-ci, d'autres actions d'envergure seront menées dans la perspective d'un accroissement substantiel de la production et d'une amélioration des revenus des producteurs.
La Côte d'Ivoire est le premier exportateur et le deuxième producteur mondial de l'anacarde qui constitue la deuxième culture au nord de la Côte d'Ivoire, après le coton.
La filière anacarde tente de rebondir après avoir été secouée ces derniers mois par une vague de difficultés.
La filière emploie 150.000 producteurs regroupés dans une vingtaine de coopératives, et nourrit 1,5 million de personnes directement ou indirectement.